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Répétition Artère:

Répétition de L’Artère :

L’Artère ? Qu’était-ce, au juste ?!

Une association de jeunes poétesses et poètes, fondée et dirigée ensuite par le Pélikhan Blanc ; solide gaillard à la voix de stentor, poète-teinturier-brocanteur ; éditeur d’une revue publiée par ses soins et initiateur de plusieurs récitals poétique, dans un local privé, tout d’abord, puis au Petit Théâtre de Sion.

Groupe composé, entre autres, de celle baptisée par l’auteur Puberté, amie du Pélihkan ; une autre jeune poétesse, amie elle de Jean-Michel Mayor, à qui l’auteur dédia ses Soleils, en hommage, suite à son brutal décès, à l’âge tout juste de vingt ans ; retrouvé pendu ; Simone Collet, poétesse vaudoise ; enfin Pierre-André Mihlit.

C’est peu après cette tragique disparition que l’auteur décidait d’abandonner ce groupe, de retour à son état de loup solitaire.

 

Ambiances suite

Pour ceux qui ont parcouru un premier chapitre des Ambiances proposées par l’auteur, y ayant survécu, celui-ci leur offre la possibilité de découvrir leur suite.

Qu’ils se rassurent, toutefois, auteur se devant de leur préciser, suite et fin!

Il n’y en aura pas d’autres, c’est promis.

Avec toujours, comme fond musical, un choix de chants Grégoriens enregistrés par l’auteur.

 

 

 

Psalma: Vidéo:

Psalma:

L’auteur rappelant aux quelques visiteurs de son site, ayant peut-être eu l’occasion de le visionner, comme à d’autres n’ayant éprouvé ce malheur, puisque enregistré le tout premier dans Youtube, tourné et interprété par lui dans son atelier du Rawyl 15, (2 mètres sur deux mètres! ) sur le thème de son ouvrage poétique du même nom, tenant à exprimer quelques considérations à son sujet.

Malgré son aspect apparemment décousu, empreint, et cela de la plus, apparemment, insignifiante des images figées, comme de la moindre scène offertes, que pas une seule d’entre elles n’est gratuite, faisant office de remplissage!

Chacune d’entre elles chargée de symboles; fidèle au contenu de cet ouvrage poétique. Dans un fond hautement tragique, soulignant, tout au long de son déroulement, et ce jusque aux toutes dernières séquences la dualité déchirant tout créateur par la dualité de ses réalisations artistiques confrontées à la réalité de sa famille; ainsi, durant son travail, par la force des choses, coupé d’elle.

En accord avec ses convictions, se devant cependant de conclure ce film par une séquence plus légère, pour ne dire, ou plutôt voire quasi comique! Celle dans laquelle on retrouve l’auteur-interprète, faisant suite à sa partie de roulette russe, porte de son atelier du Rawyl 15 finalement ouverte; symbole ici, après le drame, faisant suite à son enfermement absolu, souligné par la répétition des images du décor ambiant, de sa libération.

Des premières séquences du décor, obsessionnellement répétitives, figées; des suivantes dans lesquelles les choses s’animent; des disparitions bientôt de tous objets superflus; symbolisant l’isolement du héros pris dans la rédaction de plus en plus intense de son texte; des ses vues progressivement chaotiques puis, de la même façon, envahies de fumées; symbole du cauchemar naissant, bientôt jusque total; finalement le tout rentré dans l’ordre; images de retour à leur aspect initial, mais soulignant l’enfermement encore total du héros cloisonné dans les murs de son atelier-prison comme cellule.

La densité comme l’intensité de tout l’ensemble de ce film, proche de l’insoutenable! En voulant, pour preuve, les aveux d’un de ses anciens amis, Gérard George, ayant participé et contribué à la réalisation, depuis ses tout premiers balbutiements jusque à sa conclusion finale de son KHA-KAH; sans parvenir jamais être parvenu à en visionner son ensemble dans toute son intégralité!

Heel, prisonnier et proie livrée de ses démons d’alors:

Matricule: Vaudeville: Vidéo:

Jeune ;

: – Vous! Enfin !

Comtesse ;

: – Enfin! Vous !

Jeune: Ohhh! Vous! Enfin!

Comtesse: Enfin! Vous!

Jeune ; (d’émois, affalé dans l’un de ses sofas)

: – Ohhh!

Comtesse ;

: – Ah ça, Monsieur, que signifie? Quelle étrange conduite. Allons, remettez-vous, voyons!

Jeune ;

: – Ah! C’est trop ! Excusez-moi ! Mon pauvre coeur, vous comprenez?

Comtesse ;

: – Mon pauvre ami. A votre âge qui me paraît encore pourtant bien tendre, il vous ferait mais déjà des misères? Allons allons! Il ne vous faut, pauvre enfant, vous mettre si méchamment en de pareils états. Je vous conseille pour lui les pilules Trhink. J’en use, moi, avec succès, je vous l’assure.

Jeune ;

: – Mais comprenez-le donc aussi, le pauvre, s’il vous est peu ou prou loisible. Voilà plus de cinquante ans qu’il est mis à l’ouvrage. Battant au rythme de ma vie décousue de fil blanc, errante, éparse, jetée de jours tout comme nuits par terres, mers, vonts et maux.

Comtesse ;

: – Ecoutez, mon brave, qui ne me paraîtrait autant qu’il veut le dire être l’équivalant de telle épave! Je compatis de tout coeur pour le celui dont je ne supposais pas le propriétaire aussi âgé qu’il veut bien le prétendre. Mais je ne comprends pas pourquoi, après avoir pris la liberté d’étaler ainsi votre personne en mon sofa, vous vous sentiez maintenant le besoin d’en faire de même pour votre vie, à mes oreilles.

Jeune ;

: – Elle ne comprend pas! Mais vous êtes l’objet, si je puis m’exprimer ainsi, l’unique et fabuleux trésor que depuis soixante ans mon coeur poursuit en vain de ses plus véloces comme hélas fugaces ardeurs.

Et ce dans le seul but de vous revoir enfin. Sans oser espérer bien sûr rencontrer en retour une flamme à la sienne égale.

Et quoi? Je vous le coche en mille! J’arrive ici. Je vous retrouve enfin après un siècle et plus d’effervescentes quêtes dont je vous passe le sérail, mais que ne peux lors que trahir ma mine plus que défaite, taillée en pointe courte et vous m’accueillez par ces mots délirants, enchanteurs: Enfin vous! M’avez-vous donc compris?

Comtesse ;

: – Non !

Jeune ;

: – Elle ne m’a pas compris! Mais à la fin du compte, je vous adore, mon cher amour ! Que dis-je, je vous aime et dépose à vos pieds avec ma brûlante personne toute mon inconditionnelle passion, ma plus que distinguée considération, l’assurance de mes sentiments les plus agréés je l’espère de tout coeur, ma sublime vénération, mon

Comtesse ;

: – Stop!

Jeune ;

: – Pardon?

Comtesse ;

: – J’ai dit suffit.

Lucette qui a dû vous ouvrir tout à l’heure ne vous a donc pas mis à vos amples aise? Cette fille est impossible. Je lui ai pourtant bien recommandé d’avoir à débarrasser mes visites, lorsque celles-ci se présentent , de tout leur superflu.

Jeune ;

: – Ah mais!

Comtesse ;

: – J’ai dit suffit, je crois. Allons! Remisez-moi votre encombrant fatras et veuillez me remettre plutôt le plis dont vous devez êtes porteur !

Jeune ;

: – Ah ça!? A mon tour de ne point le moins du tout comprendre. De plis je n’ai que ceux que mes récentes exhibitions ont provoqué à mon costume.

Comtesse ;

: – Mais pourtant, votre maître et le mien a dû vous charger d’un message à tout le moins verbal à mon intention.

Où dois-je le retrouver, s’il vous plaît? Il ne me reste plus qu’à parapher cette sophistiquée permanente édifiée toute en son honneur de mon chapeau, à cette occasion de sortie. Mes valises sont prêtes. Le temps, me dit-on en coulisses, de beaucoup presse. Je vous écoute?

Jeune ; (re affalé au coeur d’un sofa divers de la Comtesse)

: -: Ahhh! C’était trop beau. Trop bien parti !

Comtesse ;

: – Ah ça! Mais c’est une manie, chez vous!

Jeune ;

: – Ainsi, si je l’ai bien compris, à mots gâchés non de travers, j’ai un rival. Et lui, fort las, plus fortuné que moi puisqu’il dispose de toutes vos ferveurs.

Et pis encore de sus, ce favori, selon vous, comme si cela ne suffisait déjà, serait de plus mon maître !?

J’arrive ici. Je vous retrouve enfin pour ne vous voir que disparaître dans le pire aussitôt, irrémédiablement me fuir, en douce vous vautrer avec un autre, en tous autres ailleurs. Et ce serait à moi, pour couronner le tout à grand coup de chapeau tri cornu, non salement de vous permettre cette fuite, mais d’en régler jusqu’à son moindre encore replis le détail? Salace, non, ne le trouvez-vous point; propice à la grimace!

Ah! N’ais-je donc pas assez souffert, depuis qu’en un crépuscule d’août inoubliable vous m’apparûtes, de si, de la ou plutôt non, de dos! Mais quel dos! Non. Il faut encore que ma tendre comme au mieux innocente jeunesse fut plongée pis que fritte jusque carbonisées, en un drame que le qualificatif de cornélien dépeindrait, fort ma foi de fort juste adéquate façon.

Comtesse ;

: – Votre prime jeunesse, si je vous ai suivi, compte un siècle d’usage, non? Que croire?

Jeune ;

Ah ! Révélez-moi, vous en conjure, les nom,

prénom, adresse et numéro costal de ce surnuméraire intrus !

Que tout entier je le l’occise tout de go, globalement soustrait! Par tel si vil impudent de s’être mis en travers de notre fabuleux destin !

Après, tout aussi sec que sarment, je vous en fais le dru serment, si c’est las le décret terrible que votre coeur promulgue toujours à mon endroit, je vous promets de disparaître de votre vie, votre vue à jamais !

Comtesse ;

: – Au plus opposé des contraire de votre prétendu calvaire, heureux bonhomme que voilà! Comblé Monsieur, vos voeux se trouvant exaucés !

Jeune ;

: – Vous étant tout ouïe, Comtesse adulée !

Comtesse ;

: – Vous faut-il un dessin ?! Eh bien soit ! Vous allez promptement disparaître, et cela sans même vous donner le mal que vous vous proposiez.

Monsieur Duguéclin sera informé, sachez-le, ce fort incessamment, quant à votre inqualifiable conduite. Croyez-moi, votre carrière de secrétaire auprès de lui touche ici à sa fin.

Jeune ;

: – Duguéclin! Dites-vous, tant aimée?

Ah que non! Il va falloir me battre, puisque l’issue ne saurait être autre, au pistolet plutôt lors qu’à l’épée si je compte, car telle est bien mon intention, survivre à ce fâcheux duel.

Ma carrière de secrétaire, y songe, aviez-vous dit?

Ah ça mais pas du tout. Il y a contusion, et ce furieusement en la manière.

Je ne dépends, en fait, professionnellement, qu’on se le dise tout comme vous avec, de personne. Pour ce qui est du coeur, las cependant

Comtesse ;

: – Assez de larmoyeuses jérémiades! Vous n’allez pas recommencer !?

Ainsi monsieur vous n’êtes pas? Mais que faites donc vous dès lors ici céans? Je vous prie aussitôt, impertinent drôlatre, de bien vouloir vous retirer au plus subit instant!

Jeune ;

: – Alors juste, si chère, que le saugrenu quiproquo nous séparant tantôt, tout comme le cormoran, le myosotis et le cointreau, est lui aussi, encore, en voie de farouche disparition?

Comtesse ;

: – Peut-être, oui, mais tout comme vous encore que vous pouvez adjoindre au lot, tant tel q’archi sot, Sortez!

Jeune ;

: – Eh bien soit ! Puisqu’il en est ainsi ! Qu’il en soit fait selon de tels tempétueux désirs que je respecte… mais c’est le coeur fort gros que je

Comtesse ; 

Assez!……………………….Assez!………….assez!……………………………………………AAASEHHHHH!

Jeune ; (disparu doublement,par une porte latérale comme derrière le rideau venu s’échoir sur ce préambule à de très très nombreux actes à suivre)

Jeune ; (disparu doublement,par une porte latérale comme derrière le rideau venu s’échoir sur ce préambule à de très très nombreux actes à suivre)

 

 

 

 

Chants Populaires: Documents Sonores:

Chants Populaires :

L’auteur étant convaincu, dans le cadre des cours de musique donnés à l’Ecole Normale de Sion, de leur inutilité, pratiqué jusque là, en parlant avec ses collègues de travail ;

: – A quoi peuvent ils servir à ces futurs enseignantes et enseignants ? Terminant leurs trois années d’étude au clavier pour parvenir à jouer une petite pièce de Bach ou autres compositeurs  dans le cadre de leurs cours de chant?! Ils joueront leur morceau appris à leurs élèves, pour leur première leçon… et puis après ?!

: – Et que proposes-tu pour remédier à ça ?

: – Introduire, à la place de l’étude de ces petits morceaux, des cours d’accompagnement !

Face à leur opinions, trouvant la chose tout autant qu’utopique, il leur fait découvrir une méthode adaptée à ce genre de circonstances, mise au point, durant de nombreuses années par ses soins. Mais sans parvenir à les convaincre ; pas d’avantage que le chef de l’Instruction Publique du canton du Valais Romand, à qui il est allé, seul, cette même méthode.

Avec son insistance et aidé par les circonstances, (pléthore d’élèves se destinant à l’enseignement) ces cours sont enfin introduit dans le programme, à l’essai pour une année; destinés seulement aux nouveaux élèves. Avec un tel succès que ceux suivant l’ancien enseignement, en plus de celui-ci, s’inscrivent spontanément pour suivre ce nouveau !

Méthode et cours finalement admis !

Dont font partie des cours d’improvisation au clavier et d’harmonisation.  Et c’est une sélection de ces chants populaires, harmonisés par l’auteur, à la suite de ses élèves, qu’il propose à votre découverte…

Travail faisant partie de ses nombreux documents sonores.