Tout premier recueil de poèmes, proches, par l’inspiration, du roman Genèse de leur auteur.
Par le déluge universel évoqué tout au long ou presque du second, l’écriture pratiquement abstraite du premier; auteur alors en pleine quête de la décomposition de celle-ci.
D’où la réflexion de son ami Henry, qui lui fit pourtant l’honneur de décorer le manuscrit de Psalma de dessins réalisés à l’encre de chine;
après lecture de celui-ci, lui décernant le titre d’Inimitable Colporteur de Néant!