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Tableau: Stam de travail: Photo:

Tableau:

Qui se trouvait juste en face de moi, au coeur d’un fumoir me servant de lieu de travail, dans les sous-sols de la Brasserie Treize Etoiles; découvert et utilisé durant de longs mois, en train encore de mettre sur ordinateur le contenu de mon KHA-KAH…

Un lieu énormément apprécié pour son côté intime et secret; dans lequel je me trouvait la plupart du temps seul… doublement apprécié encore, du fait que l’inévitable musique rencontrée pratiquement partout ailleurs y était si bénéfiquement absente! Plongé en un silence bienvenu… idéal pour la rédaction de mes articles…

Le tableau? Goûté lui aussi; souvent, mon travail en suspend, pour mieux m’y arrêter… empreint de ce trouble côté ludique, onirique et comique, encore… propre au rêve, l’évasion vers des terres inconnues, inédites…

Finalement abandonné; comme d’habitude, pour la découverte, selon mes habitudes, d’autres lieux…

Toile empreinte d’onirisme, ludisme; et propre à l’évasion… :

Fenêtre: Extrait du film Psalma: Photo:

Fenêtre:

Photo extraite du film Psalma, écrit, tourné par l’auteur, enfermé dans la petite guérite située dans les vastes jardins de la villa familiale au Rawyl 15 de Sion;

Symbole, dans le contexte de ce film incarnant la solitude, l’enfermement, cellule d’ermitage ou de prison, enfin l’ouverture, la possibilité d’évasion, découverte d’espaces d’autant plus vaste qu’étroite l’était celui de sa prison; (deux mètres sur deux!!!)

Vue proposée par l’auteur cinéaste et acteur, précédant juste de très peu celle de cette massive porte, durant toute la durée du film, vers laquelle il revient toujours buter, solidement cadenassée, enfin entre ouverte, légèrement tout d’abord, puis, progressivement de plus en plus largement…

Jusque enfin à ouvrir à cet Ermite, Interné, l’accès à un arbre planté juste à ses devants… caméra remontée tout au long comme large de ses branches, leurs ultimes rameaux… enfin, au-delà, plus vaste encore, offert, celui de cieux dégagés…

Fenêtre: de l’Atelier de l’auteur: Rawyl 15, à Sion:

Marines: Il arriva, un beau… :

Il arriva, un beau,

voire tout autre jour que celui dont il se réfère pour l’affirmer, qu’Heel eut bien ses vingt ans ;

et puis, tout aussitôt après, ses habituelles inévitables primes poussières, ayant, dans ce cas là comme tant d’autres, coutume de s’ensuivre;

puis, bien des ans plus tard, à la suite comme fuite de fort multiples errements, vagabondages et autres avatars, il se prit à aimer des plus passionnément ; conformément toujours à tous civilisés usages ;

aux faims de se prouver la chose, comme à tout un chacun, allant jusque à poser, en compagnie de ses fraudes d’orthographe; parvenu, ce jour dit, comme encore bien plus tard, sinon y étant presque, quasiment tout à trac; 

cocardes et gants blancs tout comme chapeau flasque; plutôt qu’en boutonnière, une fleur en sa poche, en d’autre son cure vent;

Heel eut bien ces vains ans, authentifiés sur papier soie, voire insane pelure, égaré, depuis tant; faute de ces édits, on écrase les pieds de ce vil imposteur, malmène ses tibias; celui là, malgré coups comme trous, poursuivant de plus bêle, quoique jaune, Heel en rit ;

échappant, de ce fait, à d’autres pires maux, ce jusque à se voir mort; mais qui préfère, aux obsèques ne sachant que s’ensuivre, aller jouer aux quilles; ou en corps beaucoup plus avenantes, à d’autres filles, plus tard;

Heel eut bien ces vingt ans, encore dotés de tout ses crocs ; et rongeant la chandelle par plus que ses deux bouts; tout comme eux tous, personne jusque ici n’ayant su échapper à ce navrant constat;

plus que jamais comme toujours, Heel en rit ; parce que c’est, ainsi qu’on le lui somme, strictement vendredi; gémissant mais enfin sur sa défunte barbe; ses quelques rares poils rescapés du désastres insuffisant, désormais à y enfouir ses maux;

Heel eut bien, il est vrai, ces vingt ans; de guerre plus que lasse, condescend cette foule ; mais alors, pourquoi donc lui faut-il nous en faire un tel plat?

quête

Mnémos 2:

Article : Mnémos 2 :

Caissettes comprenant deux panneaux ; tout comme pour le Julien, découpés en une série de cercles mais ici maintenus entre eux par deux plaques de verre. Panneaux dont chaque joueur utilise chacun, l’un d’un côté du jeux, le second de l’autre, sur son endroit, tout d’abord . 

(première photo) Dont on découvre quatre parcours, une fois ceux-ci reconstitués, chacun partant d’un coin jusque à celui opposé ; que doit emprunter une seule petite bille, de son point de départ à celui d’arrivée.

Mnemos 4

Le joueur qui le choisit, avec simultanément son adversaire lui jouant sur le panneau opposé, dont le gagnant réussi le premier à le parcourir dans son entier. Pour y parvenir, chacun d’entre eux devant mémoriser l’ensemble exact des motifs qui composent cet endroit. Une fois chose faite, les panneaux de chacun sont retournés sur le côté envers.(photo 2)

Mnemos 3

Pour parvenir à réaliser ce parcours, en recomposant les motifs mémorisés. La bille témoin certifiant celui-ci accompli. Si elle n’y parvient, chacun se devant de manoeuvrer, alternativement, un seul disque de son choix.

 

 

Ambiances; suite et fin:

Ambiances ; suite :

L’auteur termine ici, avec ce second volet, l’ensemble des pièces qui les composent ; toujours sur fond sonore de chants Grégoriens, leurs huit Modes avec le neuvième intitulé Pérégrin ; textes relatifs à des extraits de de son œuvre littéraire, en rapport avec des personnages concernant chacun d’entre eux ;

textes issus de son écriture volontairement quasi abstraite et nébuleuse ; donc pour lecteurs avertis tout hautant qu’aguerris!