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Fenêtre: Extrait du film Psalma: Photo:

Fenêtre:

Photo extraite du film Psalma, écrit, tourné par l’auteur, enfermé dans la petite guérite située dans les vastes jardins de la villa familiale au Rawyl 15 de Sion;

Symbole, dans le contexte de ce film incarnant la solitude, l’enfermement, cellule d’ermitage ou de prison, enfin l’ouverture, la possibilité d’évasion, découverte d’espaces d’autant plus vaste qu’étroite l’était celui de sa prison; (deux mètres sur deux!!!)

Vue proposée par l’auteur cinéaste et acteur, précédant juste de très peu celle de cette massive porte, durant toute la durée du film, vers laquelle il revient toujours buter, solidement cadenassée, enfin entre ouverte, légèrement tout d’abord, puis, progressivement de plus en plus largement…

Jusque enfin à ouvrir à cet Ermite, Interné, l’accès à un arbre planté juste à ses devants… caméra remontée tout au long comme large de ses branches, leurs ultimes rameaux… enfin, au-delà, plus vaste encore, offert, celui de cieux dégagés…

Fenêtre: de l’Atelier de l’auteur: Rawyl 15, à Sion:

Psalma: Vidéo:

Psalma:

L’auteur rappelant aux quelques visiteurs de son site, ayant peut-être eu l’occasion de le visionner, comme à d’autres n’ayant éprouvé ce malheur, puisque enregistré le tout premier dans Youtube, tourné et interprété par lui dans son atelier du Rawyl 15, (2 mètres sur deux mètres! ) sur le thème de son ouvrage poétique du même nom, tenant à exprimer quelques considérations à son sujet.

Malgré son aspect apparemment décousu, empreint, et cela de la plus, apparemment, insignifiante des images figées, comme de la moindre scène offertes, que pas une seule d’entre elles n’est gratuite, faisant office de remplissage!

Chacune d’entre elles chargée de symboles; fidèle au contenu de cet ouvrage poétique. Dans un fond hautement tragique, soulignant, tout au long de son déroulement, et ce jusque aux toutes dernières séquences la dualité déchirant tout créateur par la dualité de ses réalisations artistiques confrontées à la réalité de sa famille; ainsi, durant son travail, par la force des choses, coupé d’elle.

En accord avec ses convictions, se devant cependant de conclure ce film par une séquence plus légère, pour ne dire, ou plutôt voire quasi comique! Celle dans laquelle on retrouve l’auteur-interprète, faisant suite à sa partie de roulette russe, porte de son atelier du Rawyl 15 finalement ouverte; symbole ici, après le drame, faisant suite à son enfermement absolu, souligné par la répétition des images du décor ambiant, de sa libération.

Des premières séquences du décor, obsessionnellement répétitives, figées; des suivantes dans lesquelles les choses s’animent; des disparitions bientôt de tous objets superflus; symbolisant l’isolement du héros pris dans la rédaction de plus en plus intense de son texte; des ses vues progressivement chaotiques puis, de la même façon, envahies de fumées; symbole du cauchemar naissant, bientôt jusque total; finalement le tout rentré dans l’ordre; images de retour à leur aspect initial, mais soulignant l’enfermement encore total du héros cloisonné dans les murs de son atelier-prison comme cellule.

La densité comme l’intensité de tout l’ensemble de ce film, proche de l’insoutenable! En voulant, pour preuve, les aveux d’un de ses anciens amis, Gérard George, ayant participé et contribué à la réalisation, depuis ses tout premiers balbutiements jusque à sa conclusion finale de son KHA-KAH; sans parvenir jamais être parvenu à en visionner son ensemble dans toute son intégralité!

Heel, prisonnier et proie livrée de ses démons d’alors:

Chants Populaires: Documents Sonores:

Chants Populaires :

L’auteur étant convaincu, dans le cadre des cours de musique donnés à l’Ecole Normale de Sion, de leur inutilité, pratiqué jusque là, en parlant avec ses collègues de travail ;

: – A quoi peuvent ils servir à ces futurs enseignantes et enseignants ? Terminant leurs trois années d’étude au clavier pour parvenir à jouer une petite pièce de Bach ou autres compositeurs  dans le cadre de leurs cours de chant?! Ils joueront leur morceau appris à leurs élèves, pour leur première leçon… et puis après ?!

: – Et que proposes-tu pour remédier à ça ?

: – Introduire, à la place de l’étude de ces petits morceaux, des cours d’accompagnement !

Face à leur opinions, trouvant la chose tout autant qu’utopique, il leur fait découvrir une méthode adaptée à ce genre de circonstances, mise au point, durant de nombreuses années par ses soins. Mais sans parvenir à les convaincre ; pas d’avantage que le chef de l’Instruction Publique du canton du Valais Romand, à qui il est allé, seul, cette même méthode.

Avec son insistance et aidé par les circonstances, (pléthore d’élèves se destinant à l’enseignement) ces cours sont enfin introduit dans le programme, à l’essai pour une année; destinés seulement aux nouveaux élèves. Avec un tel succès que ceux suivant l’ancien enseignement, en plus de celui-ci, s’inscrivent spontanément pour suivre ce nouveau !

Méthode et cours finalement admis !

Dont font partie des cours d’improvisation au clavier et d’harmonisation.  Et c’est une sélection de ces chants populaires, harmonisés par l’auteur, à la suite de ses élèves, qu’il propose à votre découverte…

Travail faisant partie de ses nombreux documents sonores.