La Pierre Philosophale: Photo:

Pierre Philosophale:

Tout comme le Saint Graal, au moyen-âge, peut-être, certains historiens le prétendent, la Pierre Philosophale fut l’objet, aussi vaine l’un que l’autre, de nombreuses quêtes, occupant, parfois de façons quasi obsessionnelles, pour certains ayant occupé l’espace de toute leur vie, les Alchimistes d’alors…

Que l’auteur, cependant, considère en tant que bien réelle! Puisque découverte par lui, soigneusement dissimulée sous des brassées denses de roseaux; ayant ainsi échappé aux attentions et recherches, poursuivies encore de nos jours, de tous autres que lui.

Sans qu’il put déterminer de quelle façon, à la suite de quelles circonstances particulières, elle avait pu ainsi échouer sur ses terres Anastasiennes?!

Certes, quoique tout juste décelable, donc réelle, bien palpable, cependant demeurée plus que toujours inaccessible, hors de toutes portées… de surcroît, défendue, comme on peut le découvrir sur cette photo, des plus farouchement enfermée dans les racines de la souche qui l’a, un jour, recueillie.

Et c’est aux fins de préserver intacte cette inaccessibilité, que l’auteur se garde bien de divulguer le plus infime ne fusse que détail permettant quiconque de découvrir tout aussi vaguement que précisément l’endroit qui l’abrite, la dissimule à tous autres yeux que les siens.

Souche enfermant de ses racines l’inestimable Pierre Philosophale:

 

Pas de Deux: Danse Classique: Photo:

Pas de Deux:

Arbre double; d’où le nom que lui a attribué l’auteur; situé lui aussi, au coeur de la Baie de L’Event, à mis parcours de ces terres Asnastasiennes; plus précisément encore celui du Bois de Plume; précédant juste ce lieux où cette inoubliable et jeune ballerine exécuta son prestigieux, acrobatique et virtuose Adage…

Le Pas de Deux, dans le domaine lui aussi de la Danse Classique, s’exécutant, comme son terme l’implique, deux officiants; de sexes identiques, féminins comme masculins; ou alors mixte.

Arbre matérialisant ainsi deux autres jeune Ballerines, se faisant face et entre frappant leurs mains, paume contre paume, en alternant leurs mains; sur les rythmes et pas, selon la spécificité de cette Danse, très lents, mesurés…

Ballerines gratifiant cet encourageant promeneur et spectateur ayant goûté à ce spectacle généreusement offert, de la convenante esquisse de génuflexion venue conclure toute prestation propre à cet Art; entre elles, tout d’abord; puis adressée à ce spectateur les ayant gratifié de ses chaleureux applaudissements…

Pas de Deux: Sur les rives bordant la Baie d’Event:

Lharpenteur et Lhobereau: Photos:

Lharpenteur et Lhobereau:

Toujours, sous formes d’arbres, pour l’une d’elle, ceux-ci, quoique complètement desséchés et dévorés par les vers, sur le point pourtant proche déjà de s’effondrer eux-mêmes sur leur souche voire jusque extrêmes racines, eux encore abattus sous les haches et tronçonneuses des bûcherons.

Comme il ne put que se concevoir, situés au-delà de tous les hôtes du Château et du Cercle; ces deux Personnages, quoique impliqués parmi eux, ne faisant pas pleinement partie de leur groupe, l’auteur tenant à le rappeler, au nombre de Vingt-Quatre, alors complet, sans eux.

Cependant, plus encore essentiels, puisque délimitant, le second, chargé de parcourir dans sa totalité les limites extrêmes de ce Cercle, dont toutes les terres lui seraient alors revenues, pourchassé par le premier afin justement de l’empêcher de parvenir à ses fins.

Ainsi, tous deux occupés à perpétuellement et sans fin s’entre occire!

Ne subsistant, rescapés, pour quelques jours mais qui leur sont comptés, du passage des forestiers, découverts par l’auteur, proches des rives du Grand Fleuve Anastase, que leur double dépouilles; et que les vers finissent de dissoudre.

Lharpenteur et Lhobereau, encore sur pieds:

Leurs dépouilles, gisant côtes à côtes, à la suite du passage des bûcherons:

Plage: Roman intitulé Mayriblue: Photo:

Jetée:

Celle que l’on peut découvrir, en bordure de plage, dans le Roman Littéraire de l’auteur, intitulé Grado:

Une plage, située sur une presque île située proche de la frontière de l’Italie avec L’Ex Yougoslavie. Pour l’accès de laquelle on passe et franchit une autre Jetée, elle d’asphalte; entourée d’eaux; conduisant jusque aux sables fins de cette plage…

Déserte, lorsque Heel y échoue, sa brinquebalante voiture ayant choisi d’y rendre définitivement l’âme. Pour faire la rencontre d’un chien, que l’on nomme tobie; Il l’apprendra un peu plus tard, de la bouche de Prune, une fillette des plus vive; fille, rencontré encore plus tard du Promoteur Thu; propriétaire encore d’un vaste Supermarché, Le Sprum. Encore de tout l’ensemble de ces plages sur lesquelles déferlent les foules de touristes baigneurs… Rencontre de Aldo, maître nageur: encore avec la bande subversive des Clochardes et Chards; mais avant tout, pour cet Heel complètement décalé, avec celle qui se fait appeler Aele; et qui semble n’être là que dans l’attente mais il ne sait de quoi!

Tandis que Thu se livre aux préparatifs de la fête du Hchème; c’est à dire celle de la plus haute marrée…

Répondant enfin à l’attente de Aele, dépassant tout ce que l’on pouvait rêver de pire! C’est à dire engouffrant en ses eaux tout cet ensemble de Touristes Baigneurs, Aldo, Maître Nageur, Thu, le promoteur de plus rien de visible en émergeant encore, Prune et son chien Tobie, quoique n’appartenant à personne…

Heel tentant de ne perdre de vue cette fuyante Aele, tous yeux rivés, elle, sur ce qui, lentement, en surgit…

Non pas le vaisseau fantôme qu’Heel aurait attendu, mais bien le plus haut donjon du Château, qu’il étreint de toutes ses forces! Auquel il avait cru, sur ces plages maintenant disparues, avoir sû échapper; détrompé par une Aele furieuse, qui l’admoneste sans ménagement, d’une fenêtre d’autre donjon voisin;

: – Heel, espèce de parfait frapadingue de mes deux! Veux-tu bien, et des plus promptement me redescendre de tout ça! Et que ça saute!!!

: – Impossible, mon cher et tel hurlant amour! Et tu le sais fort bien! Paralysé par le plus incoercible des vertiges!!!

Plage et place de pique-nique de la famille; durant les heures de vacances d’été:

Triple V: Photo:

Triple V:

Que l’auteur propose à ces fossiles, engoncés en de rutilants costumes d’apparat, rubans, dentelles et autres fanfreluches, bicornes à plumets, tout comme, à défaut de leur plume à jamais, que leur gloire a su définitivement déjeter aux oubliettes, la plupart endormis, le reste somnolent sur leur respectif trône, de l’Académie Sans Fraise, friand de nouveautés, de rajouter à la suite du V et double V!

Sans toutefois parvenir à les extraire d’avantage de leur sommeil que de leur somnolence de desséchées momie, que cet auteur admoneste pourtant des plus bruyamment, dans leurs creuses et éculées consultations, de n’avoir su envisager eux-même!

Mais qu’attendre de telles innovantes audaces de la part de ce piteux et déplorable ensemble?!!!!

Qu’avec cet auteur, le génial et divin Wolfgang accuserait, oh combien à raison, de ne ch… que du marbre!!!

Cherchant assurément, pour leur défense, qu’une telle, pourtant bien-venue initiative, pour eux, compte tenu de leurs désuètes et frigides pruderies obligerait à censurer du carré blanc?

Triple V: Situé en presque fin de parcours des terres Anastasiennes de l’auteur: