L’Arbre aux pendus:
A l’exception de la jeune Yelsha, dont l’auteur eut la connaissance seulement par un article de journal; enterrée elle, ce façon de parler, à ses yeux, dans les eaux fleuries de nénuphars; aquatique tombeau tout proche du voilier Mayriblue; A qui l’auteur, à la suite de Anou, sa Petite Fée Céline, Julien, son Petit Prince, a dédié son KAH-KHA. Sachant qu’ils sont nombreux, les candidats à ce genre de choix pour disparaître, celui-ci se contentera de ne citer que ceux connus et fréquentés par lui durant sa vie.
En un tout premier lie, bien entendu, son plus jeune frère, quoique toujours considéré en tant que jumeau; si proche dans leurs rapports avec l’art… Lui représentant la Peinture.
Ensuite son ami pianiste Pierre, époux puis divorcé de La Martine, jeune et gracieuse ballerine… Enterré tout près de chez lui, à Fez, petit village voisin de celui d’Aproz… Lui représentant la Musique.
Enfin de Jean-Michel Mayor; ami rencontré alors que l’auteur faisait encore partie d’un groupe de jeunes poètes amateurs… Mort à vingt ans; et sans la moindre explication pour éclairer son geste désespéré… Lui représentant l’Ecriture.
Arbre concluant l’extrême du long parcours tout au long de ses Berges, longeant les rives du Grand Fleuve Anastase…
L’Arbre aux Pendus: Dont on distingue les nombreuses cordes, faites de lianes: