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Vache qui Vole

Hello vous deux!

Vous me remerciez pour ce juste repas pris ensemble à la Vache qui Vole?!

Si peu de chose pour tout ce que je vous suis redevable!

Toi, Thierry, pour ton aide technique si précieuse, et ton hébergement sur ton site personnel!

Toi, Céline pour, tout d’abord, avoir pris l’initiative de la création et la conviction, de ma part, de me laisser tenter par cette aventure!

Pour les soins incessant et bienveillant prodigués à mes si gauches premiers pas dans internet!

La patience de répondre sans sourciller à mes questions très souvent complètement idiotes ou farfelues!

Grâce à vous deux, parvenu finalement au bout de ce pensum!

Le concluant par un tout dernier article, publié en ultime conclusion sur ce site désormais parvenu à terme.

Bien peu de chose, en effet, que ce simple repas…

Relaxation: Danse: Photo:

Relaxation:

Jeune apprentie ballerine, elle des plus attentionnée, dans l’attente toute de se lancer enfin dans l’arène des mille feux de la rampe, tous exclusivement concentrés sur elle… prête toute à exécuter les tout premiers pas de la chorégraphie mise à sa disposition, élaborée par sa maîtresse de danse classique… en route pour l’envol de leurs tout premiers pas….

Toute entière, corps et âme, à leur parfaite exécutions, échappée aux attentions conjuguées sur elle de tout une foule entière, ses parents y inclus, tapis, mille objectifs attachés à ses pointes et pas… tout ôtant sourde à leurs bruyantes comme bruissantes acclamations et crépitants applaudissements…

jusque au bout, à la révérence, genoux ployés, apprise elle aussi, de rigueurs, à leurs endroits…

Relaxation: Mais concentration tout de même!:

Répétition Artère:

Répétition de L’Artère :

L’Artère ? Qu’était-ce, au juste ?!

Une association de jeunes poétesses et poètes, fondée et dirigée ensuite par le Pélikhan Blanc ; solide gaillard à la voix de stentor, poète-teinturier-brocanteur ; éditeur d’une revue publiée par ses soins et initiateur de plusieurs récitals poétique, dans un local privé, tout d’abord, puis au Petit Théâtre de Sion.

Groupe composé, entre autres, de celle baptisée par l’auteur Puberté, amie du Pélihkan ; une autre jeune poétesse, amie elle de Jean-Michel Mayor, à qui l’auteur dédia ses Soleils, en hommage, suite à son brutal décès, à l’âge tout juste de vingt ans ; retrouvé pendu ; Simone Collet, poétesse vaudoise ; enfin Pierre-André Mihlit.

C’est peu après cette tragique disparition que l’auteur décidait d’abandonner ce groupe, de retour à son état de loup solitaire.

 

Petite Musique de Nuit…

(Un soir, au concert dispensé par le célèbre Octuor à Cordes Swavaritch 🙂

Delphyne: – Voudrais-tu feuilleter, en consultant le programme de tes bésicles concertantes, plutôt que t’enquérir un peu partout autours, selon tes hébétudes, parmi la foule de ces mélomanes de tous bords, d’un hypothétique cadavre à circonscrire enfin au registre jusque là quasi vierge de tes enquêtes policières, ce que figure au programme de concert, en un tout premier lieu! 

Althof: – Ainsi, malencontreusement distrait de mes enquêtes, voyons ça donc d’un peu plus près!

Si j’en crois, plutôt que mes oreilles de parfait ignare de ces choses dites musicales, tandis que débutent les tout premiers accords, plus volontiers et sûrement mes yeux, je peux te découvrir, sans risque d’une horreur qu’il s’agit d’un septuor à cordes et clarinette de Chou Beure. Et plus encore spécifiquement en Uteux Démineur biaisé! 

Delphyne: – Oh mais excuse-moi! Pour ainsi ouïr les tout premier ébats de cet ensemble de virtuoses, pour le superflu de ma question!

Comment, fort en effet, ne pas reconnaître, et ce au tous premiers accords, l’inimitable génie de ce cher Chou-Chou!

Alors que j’en avais déjà quasi la langue sur son identité!

Public (de proches et plus lointains voisins): – Schhhhhht!

Althof: – Zut! Ou pis, irais-je jusqu’à couenne!? Aux faims de me distraire déjà d’un très profonds ennui, de retour à ces pages glacées de dépliant, réalisant que je me suis trompé!

Oh mais là fort heureusement pour l’entité préservée ainsi intacte de ma personne, vraiment de pas grand chose: Septuor, et de une! Pour cordes, et de cinq! comme enfin pour le trois: et clarinette! Toujours, pour clore, en Ut assurément rageur; mais de Moshard, celui-là.

Oh mais surtout ne rectifier la chose ! Haut de combien n’alors je le mortifierais, et ce aux plus grands torts, ce chair ange, par las, déchu jusque au plus ras de son créchoir !

A défaut de goûter tout tel qu’il devrait sière aux débordantes joies de la grande musique, en déguster le sel, n’ais-je pour me distraire, que le spectacle de ces musiciens tout à leurs musicales prestations.

Althof Hilter: – Saigneur! Quel ramassis de tronches; malgré les affres du photographe commis à nous les rendre à leur mieux comestibles, tirées de films, contes parmi les plus agréablement terrifiants à blêmir! 

Sans tenir compte toutefois, délicieuse exception là confirmant la règle, d’une délicieuse blondinette en nattes sages et fluettes fermées de rubans bleu, ingénue fausse ou vraie, cendrillon bienvenue dans cette panoplie d’horreurs.

De son état présent, professionnel,violoncelliste, de son état!

Au plus grand des jamais, doté d’une fille de par telle ingénue, je ne sauris tolérer d’elle qu’elle se produisit, telle, en corps, en public, en pareil, équivoque et scabreux en pareil accouplement! Non seulement jambes mais cuisses ainsi larges ouvertes!

A la découverte du décrépi Maestro dirigeant cet ensemble, imaginant la scène sans se douter qu’il allait bientôt être, et cela en tant que commissaire divisionnaire, vivre la scène imaginée juste à l’instant, vécue entre ces deux protagonistes…

Wylliam Holsborn: – Entrez, ma chair enfant! Il ne fallait frapper, voyons! Vous êtes ici chez vous! Otez donc, mais voyons, en un tout premier tant, votre manteau, chapeau, vos gants comme bottines, comme encore toutes choses autres qui vous passeraient par la tête,jugé de superflu! Mettez vous sur le champs à vos plus amples aises!

Aldhof Hilter: – Oh mais là attention mon coco! Trop poli, ne le dit-on, pour être franchement au net. Y aurait-il ainsi une raison à ma présence ici? Au yeux du vieux bonhomme qui couvent la petite, on devine aisément les aises supplémentaires, pour ne pas dire totales, qu’il voudrait lui voir prendre.

Wylliam Holsborn: – Laissez aussi votre instrument à l’entrée!

Paméla Ludowick: – Mais, maître, n’en aurais-je besoin pour ma première, initiale leçon?

Wylliam Holsborn: – Eh non, ma chère petite! Nous allons consacrer, si vous le voulez bien, cette première leçon uniquement à la tenue requise pour jouer de cet instrument! Et vous allez vous rendre compte que l’heure à peine y suffira! Les plus grandes virtuoses vous le diraient tout comme moi si le secret n’était, pour des raisons évidentes, par eux, jalousement gardé; cet instrument à nul autre pareil à la particularité, afin d’en obtenir la pleine expression, de se monter si je puis dire, tout comme le cheval, à crus.

Paméla Ludowick: – Que signifie, maître, monter à crus? Mon âge, tout comme vous avez pu le constater, des plus tendre ne m’a offert l’occasion d’ouïr cette curieuse expression.

Wylliam Holsborn: – On le dit d’une cavalière montant sans selle.

Paméla Ludowick: – Mais alors, cela équivaut à jouer de cet instrument comme d’un violon?!

Leuré-Citant: – Maître qui met un certain temps à réaliser le jeux de mot involontaire de la petite; trop occupé à noircir davantage, en corps, ses déjà fort sombres dessins, non seulement à ses endroits, mais envers ainsi que tous côtés.

Wylliam Holsborn: – Virtuoses encore mais qui se gardent jalousement de préciser l’indispensable réciprocité de la tenue.

Paméla Ludowick: – C’est à dire, mon cher Maître?

Wylliam Holsborn: – Tout comme le cheval est sans selle, sa cavalière elle est sans euhhhh sa petite culotte. Vous pouvez en toute confiance la retirer; je ne regarde pas.

Paméla Ludowick: – Voilà qui est fait, Maître. Vous pouvez vous retourner. Me voilà enfin prête pour ma toute première leçon. Que dois-je faire maintenant?

Wylliam Holsborn: – Je dirais presque prête. Les plus éminents virtuoses dont je vous parlais, que je vous sens brûlante d’imiter n’hésitant à pratiquer leur art dans celle strictement identique à leur monture.

Paméla Ludowick: – C’est à dire, mon bon Maître ?!

Wylliam Holsborn: – A dire comme préférablement, de mon côté, le voire, à accompagner ce si léger sous-vêtement de l’intégralité de tous vos autres voiles…

Paméla Ludowick: – Si je vous ai parfaitement compris, mon déroutant bon Maître, me découvrir à vous mise alors toute des plus intégralement nue?!

Wylliam Holsborn: – Tel oui, mon si chair petit ange!

Paméla Ludowick, au bout de quelque temps passé à se mettre à ce genre de tâche; : – Voilà donc qui est fait!

Wylliam Holsborn: – C’est parfait, ma petite! Ou alors toujours presque.

Au seules faims d’accueillir ce futur instrument, vous priant juste, en corps plus que toujours, de bien vouloir partager vos jambes comme cuisses, que je découvre si pudiquement et frileusement jointes entre elles…c’est cela, très progressivement jusque à finalement parvenir jusque à leur écart le plus large, humainement possible…

Paméla Ludowick: Me voilà désormais, en faims, prête toute, il me semble, pour ma première leçon!

Delphyne : – N’est-ce par idyllique, mon cher, l’audition haut de combien comblée de par telles merveilles? Transportée jusque aux anges!?

Althof : – Je ne vous le fait dire! Mais pour ma part, vues là plutôt qu’ouïe, me contentant d’un seul de ceux-ci, dispos à se voir croquer entier et quasi là tout cru!

Chalet: Photo:

Mayens de Sion et chalet:

Tout juste deviné, sur la droite, échappé aux nuages de fumée d’un feu de broussailles allumé et surveillé par l’auteur… Ses parfums particulier, dont il conserve le souvenir, propre à ces fins d’été et de vacances…

Annonçant le retour au foyer tout comme la reprise de ses cours d’enseignement à l’Ecole Normale; quelques forces retrouvées pour endurer et supporter à nouveau les flots de fausses notes si généreusement dispensées par ses élèves!…

Automne: Aux Mayens de Sion: