Dernier repas:
Se limitant à un simple pâté gélatineux et, désormais, un verre d’eau! Comme de bien entendu, qui fut pris, au lendemain de sa partie particulière de roulette russe, dans son appartement sous les combles du Rawyl 15! Précédant son départ matinal pour l’abbaye de Solème, dans l’intention de se faire moine Bénédictin!
Sa lettre de démission préalablement envoyée, au directeur de l’Ecole Normale des instituteurs à Sion, tout juste une nouvelle année scolaire commencée! L’auteur incapable de réprimer un sourire, avec maintenant le recul des années, au souvenir non pas de la totalité de son contenu, mais celui de sa conclusion d’alors, pris dans un total délire mystique!
« Que les morts enterrent leurs morts ! » Navré de n’avoir pu voir alors la tête du directeur de cette école en parcourant ces lignes! La clé de son appartement déposée dans sa boîte aux lettres.
Son petit frère quasi jumeau Jérôme, ne l’ayant trouvée, entré à l’intérieur de cet appartement par le toit, puis descendu sur le petit balcon érigé sur sa façade; conscient de la vie complètement dissolue de son frère, puisque l’ayant partagée! Persuadé qu’il s’était donné la mort.
Celui-ci, faisant un arrêt à Lausanne, pour retrouver des amis proches et, bien entendu, son maître de piano Luguet, bien sûr, pour leur faire ses adieux, alors se voulant définitifs!
En fait, mis au bénéfice d’une année sabbatique par le Département de l’Instruction Publique de Sion; conscient que cette démission n’était due qu’à une forme particulière de dépression; en effet, ces intentions abandonnées, à la fin de cette année, de retour enfin pour la reprise de ses cours à l’Ecole Normale comme à la celle de ses études musicales. Finalement parvenues à terme, pour l’obtention de son diplôme de piano, peu après sa rencontre avec Anou.
Adieux à son appartement du Rawyl 15: