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Vache qui Vole

Hello vous deux!

Vous me remerciez pour ce juste repas pris ensemble à la Vache qui Vole?!

Si peu de chose pour tout ce que je vous suis redevable!

Toi, Thierry, pour ton aide technique si précieuse, et ton hébergement sur ton site personnel!

Toi, Céline pour, tout d’abord, avoir pris l’initiative de la création et la conviction, de ma part, de me laisser tenter par cette aventure!

Pour les soins incessant et bienveillant prodigués à mes si gauches premiers pas dans internet!

La patience de répondre sans sourciller à mes questions très souvent complètement idiotes ou farfelues!

Grâce à vous deux, parvenu finalement au bout de ce pensum!

Le concluant par un tout dernier article, publié en ultime conclusion sur ce site désormais parvenu à terme.

Bien peu de chose, en effet, que ce simple repas…

Toyhe: Concierge du Château: Photo:

Toyhe:

Personnage féminin, hôte elle aussi du Cercle; de par son état et ses possibilités manuelles, Concierge du Château et de ses dépendances; obsédée, violemment allergique à tout ne fusse qu’un seul grain de poussière, une toile d’araignée, voire tout juste son amorce d’embryon.

Lancée à la chasse de tout hôte récalcitrant au port très strictement obligatoire de pantoufles et babouches, à l’intérieur du Château. Pouvant dégénérer, dotée du physique de l’emploi, jusque en franc tout comme percutant pugilat!

Ici, découverte durant sa propre agonie… Aussi totale, consommée que fatale, globale et définitive…

Dépouille consommée tout comme encore mieux, prochainement consumée de Toyhe: Concierge du Château:

Ce qui lui plaît le plus, en vous…

Ce qui lui plaît le plus, en vous, sachez-le sans des tours de quelques casse tasses, ce sont assurément, vos telles naturelles aises ; ces crissants, entre autres, croisement, quasi millimétrés, de jambages et jantes, minutieusement élaborés, tout comme au quart de tours; gainés de nylons fins ; aux couleurs et parfums si troublant de vos chairs;

l’implosant aux étoiles de vos cieux distendus ; en leurs gouffres épars, vastement distendus.

Ce qui le grise, de surcroît, si si, raturez-vous, en d’autres faces comme piles, mais tout comme il se doit, toujours vous concernant… vos bouches enfiévrées, pour ne point les gommer; pas davantage l’une, oh mais en corps, que l’autre ; incapables de ne rien leur cocher ; aux lèvres par telles amples, et charnues, à ravir ;

voiles ici ou là, toujours tout comme accidentellement tirés sur le vorace éclat, pour certaines d’entre ailes, de vos dents carnassières; vos gracieux menus pas, cliquetant ci et là, comme, au mieux, aériens;

vos dessous sans dessus, ainsi que le contraire; voire sinon de tout juste deux sous; vaporeuses nuisettes, portées encore un peu, mais sans trop y danser, plus qu’à d’autres histoires ; que l’on agiterait, pour de proches départs;

vos girations soudaines, impromptues; emmanchées de guingois; en apparences, naïvement déboussolées ; ainsi que tant d’oiseaux le feraient de leurs ailes pour ne choir de trop haut;

vos gracieux hauts ébats, émis de las en os ; tantôt en bas de soie, ou bas en haut de formes onctueuses et fermes; exhibées sur les plages, tout ôtant qu’en vos couches; comme on porte mitaines; d’un corps prétendument éteint, chandelle que l’on douche d’un juste bout de doigts si faussement distraits; couvant ses feux de vives braises…

vos coupes inversées, de laits tiédis à feux de paille; bouillies au vins taris ; d’autres douteux soleils; pour étancher ses soifs et gaver toutes faims.

Ce qui lui plaît, vraiment, le plus profondément, en vous, vos bris de gorges chaudes lancés à ses endroits et tous autres envers… les plus virevoltants;

coupes de ces vins âcres, prétendus rêches au touché, plus revêches en corps; brassées à plis de draps, à quelque autre douché; aux acides couleurs comme arides aigreurs de vos chairs invécues; et puis à vaines mains, pour ces avènements promis aux lents demains;

Ce qui le grise, en vous, à quasi bout ferrant… vos yeux de biches creuses, évidés à gras seaux; essoufflés océans aux relents de ruisseaux; ces miroirs indispos où tant d’autres reflets étrangers à l’histoire, en leurs confins, enfouis, à tout jamais égarent l’oeil tout ôtant évasif que des mieux affûté qui, las, à ses risques, dépends, s’y risquerait, ne fut ce qu’effleurant leurs si fêles surfaces;

vos peaux de pêche verte dont se prend le noyau, plus revêches pépins en dévers de la gorge; vos rêves assouvis tant aux dépit des siens; battant tout aussi bien chamades que retraites, voire abstraites campagnes;

plus molles songeries, moroses à souhaits, à la mode du jour; vous conférant ces airs tels souverains d’élue ; acquises, sans vertige, aux cimes acérées de l’humaine pensée, tout comme, en corps, en ces gouffres marins ne rendant plus leur proie; aptes à soutenir les plus féroces, comme voraces de tous sièges;

… et vos pois écossais que l’on égraine en douce aux grès de printanières, estivales, jusque automnales veillées; en quête d’un hivers qui tant se fait à tondre;

vos mains à quémander, comme, au coeur de désert, on escompte une pluie, ne fusse que rosée ; en guise d’autographe, voire quignon de grain sec, viatique de déroute; tardivement ferrées, ou fraîchement enjolivées ; aux plis défaits de ces lins seuls, indélébiles maculés, enfermant en leurs coins de quasi désormais las plus que légendaires toutes virginités…

Ce qu’Heel adore, mais voui, ces défaites ourlées aux parfums assidus de vos apparemment fort intimes émois infiniment perclus; disposes sur vos coeurs, plus à vos aises mais, en corps, qu’en de cossus sofas, engoncée à ravir, jambes et bras offerts, entre autres toutes choses; en essaims épandus aux entoures enfumés d’une tasse de thé ; au chaud laineux déjà de cliquetants tricot… bientôt tiède, glacé.

Que danser, mais dès lors, de révoltes feutrées, issues de tant de mots… verbiages susurrés, de lèvres à groseilles, en de fuites si molles; de toisons effrangées, mais tout juste au passage de ces sourires jetés comme poignées d’oiseaux redoutés migrateurs; d’un bout de lèvre dédaigneuse, le spectacle évoqué, d’un juste bout de doigt, sournoisement violé, de baigneuses au bain…

Tout comme les effets de son café très noir du soir, juste avant son couché, ce qu’Heel adore, en vous… le chapelet de ses nuits noires ou franches comme blanches, tels incessant que grains que l’on touille à ravir, d’intarissable sablier; noire… moire… sur clos volets.

derniers réglages

Yeux de très tôt matin…

Yeux de pourtant très tardif matin, à vrai le lire, plus proche de midi, fort pire encore qu’on ne le pense ; ou lors, qu’on ne le danse; non denses, pourrait-on dire encore, là à défaut d’en rire, délavés au cointreau, épongés au pastis ; leurs relents exutoires…

attachés sur le vide, à crocs et crics ferrés, de crampons émoussés; arrimés sur ce vide expurgé si spécifiques pour ces heures à tuer, sans une arrière pensée,occire à coups de clous grisants, mais sans le plus infirme des entrains.

Deux regards; plus en fait, opposés comme timbres dûment oblitérés, collés à la surface de l’unique miroir, en vers et contres flous, comme, de pis en droit;

l’un de l’autre, certes conscients, parfois; au grès de quelque écart sur le vague grisant qui leur est horizon, las, des plus coutumier; brumes et brises fêles en guise de néant gauchement printanier; oh de combien apprivoisé, sinon jusque enduré, mers et cieux confondus.

Sans ne pourtant rien voire de vraiment susceptible à être mentionné, fut-ce dans les annales parmi les plus oisives.

Dans le silence absout, à son coeur et tant d’autres tréfonds, là des plus conséquents, bien plus obscurs, en corps, mieux féru que béton abondamment bardé de ces aciers d’innocentes et naïves armures exhumées de ces temps outrepassés déjà, hors de toute mesure.

Rien que deux mots! on vous l’assure; avec tous autres, les leur susurre; pas plus de deux échangés juste comme en guise de coups portés à leur fond le plus bas, fiévreusement vicieux;

deux mots qui se voudraient, en leur for inférieur, de bien ; lâchés à flou galop de pouliche échaudée ; fort après comme au loin de ce verre enfin vide.

Lui bien plus que ces yeux, le sens de ces mots jurés comme résolument promus lors en tant que dernier.

Deux maux, pour lors mieux le décrire, comme on l’écrit communément, parmi les plus sentis.

Mais verre, pour revenir à lui, comme on fini toujours, quoiqu’on en dise par le faire, toujours à repasser; que longuement triturèrent de pâles doigts distraits, ou se faisant passer pour tels; comme sur le point soudain d’éclore, gentiment prendre envol, si non la clé des chants; en guise, au mieux, mais pourquoi point, de sol, ut ou fa; lui préférant un air comme on n’en ferait plus?

Sur trame acidulée de fraises et baies molles. Sur la poisseuse table de bois gourd, écorné, non encore desservie; ou reliquats graisseux de repas, côtoyant à regrets les relents d’indicibles fumets.

Leur coeur? Ne battant plus depuis qu’au rythme sourd de la retraite, ou mieux quelque chamade…

Ayant eu cependant l’océan d’une nuit toute entière, pour, à deux, en graver les contours, jusqu’à la veine de son bois vermoulu?

Pour en mêler l’éternelle existence aux mille, Emile n’est-ce donc, graffitis las, gisants; en quête, mais plus tard, d’une flèche perdue, égarée, de passage. Le coeur sourd d’un amour engourdi; ou, qui sait, faussement assoupi?

Des heures, commentait-on autour de lui, leurs couples et petits, coulant pis qu’eaux sous bien des ponts, alors que tout demeure, en suspend, contenu; attente là têtue de trop vil animal, si ce n’est franchement délabré ; à l’incessant affût, de lunes successives, à leurs lustres passés ; ne sachant plus, au juste, de trop quoi?

Si ce n’est d’une proie. La chasse au rat hurlant, rétrospectivement hué par la chouette de sévisse:

Emyl? Et mille et leurs cents: – Eveillez-vous enfin!

La belle a trop dormi; et s’en lasse le prince ; dont s’étiolent les charmes.

L’un finit, se résout par venir; par en venir à de plus sains propos; avant, vilains, les jeux de mains; tandis qu’autre des deux, finalement lassé, s’en va ; ne se donnant fut-ce la peine, en son dos, de claquer une porte,  vérouillée sur ses gonds;

Aele tend ses mains, paumes offertes à flous vents, grises bises ; fleurs fraîchement ouvertes, dociles, s’il le fallait vraiment, à une neuve, renouvelée crucifixion?

Appels irraisonnés, après tant et bien plus de ces masques osseux, appliqués à la place de visages précis ; que l’on peut arracher de leurs bases, pour en exhiber d’autres ; comme on étale beurre sur quignon des plus sec, visage autre que las encore le sien, que leur renvoie sans fin le tain de glace fatiguée, répercuté en de mille et combien plus d’échos:

– Emyl, non ! Ne fuis le sexe pas ainsi! Queue lasse retroussée en tréfonds poussiéreux de besace; ainsi que le renard, le déclarant trop vert !

– Suis le bas, bas de soie! Fuis le bois ! Foin de suie; sous la table mais enfin desservie.

Tonnait, au loin, le cri du corps au front des lois, contre le piège trop largement ouvert à larges dents et crocs, claquant, au passage, brutal , fut-il des plus furtifs, de tout ce qui fut mis à sa telle vorace portée.

Tandis qu’ailleurs s’égraine obstinément, en incessant et morne litanie, le chant feutré de matines ou vêpres? Offices à la mémoire de tant de morts repus à ne plus en vouloir; que l’orgue grave englue de ses arpèges exhaustives ; autres accords, à profusion, velus; encens dont s’entremêlent les volutes lascifs à ces fracas assourdissant de vaisselles froissées ; ces éboulis finalement chuintés de grasses eaux baveuses:

– Garçon! Où sont donc disposés vos waters? Le vous crie?

Et mille, et leurs cents fort impudiquement, ainsi émis à nu ; et de telles autres choses lui passant aux travers de sa tête fauchée sur l’écrin fatigué de deux mains plus que lasses, et puis encore douteuses;

un jeu de doigts distraits, tout comme pris aux pièges, rets de cheveux tissés ; toiles empoussiérées d’insectes gras, gavés.

Bien plus encore, frileusement s’effacent pour ne laisser, plus vain, derrière elles que cossus courant d’air?

: – Souris, mais ne serait-ce, Emyl, qu’au rat masqué, débile, que poinçonne un moineau ; sous la table équarrie, qu’un garçon par trop gauche, lourdement empesé, en titubant renverse.

Paye, là juste de passage, un ange, quoique emprunté, son dû. Emyl mord, fondu, en une frange de pain mûr; et sans un mot de trop, sûr qu’il ne fut le bon, suit de ses yeux, homme de bien, en pendu, son envol mais lors des plus scabreux, empreints de gestes étriqués.

Yeux de mutins matins, comme de grise craie; il est dans les entoures de peut-être huit heure et puis quelques poussières de ce temps dispendieux; entre tous, cet instant, où trop rien de sérieux ne devrait advenir ; ceci comme ce glas ponctuant un prochain crépuscule.

Essuie, Emyl, comme marins, un grain, à son coeur en déroute, de son mouchoir douteux, une larme impromptue;

S’il n’était loin, bien plus encore, pourrait croire, à le voir, notre ange outrepassé ; souriant à des rêves qu’éponge le garçon, au passage, parfois, d’un las coup de torchon. 

A des songes vitreux? Souri dont il ne reste plus, sous la table bancale, qu’un tout petit tas d’os déjetés, sans usage, qu’en douce on époussette sous un dos de carpette là bien plus qu’élimée:

– Garçon! Pour une énième fois, combien donc est-ce que je vous dois:

: – Un seul d’entre eux me suffira, qui ne porte alliance, alors trop coriace à mes goûts ; pas plus que ne tirant à trop fâcheuse conséquence.

Après, s’étanche le décor; fort goulûment, s’emplit la brasserie, en cortèges serrés de ces buveurs assermentés des plus professionnels, funambules peut-être, mais non moins solennels.

Sur l’estrade enfumée, aux sons acidulés, asthmatique, grinçant accordéon; naît et vagit un air, complainte du putois sournoisement tapis, en un fond de futaie? Que traque un troupeau d’oies.

Emyl n’ouït plus que ne voit, ne goutte à l’opéra que l’on prétend du pauvre; comme enfin le moineau qu’un rat mutant, de ses crocs, broie comme en guise de noir; cet ange hurlant à tort, au plumage lardé d’autant de flèches qu’en compte le carquois ; clous tords qu’en son essence l’on enfonce, en plein vol épinglé aux pages du traqueur de ce genre d’ingrédient considéré mineur;

plus vain, ce train de voraces ferrailles, droit surgi de la mer, tonitruant épouvantail du dimanche ; emportant, au prochain, sa pleine cargaison de voyageuses chaires.

Yeux de matin, mais alors le suivant, amorcés sur ce vide d’heures creuses, à tuer, mieux, occire mais sans autre entrain;

ces yeux, dit-on, soudain gercés de sang,de préférence tout autre que le sien.

Extrait de Marines: Ne sauras jamais…

Marines :

…ne sauras jamais;

mais comment pourrais-tu, aux sables, pris, de ces rivages là plus que souvenirs de quelque écornée, creuse image, ne fut ce que concevoir les voltes, gires d’une chute sans fin, qui déferlent, me gagnent ; vertiges n’emportant en leurs ivres déroutes, là plus que disloqué pantin?

Nausées molles épandues au creuset dit de l’âme ; ou brouet de lambeaux aux ébris de survie?

Chute gentiment ponctuée, sur des airs de comptines, de rebonds dérisoires en suspenses altières, programmées provisoires ; car rechutes toujours, comme autant de ces pages, en de gouffres fendus, désespérément vierges, éclatés sous ces pas, que déflorent mais déjà tant de traces… ouverts à ces néants prétendus domestiques, consommées à la carte ainsi que sur le pouce.

La chambre toute est vide ; ne compte les silences, que se renvoient, en miroirs, tant d’échos; pas trace mais ne fut ce de l’araignée d’un soir, prise à sa propre toile?

Plus que faire ; épouser gestes, faits, pour autant qu’il en eut, du dormeur ; mais sans les rêves qui l’habitent, bouillonnent, on le sait, juste à fleur de paupière;

Va vient, fébrilement s’active une main mécanique, sur le papier déteint, lancée à la poursuite vaine de si problématiques souvenirs.

Plus que ces cheveux lents, algues de plages parcourues, de ces passions dissoutes ; qui sait, en guise ici d’ultime piège;

Combien pour ce verre d’eau? A mes pieds, renversé; brassée de perles molles, d’autre collier rompu.

Décor: A meubler selon ses propres soins, évasives envies…

Lampe, mais à n’allumer point, surtout!

Table, plus rase que ces marbres de dalles mortuaires; à donc ne rien écrire qui déjà ne le fut déjà;

Lit à ne que dormir mais plus que ne le sied à nos doctes décences; comme enfin corps jeté sur un dos de fauteuil, en guise de pelisse; une fois de trop, assurément, à ne plus endosser, pour de prochaines fêtes? Désormais sans usage.

Etoiles, prétendent à tue voix de par trop fortes têtes, épinglées sur des cieux dépourvus de tout mode d’emploi; exsangues jusque au suif d’une extrême moelle, aux passages évasifs de vampires pèlerins.

Baillant tiroirs ; en guise de miroir, autres pièges sournois, à de distraites alouettes, grinçantes oubliettes; où tout fut déjeté, présents, futurs comme passés par dessus bord.

Agrès comme méticuleux apprêts de si proches naufrages, où corps et biens, âmes s’essayent aux rythmes de la nage; à ces bains dits marins, se gaver de nuages, voyages troubles, indécis ; pris aux bancs de poissons argentins, bien au-delà de tout songe à qualifier encore de quelque peu humain

: – Epave à l’horizon?

Rire mais sans cause, vous prie de la croire, la mutine vigie ; plus que but avoué; proscrire à tout jamais ces bris de lèvres gerces, moulées aux mots éteints, fondus; aussitôt que donnée, la parole perdue, en pâture aux requins; aussitôt bue, pongée par le silence; d’où l’eau s’échappe, fuit filet de fade sang, ou pas plus que lait rance, de sablier gisant; mis encore à moisir en un coin éculé de fenêtre;

naître à la lumière; air de n’en avoir point, de l’enfant pris en faute mais de seule orthographe ; alors qu’il ne fait rien, et cela à jamais ; mort déjà tant de fois; que n’en tenant plus compte.

Naïve parodie de main tendue vers le soleil, six pieds déjà sous mers, avant de disparaître, ne laissant derrière elle, que vague et maigre tourbillon ; valse de morne feuille, plus que bulle, son râle ;

mirages de couleurs aux extrêmes pastels;

airs salins; en suspends, horizons, mais en vue de rinçage? Chaque geste, enfin, désamorcé de sa fonction finale.

brouillard