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Petite Musique de Nuit…

(Un soir, au concert dispensé par le célèbre Octuor à Cordes Swavaritch 🙂

Delphyne: – Voudrais-tu feuilleter, en consultant le programme de tes bésicles concertantes, plutôt que t’enquérir un peu partout autours, selon tes hébétudes, parmi la foule de ces mélomanes de tous bords, d’un hypothétique cadavre à circonscrire enfin au registre jusque là quasi vierge de tes enquêtes policières, ce que figure au programme de concert, en un tout premier lieu! 

Althof: – Ainsi, malencontreusement distrait de mes enquêtes, voyons ça donc d’un peu plus près!

Si j’en crois, plutôt que mes oreilles de parfait ignare de ces choses dites musicales, tandis que débutent les tout premiers accords, plus volontiers et sûrement mes yeux, je peux te découvrir, sans risque d’une horreur qu’il s’agit d’un septuor à cordes et clarinette de Chou Beure. Et plus encore spécifiquement en Uteux Démineur biaisé! 

Delphyne: – Oh mais excuse-moi! Pour ainsi ouïr les tout premier ébats de cet ensemble de virtuoses, pour le superflu de ma question!

Comment, fort en effet, ne pas reconnaître, et ce au tous premiers accords, l’inimitable génie de ce cher Chou-Chou!

Alors que j’en avais déjà quasi la langue sur son identité!

Public (de proches et plus lointains voisins): – Schhhhhht!

Althof: – Zut! Ou pis, irais-je jusqu’à couenne!? Aux faims de me distraire déjà d’un très profonds ennui, de retour à ces pages glacées de dépliant, réalisant que je me suis trompé!

Oh mais là fort heureusement pour l’entité préservée ainsi intacte de ma personne, vraiment de pas grand chose: Septuor, et de une! Pour cordes, et de cinq! comme enfin pour le trois: et clarinette! Toujours, pour clore, en Ut assurément rageur; mais de Moshard, celui-là.

Oh mais surtout ne rectifier la chose ! Haut de combien n’alors je le mortifierais, et ce aux plus grands torts, ce chair ange, par las, déchu jusque au plus ras de son créchoir !

A défaut de goûter tout tel qu’il devrait sière aux débordantes joies de la grande musique, en déguster le sel, n’ais-je pour me distraire, que le spectacle de ces musiciens tout à leurs musicales prestations.

Althof Hilter: – Saigneur! Quel ramassis de tronches; malgré les affres du photographe commis à nous les rendre à leur mieux comestibles, tirées de films, contes parmi les plus agréablement terrifiants à blêmir! 

Sans tenir compte toutefois, délicieuse exception là confirmant la règle, d’une délicieuse blondinette en nattes sages et fluettes fermées de rubans bleu, ingénue fausse ou vraie, cendrillon bienvenue dans cette panoplie d’horreurs.

De son état présent, professionnel,violoncelliste, de son état!

Au plus grand des jamais, doté d’une fille de par telle ingénue, je ne sauris tolérer d’elle qu’elle se produisit, telle, en corps, en public, en pareil, équivoque et scabreux en pareil accouplement! Non seulement jambes mais cuisses ainsi larges ouvertes!

A la découverte du décrépi Maestro dirigeant cet ensemble, imaginant la scène sans se douter qu’il allait bientôt être, et cela en tant que commissaire divisionnaire, vivre la scène imaginée juste à l’instant, vécue entre ces deux protagonistes…

Wylliam Holsborn: – Entrez, ma chair enfant! Il ne fallait frapper, voyons! Vous êtes ici chez vous! Otez donc, mais voyons, en un tout premier tant, votre manteau, chapeau, vos gants comme bottines, comme encore toutes choses autres qui vous passeraient par la tête,jugé de superflu! Mettez vous sur le champs à vos plus amples aises!

Aldhof Hilter: – Oh mais là attention mon coco! Trop poli, ne le dit-on, pour être franchement au net. Y aurait-il ainsi une raison à ma présence ici? Au yeux du vieux bonhomme qui couvent la petite, on devine aisément les aises supplémentaires, pour ne pas dire totales, qu’il voudrait lui voir prendre.

Wylliam Holsborn: – Laissez aussi votre instrument à l’entrée!

Paméla Ludowick: – Mais, maître, n’en aurais-je besoin pour ma première, initiale leçon?

Wylliam Holsborn: – Eh non, ma chère petite! Nous allons consacrer, si vous le voulez bien, cette première leçon uniquement à la tenue requise pour jouer de cet instrument! Et vous allez vous rendre compte que l’heure à peine y suffira! Les plus grandes virtuoses vous le diraient tout comme moi si le secret n’était, pour des raisons évidentes, par eux, jalousement gardé; cet instrument à nul autre pareil à la particularité, afin d’en obtenir la pleine expression, de se monter si je puis dire, tout comme le cheval, à crus.

Paméla Ludowick: – Que signifie, maître, monter à crus? Mon âge, tout comme vous avez pu le constater, des plus tendre ne m’a offert l’occasion d’ouïr cette curieuse expression.

Wylliam Holsborn: – On le dit d’une cavalière montant sans selle.

Paméla Ludowick: – Mais alors, cela équivaut à jouer de cet instrument comme d’un violon?!

Leuré-Citant: – Maître qui met un certain temps à réaliser le jeux de mot involontaire de la petite; trop occupé à noircir davantage, en corps, ses déjà fort sombres dessins, non seulement à ses endroits, mais envers ainsi que tous côtés.

Wylliam Holsborn: – Virtuoses encore mais qui se gardent jalousement de préciser l’indispensable réciprocité de la tenue.

Paméla Ludowick: – C’est à dire, mon cher Maître?

Wylliam Holsborn: – Tout comme le cheval est sans selle, sa cavalière elle est sans euhhhh sa petite culotte. Vous pouvez en toute confiance la retirer; je ne regarde pas.

Paméla Ludowick: – Voilà qui est fait, Maître. Vous pouvez vous retourner. Me voilà enfin prête pour ma toute première leçon. Que dois-je faire maintenant?

Wylliam Holsborn: – Je dirais presque prête. Les plus éminents virtuoses dont je vous parlais, que je vous sens brûlante d’imiter n’hésitant à pratiquer leur art dans celle strictement identique à leur monture.

Paméla Ludowick: – C’est à dire, mon bon Maître ?!

Wylliam Holsborn: – A dire comme préférablement, de mon côté, le voire, à accompagner ce si léger sous-vêtement de l’intégralité de tous vos autres voiles…

Paméla Ludowick: – Si je vous ai parfaitement compris, mon déroutant bon Maître, me découvrir à vous mise alors toute des plus intégralement nue?!

Wylliam Holsborn: – Tel oui, mon si chair petit ange!

Paméla Ludowick, au bout de quelque temps passé à se mettre à ce genre de tâche; : – Voilà donc qui est fait!

Wylliam Holsborn: – C’est parfait, ma petite! Ou alors toujours presque.

Au seules faims d’accueillir ce futur instrument, vous priant juste, en corps plus que toujours, de bien vouloir partager vos jambes comme cuisses, que je découvre si pudiquement et frileusement jointes entre elles…c’est cela, très progressivement jusque à finalement parvenir jusque à leur écart le plus large, humainement possible…

Paméla Ludowick: Me voilà désormais, en faims, prête toute, il me semble, pour ma première leçon!

Delphyne : – N’est-ce par idyllique, mon cher, l’audition haut de combien comblée de par telles merveilles? Transportée jusque aux anges!?

Althof : – Je ne vous le fait dire! Mais pour ma part, vues là plutôt qu’ouïe, me contentant d’un seul de ceux-ci, dispos à se voir croquer entier et quasi là tout cru!

K II: Arbre matérialisant le KHA-KAH: Photo:

K II:

Arbre matérialisant lui encore le KAH-KHA, mais ici à la perfection; le seul, en effet, des trois découverts sur les terres Anastasiennes de l’auteur, proposant, à la vue tout hautant qu’au palpé, non seulement les huit embranchements de tronc exigés pour y parvenir, mais encore le neuvième, appelé Pérégrin!

Découvert, précédant juste l’Ancêtre Sorcier, identifiable lui entre tous, par non seulement un, mais les trois yeux gravés sur son front, garants de son statut prestigieux, tout à la fois de jeteur de sorts, bons ou mauvais, adressés aux victimes ou élus de son choix; comme capable encore de commander aux éléments naturels.

K II: Seul des trois répartis tout au long des terres Anastasiennes de l’auteur, parfait dans sa conception:

Myriam I: Photo:

Myriam I:

Comment ne pas s’en souvenir?!

Alors tout juste débarqué, échappé de son enfer d’internat, pour poursuivre, tout d’abord le Collège à Sion; puis, contraint de faire le choix, ses études abandonnées au profit de l’étude, et plus particulièrement, de l’orgue; la grande sœur de l’auteur ayant déjà marqué son dévolu pour celle du piano.

Suivant, en parallèle, faisant partie de ses cours théoriques impliqués dans son programme, celui, dispensé par Georges Haeni, fondateur et directeur du Conservatoire de Musique de Sion 8Valais); comme encore enseignant l’étude de l’harmonie et du contre-point.

Cours partagés par la nièce de ce Directeur; à l’occasion, l’ayant surprise, à son arrivée devant cet établissement, à cheval; cela depuis St Léonard, petit village situé à plus de cinq kilomètres de la capitale, Sion; et l’attachant familièrement par sa bride à une petite barrière, proche de son entrée principale!

Myriam I: Photographiée dans sa maison des Planisses, située au-dessus de St Léonard: Valais:

 

Wooh: Photo:

Wooh:

Un parmi les hôtes du Cercle. Comme pour tous les autres personnages peuplant le Château. condamné à l’éternité.

De par son infime taille de nabot, quoique intronisé par tout leur ensemble en tant que metteur en scène de toutes les pièces théâtrales rédigées par l’auteur, faisant preuve d’une maîtrise absolue, sans aucune controverse exprimée ou latente, à leur égard;

cela malgré le handicap prononcé de sa petite taille autorité naturelle, les deux colosses Thu et Jehu y compris, renforcée encore d’avantage par, quoique maintenu à l’abri des regards, dans son dos, rendant ainsi ses attaque aussi imprévisible et foudroyantes et ainsi impossible d’esquiver, un fort solide fouet de cuir à la mèche assez longue pour atteindre n’importe quelle victime se trouvant sur les planches!

Selon ses critères, suivant l’importance de la faute commise, manque de conviction, d’enthousiasme, oubli de texte ou de juste réplique, même surgie tardivement, erreur de placement, selon son implacable et rigoureuse mis en scène , négligence dans le respect du costume prévu, le choix du décor, etc etc etc. la pointe de combien acérée de sa mèche venue tout juste effleurer, caresser, cingler ou mieux en corps, incendier, déchirer ou fracasser les arrières trains fautifs.

Matérialisé par un des arbres des Berges longeant le Grand Fleuve Anastase:

Les Cris de la Ville: Théâtre:

Leveilleur; : – Il fait plus que tout jour des plus très intensément tout hautant nocturne, dormeuses et dormeurs de tous quartiers… Poursuivez donc en choeur ainsi mixte à gravir, gisantes et mornes gens, la somme de vos sommes; tout aussi dru que vos jusque ici fort audibles ronflements, très bruyamment, vous le sommant!

Leguet;  (assez plus tard) : – Il est l’heure, toutes gens, passées et trépassées, toutes heures vouées à vos sommeils, de secouer vos puces et autres ingrédients! Extripées jusque de vos songes et draps! Ainsi que carillons de cloches de surpoids, appuyant mes propos, il est temps, prestement là de vous mettre enfin en branle!

Leguet; (encore un peu plus tard) : – Il est l’heure, vous le sommes-je, je ne le hurlerai deux fois, de vous magner le frein! Là tout hautant à pognes, bras nivelles qu’à pieds!

Leguet; : – Il est l’heure, sottes gens, de vous mettre à la mienne, aussi dru qu’à mon pas! 

Letrouvaire; : – Oh yeh! Oyez donc! Oyez toutes, et toussent! Fort vrayment vous le clame-je! Oyez m’en, et de toutes les saveurs!

Letrouvaire; : – Dites-moy, bonnes gens, pour, d’un oiseau, le chant, plinge, randon, poisteau, courcelets d’une caille, estelier, landerelle… Mais qu’emporte lequel! Pour l’abois d’un perdreau, comme aux faims d’en esclore le clapet, vous falloit-il vrayment t’ainsi tant vous y mestre? Sottes gens, en pareille hurleries, autres si rougeoyeux estats?

Letrouvaire; : – Lyvrer sus que bastailles, carnassiers pugilats, aux prix et jusque crics d’estocs pis que taille! A vous fêler la voix des talions au geysier, torves gens, dytes-moa?!

Leguet; : – Il se pourrait bien être aux environs de dix neuf heurts et puis quelques soupières d’identique brouet! Ainsi donc, à vos auges, de par telles normes gens, ainsi, la clause allant de soy, vos adéquats couverts!

Letrouvaire; : – Oyez, hauts niais, oh Yeh! Ainsy que gentes dames, plus quelconques biaux sires, gens de villes et bouges, de prêches comme d’armes, jouvencelles, puciaux!

Letrouvaire; : – En vers et contre trous, proses plus andines, communes, oyez donc, oh yeh tous, si vibrement, je vous en crie, défiant toutes doses se voulant subversive, plus que tout, oyez m’en! Ainsi redites-le me donc, toutes sortes de gens, pour d’un oiseau le chant, vous faudrait-il extraire de sus pareils boucans?! Prestant plutôt l’oreille si mieux lors préférablement à l’agreste comptine que je vous sert, au trot! De deux voix tout le drame truffé de bien des maux, peines, joies, amours folles, que je m’appreste à vous servir; l’une estoit de Larousse, plantureuse poissarde; aussi grinche que louche estant celle de Ledroy; plus chétif que barde, dont on chaume tous toits;

Letrouvaire; : – voix qui force l’ouïe jusque la pis rétive, à fendre ses poissons, tant celle de l’adverse à vanter ses oublies; de l’une, l’autre esprise, tout comme le contraire là le plus réciproque!  A en perdre oraison, ses moyens et chemise, jusque à l’ultime caleçon!

Leguet; : – Foin de par tels dévergondages tout ôtant auditifs que par tels libertins! Il est fort d’avantage encore que les vingt trois heures lassées, leur plus ample demi, que vous supputez croire… Sinon juste estimez! Ainsi donc, reposez, en un silence aussi compact que global, par si distraites et fourvoyeuses gens ! Tandis que le guet veille, tout aussi vostre que vous choie!

Leguet; : – Ils sont, de vingt et quatre, quoique comprenne qui voudra, les douze coups sommés, fort autant que battus tout aussi mieux qu’en beige; aux bons soins, mais bien dur, de votre inaltérable guet, tant et sus, par vos soins, à dorer;

Leguet; : – De la nuit toute altière, y inclus son mitant; de son aube au déclin, faites ce qu’il vous sied, convenant aux amants, comme gisant au pieu; ce jusque à coins ferrés… Mais n’insultez de sus ce guet qui vous chérit comme berce vos songes combien mieux que les chiens;

Leguet; : – Il et une heure moins trois d’entre toutes ces elles… Si ce choix vous convient, sommes de gens en quête! Malgré un vent vorace, et froid qui tord et glace, que ça vous plaise ou point, votre guet serviteur, sous l’ondée de surpoids qui tant et sus menace de faire choir un mercure aux tréfonds d’un zéro, de combien dissolu! Mais point n’en ayez cure, en vos gras et dreudons, si moites quiétudes, puisque c’est lui qui l’endure! Paissez et croassez molles et ternes gens! Nantis de tous outils adéquats érigés à ces faims éternelles! Votre guet de tous jours et par telles autres nuits,avec tous autres zestes, se gèle, pour vous, seul, le sien!

Leguet ; : – Il est deux heure et plus, voire d’avantage encore, que pleut, croyez moa, tonnent, gens, fort plus haut que tous cieux! Ne, sachant déverser sur vos toits, comme aussi pis que moi leurs vénales rancoeurs!

Coulissun; : – De ton heure,

Coulistroi; : – On s’en fout le pourtour, tout ôtant que global!

Coulissink; : – Maudit guet!

Coulissix; : – On s’en beurre

Coulissept; : – Les nougats,

Coulisquatre; : – Triste drôle,

Coulisept; : – A la peau,

Couillhuit; : – De nos tresses!

Coulisdeux; : – Mais pardiou,

Coulissinc; : – Clos nous donc,

Coulissun; : – Tant en faim,

Coulisneuf; : – Et cela sans larder,

Coulissette;  : – Ce clapet!

Laigrefoin; : – J’ai pour vous, quant à moa, l’aigre vin, que je vais vous servir, foin de lait comme d’os, ce tantôt si matin! Sinon tous élixirs de mon très propre choix; à plonger l’insomniaque jusque sus endurci, en somme de tel plomb; mieux que coup de patraque, que quasi le dernier;

Laigrefoin; : – Mehhh plutôt qu’oh de pluie, à rincer vos gésiers, jetez vous donc au mieux, et ce jusque en dévers de noueuses savate, ces par tels os de vie!

Clocheteur; : – Malborough nous est mort!

Clocheteur; : – Et las tout que de rire! Très fort on peut m’en croire;

Leclameur; : – Vive Jehane, la plus elle;

Clocheteur; : – Carbonisée telle, à son four!

Leguet; : – C’est quatre heure, connes gens, fort tout rond! Sinon cinq de surpoids, soustractives de trois? Que je divise par ôtant;  vous laissant lors le choix d’en extirper en fin le plus invraisemblable alors de tous les résultats!

Leguet; : – Et puis il est six ou bien sept… Ne voudrais cependant en jurer?!

Leveilleur; : – Il fait plus que tout jour des plus très intensément tout hautant nocturne, dormeuses et dormeurs de tous quartiers… Poursuivez donc en choeur, gisantes et mornes gens, la somme de vos sommes; tout aussi dru que vos jusque ici fort audibles ronflements, très bruyamment, vous le sommant !

Leguet; (plus tard) : – Il est l’heure, toutes gens, passées et trépassées, toutes heures vouées à vos sommeils, de secouer vos puces et autres ingrédients ! Extripées de vos jusque de vos songes et draps! Ainsi que carillons de cloches de surpoids, appuyant mes propos, il est temps, prestement là de vous mettre enfin en branle!

Letrouvaire; : – Dites-moy, bonnes gens, pour, d’un oiseau, le chant, plinge, randon, poisteau, courcelets d’une caille, estelier, landerelle… Mais qu’emporte lequel! Pour l’abois d’un perdreau, comme aux faims d’en esclore le clapet, vous falloit-il vrayment t’ainsi tant vous y mestre? Sottes gens, en pareille hurleries; autres si rougeoyeux estats?

Letrouvaire; : – Lyvrer sus que bastailles, carnassiers pugilats, aux prix et jusque crics d’estocs pis que taille! A vous fêler la voix des talions au geysier; torves gens, dytes-moa?!

Leguet; : – Il se pourrait bien être aux environs de dix neuf heurts et puis quelques soupières d’identique brouet! Ainsi donc, à vos auges, de par telles normes gens, ainsi, la clause allant de soy, vos adéquats couverts!

Letrouvaire; : – Oyez, hauts niais, oh Yeh! Ainsy que gentes dames, plus quelconques biaux sires, gens de villes et bouges, de prêches comme d’armes, jouvencelles, puciaux!

Letrouvaire; : – En vers et contre trous, proses plus andines, comme ôtant que communes; oyez donc, oh yeh tous, si vibrement je vous en crie; défiant toutes doses se voulant subversive, plus que tout; oyez m’en! Ainsi redites-le me donc, toutes sortes de gens!  Pour d’un oiseau le chant, vous faudrait-il extraire tout hautant que produire de sus pareils boucans?! Prestant plutôt l’oreille, si mieux lors préférablement à l’agreste comptine que je vous sert, au trot; de deux voix tout le drame truffé de bien des maux, peines, joies, amours folles, que je m’appreste à vous servir; l’une estoit de Larousse, plantureuse poissarde; aussi grinche que louche, estant celle de Ledroy, plus chétif que barde dont on chaume tous toits;

Letrouvaire; : – Voix qui force l’ouïe jusque la pis rétive, à fendre ses poissons; tant celle de l’adverse à vanter ses oublies; de l’une, l’autre esprise; tout comme le contraire là le plus réciproque; à en perdre oraison, ses moyens et chemise, jusque à l’ultime caleçon!

Leguet; : – Foin de par tels dévergondages tout ôtant auditifs que par tels libertins! Il est fort d’avantage encore que les vingt trois heures lassées, leur plus ample demi que vous supputez croire… Sinon juste estimez! Ainsi donc, reposez, en un silence aussi compact que global, par si distraites et fourvoyeuses gens ! Tandis que le guet veille, tout aussi vostre, que vous choie!

Leguet; : – Ils sont, de vingt et quatre; quoique comprenne qui voudra, les douze coups sommés, fort autant que battus tout aussi mieux qu’en beige; aux bons soins, mais bien dur, de votre inaltérable guet, tant et sus, par vos soins, à dorer;

Leguet; : – De la nuit toute altière, y inclus son mitant; de son aube au déclin,jusque de toute vie, faites ce qu’il vous sied; convenant aux amants, comme gisant au pieu; ce jusque à coins ferrés! Mais n’insultez de sus ce guet qui vous chérit; comme berce vos songes combien mieux que les chiens;

Leguet; : – Il et une heure moins trois d’entre toutes ces elles; si ce choix vous convient, sommes de gens en quête! Malgré un vent vorace, et froid qui tord et glace; que ça vous plaise ou point, votre guet serviteur, sous l’ondée de surpoids qui tant et sus menace de faire choir un mercure aux tréfonds du zéro, de combien dissolu! Mais point n’en ayez cure, en vos gras et dodus dreudons, telles moites quiétudes; puisque c’est lui qui l’endure! Paissez et croassez, en choeur de telles paradisiaques voix, molles et ternes gens! Nantis de tous outils adéquats, érigés à ces faims éternelles! Votre guet de tous jours et par telles autres nuits, avec tous autres zestes à survenir encore, se gèle, quasi le plus global de sa totalité!

Coulissette:  Acte I: