Archives de catégorie : Le Cercle

Plage: Roman intitulé Mayriblue: Photo:

Jetée:

Celle que l’on peut découvrir, en bordure de plage, dans le Roman Littéraire de l’auteur, intitulé Grado:

Une plage, située sur une presque île située proche de la frontière de l’Italie avec L’Ex Yougoslavie. Pour l’accès de laquelle on passe et franchit une autre Jetée, elle d’asphalte; entourée d’eaux; conduisant jusque aux sables fins de cette plage…

Déserte, lorsque Heel y échoue, sa brinquebalante voiture ayant choisi d’y rendre définitivement l’âme. Pour faire la rencontre d’un chien, que l’on nomme tobie; Il l’apprendra un peu plus tard, de la bouche de Prune, une fillette des plus vive; fille, rencontré encore plus tard du Promoteur Thu; propriétaire encore d’un vaste Supermarché, Le Sprum. Encore de tout l’ensemble de ces plages sur lesquelles déferlent les foules de touristes baigneurs… Rencontre de Aldo, maître nageur: encore avec la bande subversive des Clochardes et Chards; mais avant tout, pour cet Heel complètement décalé, avec celle qui se fait appeler Aele; et qui semble n’être là que dans l’attente mais il ne sait de quoi!

Tandis que Thu se livre aux préparatifs de la fête du Hchème; c’est à dire celle de la plus haute marrée…

Répondant enfin à l’attente de Aele, dépassant tout ce que l’on pouvait rêver de pire! C’est à dire engouffrant en ses eaux tout cet ensemble de Touristes Baigneurs, Aldo, Maître Nageur, Thu, le promoteur de plus rien de visible en émergeant encore, Prune et son chien Tobie, quoique n’appartenant à personne…

Heel tentant de ne perdre de vue cette fuyante Aele, tous yeux rivés, elle, sur ce qui, lentement, en surgit…

Non pas le vaisseau fantôme qu’Heel aurait attendu, mais bien le plus haut donjon du Château, qu’il étreint de toutes ses forces! Auquel il avait cru, sur ces plages maintenant disparues, avoir sû échapper; détrompé par une Aele furieuse, qui l’admoneste sans ménagement, d’une fenêtre d’autre donjon voisin;

: – Heel, espèce de parfait frapadingue de mes deux! Veux-tu bien, et des plus promptement me redescendre de tout ça! Et que ça saute!!!

: – Impossible, mon cher et tel hurlant amour! Et tu le sais fort bien! Paralysé par le plus incoercible des vertiges!!!

Plage et place de pique-nique de la famille; durant les heures de vacances d’été:

Wohe: Personnage du Cercle: Photo:

Wohe :

Tout comme pour ses deux autres compagnes, elle aussi, vaincue en combat singulier par Jehane, la Vierge Ivre, héroïne de l’ouvrage de l’auteur portant le même Prénom, cette troisième guerrière se soumet toute aux ordres de Jeahne, une fois celle-ci ayant dépouillé leur ancien maître Thu de leurs services exceptionnels.

Elle maîtresse absolue et incontestée des terres; de tout ce qui y serpente, marche, bondit; tout ce qui porte fourrures, griffes et crocs.

Wohe: Cuisinière pour les hôtes du Cercle: raffolant, en guise d’épices pour l’apprêt de ses plats, entre autres, de mort aux rats, vitriol et arsenic!

Thu: Chef des hôtes du Château: Photo:

Thu:

Non seulement faisant partie de l’ensemble des hôtes peuplant le Château, au coeur du Cercle, mais en étant, pour en avoir été le tout premier occupant, mais aussi, du fait de sa naturelle stature de Colosse, et enfin, à la différence de son âme damnée Jehu, lamentablement lui dépourvu ou presque de cervelle, les capacités naturelles.

Ainsi, pour toutes ces raisons, tacitement reconnu en tant que chef incontesté par tout l’ensemble de ses collègues, tout aussi bien féminines que masculins…

Interprétant en corps à merveille, dans l’ouvrage littéraire de l’auteur L’Oeil de Nylon le rôle de savant fou, que théâtrale, en duo avec Ilsehe, dans celui tout simplement de Thu.

Quoique son autorité fortement ébranlée par la défection de sa Garde Personnelle, subtilisée, à ses dépends, par La Vierge Ivre et Chasseresse Jehane; ébranlée, certes, mais nullement remise en cause par quiconque, pour ôtant.

Thu: Dans toute sa naturelle autorité: jusque, bientôt devenue, toujours sans la moindre  contestation de son entourage et ainsi, de ses Sujets, non seulement solidement établie mais promue prochainement jusque Royale:

Wooh: Photo:

Wooh:

Un parmi les hôtes du Cercle. Comme pour tous les autres personnages peuplant le Château. condamné à l’éternité.

De par son infime taille de nabot, quoique intronisé par tout leur ensemble en tant que metteur en scène de toutes les pièces théâtrales rédigées par l’auteur, faisant preuve d’une maîtrise absolue, sans aucune controverse exprimée ou latente, à leur égard;

cela malgré le handicap prononcé de sa petite taille autorité naturelle, les deux colosses Thu et Jehu y compris, renforcée encore d’avantage par, quoique maintenu à l’abri des regards, dans son dos, rendant ainsi ses attaque aussi imprévisible et foudroyantes et ainsi impossible d’esquiver, un fort solide fouet de cuir à la mèche assez longue pour atteindre n’importe quelle victime se trouvant sur les planches!

Selon ses critères, suivant l’importance de la faute commise, manque de conviction, d’enthousiasme, oubli de texte ou de juste réplique, même surgie tardivement, erreur de placement, selon son implacable et rigoureuse mis en scène , négligence dans le respect du costume prévu, le choix du décor, etc etc etc. la pointe de combien acérée de sa mèche venue tout juste effleurer, caresser, cingler ou mieux en corps, incendier, déchirer ou fracasser les arrières trains fautifs.

Matérialisé par un des arbres des Berges longeant le Grand Fleuve Anastase:

Teha et Sohn: Photos:

Teha et Sohn:

: – Sohn! corvée de bois! A toi, Teha, celle de champignons ainsi que toutes baies propres à tout dessert convenant à ces lieux!

Aussitôt, tous deux, redressés, face à la double sommation de ce tel trouble fête de paternel, sans le réaliser, venu interrompre leurs joutes;

mais combien plus encore pour en inaugurer de neuves; autres phases de vues, qui sait avant mais d’en venir aux mains; et dont le champs, de clos qu’il fut jusque là, s’en va s’ouvrir prochainement aux dimensions de ces forêts aussi vastes qu’entières;

tout comme par hasard, fillette campée, jambes et cuisses entrouvertes, tout comme offerte, émise sans ne s’en douter, à portée de souffle mais de combien tronqué d’un colosse tapis pratiquement entre elle, enfoui au plus profond d’une évase robette tout au coeur de laquelle il s’engouffre; accueilli par ses jambes et cuisses plus généreusement encore ouvertes…

: – Eh bien, quoi?! C’est pour aujourd’hui ou demain?!

: – Mais on y va, oh là! Et pi y a pas le feu, que je sache, après tout;

: – Eh ne va pas si vite, mais voyons, trop fugace soeurette! Vive fillette ici qui se retourne sur son si gauche et pataud poursuivant; un rire qui lui échappe en de telles cristallines cascades qu’elle déverse sur lui; un instant en arrêt, mais juste ici le temps de lui permettre de remonter à hauteur de genoux, amorce juste de ses cuisses;

: – Déjà rendu, pauvre malingre frérot!

Aux grès là d’autres rires, lui échappant encore, plus agile que fort mutine biche…

: – Nous devant de poursuivre, voyons! En quête toi de ton bois, comme moi de mes baies, par trop entreprenant frérot!

: – Ils peuvent bien attendre, si fugueuse et volage soeurette!

: – Pourquoi ne pas prendre, pauvre idiot, avant trou, quelque champs de sus, nous laissant quant au mieux à nos aises!

Fillette ainsi donc qui poursuit, attentive à ne prendre point trop d’avance sur son soupirant; à cette proposition indirectement prometteuse, quant à lui, semblant recouvrer, en plus de celle là par telle évidente, d’inédites vigueurs;

course ainsi reprise, de sentes en vallons, sources, torrents franchis, autres pentes abruptes où toujours cette vive petite, en plus mais de telles autres charmes, fait montre de toute son adresse; avant enfin de se laisser choir toute au coeur de neuve, fort agreste clairière;

aussitôt généreusement répandue; comme presque aussitôt rejointe par un défait puceau proche à rendre son âme, mais tout aussi vivement ragaillardi par ce qu’elle lui découvre, comme jamais encore… 

Désormais seuls et tranquilles; elle grisée là de se découvrir de par tels pouvoirs, sinon jusque emprises, à le voir mais ainsi remonter cette fois à hauteur de ses cuisses plus, en corps, partagées comme de façon là la moins équivoque;

robe légère, vaporeuse corolle ainsi que tous jupons troussé plus au-delà d’une taille, à la différence de tant de restes, découverte en effet des plus fine, ainsi que portée nue déjà sous les pans haut troussés de bien plus fine encore chemisette…

Teha:

Sohn: