Le Pentacordes:

Le Pentacordes :

Sculpture-Mobile de l’auteur, seule sans rapport aucun avec toutes les œuvres de ce genre réalisées par lui.

Et pour cause, puisque rappel, de par sa forme, des toutes premières esquisses de mobiles effectuées durant sa jeunesse, dont une commande de sa grande sœur, infirmière à Genève, transportée par elle et suspendue dans la salle de repos de l’hôpital dans lequel elle travaillait.

Son projet, avec cette future réalisation, étant ni plus ni moins de sculpter l’air !

Intitulé ainsi parce que créé sur la structure des chants grégoriens, ses huit mode avec le neuvième appelé Pérégrin ; représentés par les neufs fils de nylon appelés à accueillir les six cent vingt neufs allumettes qui le composent.

Mobile, une fois réalisé, qui l’est à double ; tout à la fois, se mettant en mouvement au moindre courant d’air, ; mobile encore, du fait que les allumettes dont il est fait coulissent sur leur fil, ainsi capable de varier à volonté son apparence.

Pour ce faire, l’auteur contraint de travailler à la loupe ; tout d’abord, pour perforer ces allumettes à chacun de leurs bouts ; ensuite pour passer dans ces trous les différents fils de nylon appropriés.

Pour terminer, l’extrémité de ces fils tendus à l’aide de plombs utilisés par les pêcheurs.

: – D’après vos achats, vous pêchez le gros ! Truite, brochet?

: – Oh bien plus gros encore !

Pentacorde

Le Pentacordes

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Détail du Pentacordes

2 réflexions sur « Le Pentacordes: »

  1. magnifique, aussi détail du Pentacordes, ai mis sur ma page PF, tu peux voir

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