Le Roland:
Arbre le plus imposant, sur les terres Anastasiennes de l’auteur; situé presque en fin de parcours; faisant suite au Triptyque et précédant le Quatruor; d’une taille telle que ne pouvant être entièrement cadré dans l’objectif de l’appareil photographique à sa disposition ; d’où cette vue proposée, prise à ses pieds; quatre personnes indispensable, se tenant par la main, pour parvenir tout juste à en cerner le tronc!
Son nom, choisi par lui, en hommage à ce héros de La Chanson du même prénom ; subie, durant ses premières leçons de littérature au Collège de Sion; étudiée de long en large, dispensée à nos oreilles rabattues d’étudiants, par l’entremise d’un professeur de français incapable de s’en défaire… comiquement dénommé, de plus, Descartes !!!
Les dissertations personnelles de l’élèves qu’il fut, avant de bifurquer vers le Conservatoire de Musique, correspondant aux excès de sa propre littérature,occasionnant presque à chaque fois une lecture publique faite par lui à la classe, et lui valant, inscrites dans une marge assez large, à cette intention, auxquelles il répondait, défendant son propre point de vue, finissant, dans leurs ensemble par dépasser, en longueur, celle de la dissertation présente!
L’une d’entre elle revenant plus souvent qu’à son tour;
: – De la mesure en toutes choses! Disait Boileau!
L’auteur se faisant un plaisir d’emprunter juste la voie contraire!!!
Le Roland: Photo prise par l’auteur, juste au pieds de son tronc massif; exigeant au moins quatre personnes se donnant la main, pour en cerner le calibre! :