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K II: Arbre matérialisant le KHA-KAH: Photo:

K II:

Arbre matérialisant lui encore le KAH-KHA, mais ici à la perfection; le seul, en effet, des trois découverts sur les terres Anastasiennes de l’auteur, proposant, à la vue tout hautant qu’au palpé, non seulement les huit embranchements de tronc exigés pour y parvenir, mais encore le neuvième, appelé Pérégrin!

Découvert, précédant juste l’Ancêtre Sorcier, identifiable lui entre tous, par non seulement un, mais les trois yeux gravés sur son front, garants de son statut prestigieux, tout à la fois de jeteur de sorts, bons ou mauvais, adressés aux victimes ou élus de son choix; comme capable encore de commander aux éléments naturels.

K II: Seul des trois répartis tout au long des terres Anastasiennes de l’auteur, parfait dans sa conception:

Leuh: Chroniqueur de la Cour: Photo:

Leuh:

Avec Tohn, collègue Photographe, lui Chroniqueur attitré et dûment assermenté de la Cour; deux personnages semblables, avec le premier, craints tous deux par l’ensemble des infortunés Hôtes du Château et ainsi prisonniers à jamais du Cercle, en fonction de leurs exceptionnels respectifs pouvoirs…

En effet, après consultations et conventions entre eux, capables, le premier, à coups tout simplement de spatule et gomme, de sa toile, le second, quant à lui, de ses propres tabelles, n’importe laquelle ou lequel de leurs compagnons de captivité, aux grès de leur choix commun, de le faire ainsi définitivement disparaître du Cercle et du Château;

tout comme, alors, n’ayant jamais existé!

Leuh: Chroniqueur de la Cour:

Les Lanciers: Arbres: Photo:

Les Lanciers:

Un régiment entier mis sous les ordres et à la disposition permanente de Thu, chef incontesté de l’ensemble féminin comme masculin des Hôtes du Château, et ainsi prisonniers à vie du Cercle; promu ainsi, général placé, de plus, à leur tête.

Avant garde de toute une armée, chargée exclusivement de sa garde personnelle et rapprochée…

Réduisant, à elle seule, déjà, toute tentative, ne fusse que juste esquissée de rapprochement, et combien d’avantage atteinte directe de son éminente personne.

Cela jusque à ce que surgisse Lea, la Vierge Ivre, comme Diane, chasseresse, accompagnée de son molosse, enfin Jehane, issue du roman de l’auteur, d’identique Prénom; Opposée, quoique vierge elle aussi, mais ivre de pouvoirs tout hautant temporels que spirituels; pour ce faire, parvenant, par la ruse et la force, surtout, à se faire introniser Papesse; seule de son espèce.

Et qui dépouille Thu, s’approprie la protection de toute cette armée vouée à sa nouvelle, omnipotente et exclusive Patronne.

Les Lanciers: Au début du parcours de l’auteur sur ses terres Anastasiennes; ici encore, au début ou presque de ses berges, en bordure des eaux du Grand Fleuve:

Le K III: Arbre: Photo:

K III:

Le plus imposant des trois, répartis tout au long du parcours sur les terres Anastasiennes de l’auteur… comme soucieux d’en occuper la place d’harmonieuse façon, à égale distant les uns des autres…

Le premier, situé au début des terres intérieures, plus précisément, peu après Corps de Ballet…

Le second, à son milieux, situé lui, peu avant de pénétrer à mi parcours, à l’intérieur du Bois de Plume, le long de la Baie d’Event…

Enfin, le troisième, proche de la conclusion de ce même parcours; découvert juste avant le tombeau aquatique dans lequel repose Yelsha…

K? Pourquoi cette lapidaire définition? Abréviation, bien sûr, du KHA-KAH. C’est à dire, tout comme à découvrir, un arbre dont le tronc se partage, à sa base en huit partie; même chiffre que les huit disciplines littéraires de cette œuvre; Romantique, Théâtrale et enfin Poétique…

Le K III: Le huitième tronc, sur le devant, avant l’ensemble de presque tous les autres, tombé, tronqué à sa base, plus que souche, sous les haches et tronçonneuses des bûcherons:

Lharpenteur et Lhobereau: Photos:

Lharpenteur et Lhobereau:

Toujours, sous formes d’arbres, pour l’une d’elle, ceux-ci, quoique complètement desséchés et dévorés par les vers, sur le point pourtant proche déjà de s’effondrer eux-mêmes sur leur souche voire jusque extrêmes racines, eux encore abattus sous les haches et tronçonneuses des bûcherons.

Comme il ne put que se concevoir, situés au-delà de tous les hôtes du Château et du Cercle; ces deux Personnages, quoique impliqués parmi eux, ne faisant pas pleinement partie de leur groupe, l’auteur tenant à le rappeler, au nombre de Vingt-Quatre, alors complet, sans eux.

Cependant, plus encore essentiels, puisque délimitant, le second, chargé de parcourir dans sa totalité les limites extrêmes de ce Cercle, dont toutes les terres lui seraient alors revenues, pourchassé par le premier afin justement de l’empêcher de parvenir à ses fins.

Ainsi, tous deux occupés à perpétuellement et sans fin s’entre occire!

Ne subsistant, rescapés, pour quelques jours mais qui leur sont comptés, du passage des forestiers, découverts par l’auteur, proches des rives du Grand Fleuve Anastase, que leur double dépouilles; et que les vers finissent de dissoudre.

Lharpenteur et Lhobereau, encore sur pieds:

Leurs dépouilles, gisant côtes à côtes, à la suite du passage des bûcherons: