C’est au cours de son année d’exil en la ville de Genève que vint chez l’auteur l’impulsion d’écrire un recueil de poèmes dédiés au soleil sous divers de ses aspects, le tout au nombre de soixante.
En l’occurrence au café du Consulat, à l’époque, sous la férule d’une tenancière qui avait la particularité de choisir ses clients.
Un intrus dont la tête ne lui revenait pas ne tenait pas plus de cinq minutes avant de devoir déguerpir, écrasé sous ses sarcasmes!
Soleils dont il illustre chaque poèmes, suivant le thème choisi.
Par la suite, recueil accompagné par un ensemble de vingt quatre Sélénies.
Pour les rédiger, n’ayant hésité à tirer de leur sommeil pourtant que l’ont dit le dernier autant de compositeurs célèbres, chacun de retour à sa table de travail;
: – Vous avez dix minutes pour me composer un morceau de plus, faisant défaut à votre répertoire; chacun étant libre de choisir la forme qui lui convient le mieux, fugue, sonate, rondo, ragtime, pavane ou autres…
Son thème cependant vous étant imposé par mes soins. Aux fins de convenir à chacun d’entre vous, il est des plus commun tout autant que connu.
C’est à dire, tout simplement celui de la chanson « Au Clair de la Lune »
Attention! Tous à vos plumes!
C’est parti!