Archives de catégorie : Le Cercle

Ilsehe: Personnage du Cercle: Photo:

Ilsehe:

Arbre matérialisant un parmi les vingt quatre Personnages abritant l’ensemble des hôtes involontaires du Château et du Cercle… Lui féminin; illustrant la légèreté, l’évanescence, la superficialité souvent, bien à tort, attribuées par trop facilement, en tant que clichés habituellement dévolus à ce sexe.

Découverte, en réalité, bien plus complexe, sous ce même Prénom, dans le rôle interprété par elle dans la pièce théâtrale, la toute première, écrite et réalisée par l’auteur, intitulée Ulysse.

Ilsehe:

Leuh: Chroniqueur de la Cour: Photo:

Leuh:

Avec Tohn, collègue Photographe, lui Chroniqueur attitré et dûment assermenté de la Cour; deux personnages semblables, avec le premier, craints tous deux par l’ensemble des infortunés Hôtes du Château et ainsi prisonniers à jamais du Cercle, en fonction de leurs exceptionnels respectifs pouvoirs…

En effet, après consultations et conventions entre eux, capables, le premier, à coups tout simplement de spatule et gomme, de sa toile, le second, quant à lui, de ses propres tabelles, n’importe laquelle ou lequel de leurs compagnons de captivité, aux grès de leur choix commun, de le faire ainsi définitivement disparaître du Cercle et du Château;

tout comme, alors, n’ayant jamais existé!

Leuh: Chroniqueur de la Cour:

Tableau: Stam de travail: Photo:

Tableau:

Qui se trouvait juste en face de moi, au coeur d’un fumoir me servant de lieu de travail, dans les sous-sols de la Brasserie Treize Etoiles; découvert et utilisé durant de longs mois, en train encore de mettre sur ordinateur le contenu de mon KHA-KAH…

Un lieu énormément apprécié pour son côté intime et secret; dans lequel je me trouvait la plupart du temps seul… doublement apprécié encore, du fait que l’inévitable musique rencontrée pratiquement partout ailleurs y était si bénéfiquement absente! Plongé en un silence bienvenu… idéal pour la rédaction de mes articles…

Le tableau? Goûté lui aussi; souvent, mon travail en suspend, pour mieux m’y arrêter… empreint de ce trouble côté ludique, onirique et comique, encore… propre au rêve, l’évasion vers des terres inconnues, inédites…

Finalement abandonné; comme d’habitude, pour la découverte, selon mes habitudes, d’autres lieux…

Toile empreinte d’onirisme, ludisme; et propre à l’évasion… :

Leyhs: Tapissier: Personnage du Cercle: Photo:

Leyhs: Tapissier:

… Ponctués d’autres rires éructés d’une gorge quasi dépoitraillée, prestement redressée, lancée et dévalante toute une volée déjà de neuves rampes de surpoids, Aele clame de plus bêle ce qui semble être cri de guerre, carnassier raliement;

: – Pénéloooope!

Tout l’ensemble des troupes aussitôt convergentes élancées sur ses pas, emportés dans la vertigineuse dégringolade d’autre escalier, aux marches cette fois en colimaçon; tous virages là pris jusque à la corde roide, si proche à tout instant mais de se voir abruptement rompue;

: – Pénélope! Lehys, voulais-je rire, ou plutôt le décrire!

Se reprend Aele avec un souffle mais là commun à tout ses pourchasseurs, aux basques éperdues de par telle déconfite victime;

après bien des débours, ensembles de couloirs enfilés tels aux pas plus que jamais de frousses, pièces, halls, salons pourfendus à tout comme la nage, sinon telles autres rages de meubles fracassés au tassage sous les pas de ces meutes oh combien carnassières, finalement parvenues à l’atteindre!

Il est là, en effet, farouchement campé sur le seuil d’une porte aussi massive que blindée; quoique lisiblement inquiet face à l’irruption d’un tel amas de troupes ainsi des plus lisiblement lancées à ses personnels et assassins assauts; n’hésitant tout aussi bien à fendre ainsi sa peau qu’interdire à tous cris hautant qu’à tout l’ensemble de ces forcenés vandale, son accès!

: – Sois-en persuadée, telle véhémente égérie, que je me trouve fermement décidé à opposer jusque le rempart de mes os, sous vous coups, mis à vif, pour vous interdire de progresser plus avant!

: – Mais ce n’est point à ta peau qu’ainsi nous en avons! Simplement désireux, et cela à n’importe quels cris, de découvrir et consulter une de tes oeuvres,

: – Moah?… Mehhh!… Euhhhh?

Je ne vois, te l’assume, ce de quoah tu prétends que je vous cache!

: – Mais fort bien dur, de ta foutue tapisserie! Où donc la tapis-tu?!

Sentant le poids de la menace, quant à l’intégrité de celle-ci, il bondit en retrait, mis des plus lestement à l’abri salvateur, ce toutefois l’escompte-t-il, d’un huis refermé sur lui et qu’il s’apprête à clore plus définitivement encore, à grands renforts de poutres traversières, chaînes de tous calibres, verrous et chausses-frappe.

Contré mais cependant dans sa tentative d’esquive par le pied de cette Aele, fort rageusement décidée à interrompre, mieux rompre cette tentative se voulant stratégique!

: – Minute, goupillon!

: – Point si preste, quenouille!

Et c’est ainsi sans hurler gare, plus que les sommations pourtant de vigoureux usages, éructées de buccins, cor de buses, clairons et autres trompes de surpoids, que le si secourable ensemble de ces meutes tout aussitôt échevelées se propulse aux assauts du rempart que tente mais toujours de tisser ce fâcheux tapissier.

Tandis qu’ Aele admoneste son ami fort marri:

: – Mais enfin, dis le leur, à eux tous aussi, ce que tu m’as appris! Que son oeuvre est à terme! Que toi seul l’a vue, mais telle qu’il nous l’occulte, ce foutu tapissier!

Et c’est alors que Thu, reprécédent ses troupes comme en prenant les rênes, sentant qu’il était temps de mettre un terme à un désordre susceptible de plus en mieux de rabattre en gestion les éclats de sa si monumentale autorité tonne tout à son cours;

: – Foin là de toutes prudes, sinon frigides réticences!

Et prompte exécution, tergiverseuse pénélope! T’adjurant mais ainsi sans jambages d’avoir à nous livrer pratiquement et ce jusque sur tronche les plus ivres accès à ta foutue tapicherie!

: – Wooouahhh! hi oh!

Ce rire alors tonitruant de rire mais tout comme de guerre, quoique des plus indécelable, de par tel immergé en une telle foule, ne sachant qu’appartenir, de par son timbre inimitable ainsi que suraigu, au petit Wooh, compensant mais d’hautant, fort ainsi, le succinct de sa taille;

: – Non mais dis, t’as ouï, woui, fort foutu pâtissier, ce qu’a dit ton patron!? Alors, exécution!!!

Leyhs: Tapissier: Appelé aussi Pénélope:

Lharpenteur et Lhobereau: Photos:

Lharpenteur et Lhobereau:

Toujours, sous formes d’arbres, pour l’une d’elle, ceux-ci, quoique complètement desséchés et dévorés par les vers, sur le point pourtant proche déjà de s’effondrer eux-mêmes sur leur souche voire jusque extrêmes racines, eux encore abattus sous les haches et tronçonneuses des bûcherons.

Comme il ne put que se concevoir, situés au-delà de tous les hôtes du Château et du Cercle; ces deux Personnages, quoique impliqués parmi eux, ne faisant pas pleinement partie de leur groupe, l’auteur tenant à le rappeler, au nombre de Vingt-Quatre, alors complet, sans eux.

Cependant, plus encore essentiels, puisque délimitant, le second, chargé de parcourir dans sa totalité les limites extrêmes de ce Cercle, dont toutes les terres lui seraient alors revenues, pourchassé par le premier afin justement de l’empêcher de parvenir à ses fins.

Ainsi, tous deux occupés à perpétuellement et sans fin s’entre occire!

Ne subsistant, rescapés, pour quelques jours mais qui leur sont comptés, du passage des forestiers, découverts par l’auteur, proches des rives du Grand Fleuve Anastase, que leur double dépouilles; et que les vers finissent de dissoudre.

Lharpenteur et Lhobereau, encore sur pieds:

Leurs dépouilles, gisant côtes à côtes, à la suite du passage des bûcherons: