Plume: Photo:

Plume:

Découverte, au coeur du bois baptisé, en son honneur, par l’auteur, du même nom…

Une adorable, tout à la fois gracieuse comme des plus alerte, jeune ballerine… Que l’auteur, en tant que promeneur, sur ses terres Anastasiennes, approximativement, à mi distance de son parcours quotidien,, tout au long ici de la Baie d’Event, à hauteur juste de l’arbre double appelé par lui Pas de Deux, une autre référence à la danse classique, découvre, tout aussitôt conquis, en arrêt, pour en suivre, dans son entier, le virtuose Adage à terre; ou plutôt, en l’occurrence, ici, sur gazon le plus tendre…

A sa juste ouverture, admirée par lui, assise à même le sol, entourée et vêtue, si l’on peut l’exprimer ainsi,de ce qui ne peut être que ses deux frères; étroitement cernée par eux…

Mais qui, très lentement, selon les exigences de cette figure particulière de danse, les abandonne, s’en échappe, pour entreprendre les premiers pas d’une audacieuse, complexe, exigeante ainsi jusque d’acrobatique chorégraphie…

Ensemble de figures tantôt en mouvements mais justes décelables, perceptibles… d’autres fois, très rigoureusement figées; ceci tout comme dans l’intention de permettre à ce spectateur qu’elle affronte, des plus directement provoque, un sourire non équivoque à fleur de lèvres légèrement boudeuses, ses yeux rivés, plantés droit dans les siens…

Adage qui semble ne plus avoir ici de fin… retraçant, avec une perfection malgré son tout jeune âge, de danseuse étoile… dont cette enfant découvre et exécute, avec une quasi parfaite perfection, sans cesse, tout comme apparemment improvisées juste à l’instant… en fait, tout fraîchement puisées, les suivante figures, d’une, combien riche, débordante imagination…

Emerveillé, au point de ne pas avoir réalisé qu’il se trouve maintenant, entouré de tous côtés par tout un groupe de spectateurs qui l’ont rejoint, les précédant mais de peu, qui applaudit haut de combien avec un chaleureux enthousiasme à cette exceptionnelle prestation!

De part son insistance, réclamant à cette petite, à ce groupe découvert insatiable, de bien vouloir lui accorder un bis, si ce n’est ter, voire jusque quater!

Aux endroits de cette enfant maintenant, à nouveau, revêtue de ses frères, un sourire éclatant, de triomphe… Mais, de ses lèvres ayant recouvré leur moue légèrement boudeuse, leur faisant ainsi leur exprimant une déclination de leur pourtant si vibrante prière.

Exploit ainsi unique, relevant, toutefois en ce qui le concerne, exclusivement de cet art le plus pur, c’est à dire de celui, extrêmement rare, ne relevant pas de ce qui s’enseigne, s’apprend, mais inné; acquis pratiquement de naissance…

Bois de Plume:

A défaut de planches, feux de la rampe, ceux du soleil et gazon, tréteaux exclusivement naturels des exploits de Plume:

Toyhe: Concierge du Château: Photo:

Toyhe:

Personnage féminin, hôte elle aussi du Cercle; de par son état et ses possibilités manuelles, Concierge du Château et de ses dépendances; obsédée, violemment allergique à tout ne fusse qu’un seul grain de poussière, une toile d’araignée, voire tout juste son amorce d’embryon.

Lancée à la chasse de tout hôte récalcitrant au port très strictement obligatoire de pantoufles et babouches, à l’intérieur du Château. Pouvant dégénérer, dotée du physique de l’emploi, jusque en franc tout comme percutant pugilat!

Ici, découverte durant sa propre agonie… Aussi totale, consommée que fatale, globale et définitive…

Dépouille consommée tout comme encore mieux, prochainement consumée de Toyhe: Concierge du Château:

Wohe: Personnage du Cercle: Photo:

Wohe :

Tout comme pour ses deux autres compagnes, elle aussi, vaincue en combat singulier par Jehane, la Vierge Ivre, héroïne de l’ouvrage de l’auteur portant le même Prénom, cette troisième guerrière se soumet toute aux ordres de Jeahne, une fois celle-ci ayant dépouillé leur ancien maître Thu de leurs services exceptionnels.

Elle maîtresse absolue et incontestée des terres; de tout ce qui y serpente, marche, bondit; tout ce qui porte fourrures, griffes et crocs.

Wohe: Cuisinière pour les hôtes du Cercle: raffolant, en guise d’épices pour l’apprêt de ses plats, entre autres, de mort aux rats, vitriol et arsenic!

Thu: Chef des hôtes du Château: Photo:

Thu:

Non seulement faisant partie de l’ensemble des hôtes peuplant le Château, au coeur du Cercle, mais en étant, pour en avoir été le tout premier occupant, mais aussi, du fait de sa naturelle stature de Colosse, et enfin, à la différence de son âme damnée Jehu, lamentablement lui dépourvu ou presque de cervelle, les capacités naturelles.

Ainsi, pour toutes ces raisons, tacitement reconnu en tant que chef incontesté par tout l’ensemble de ses collègues, tout aussi bien féminines que masculins…

Interprétant en corps à merveille, dans l’ouvrage littéraire de l’auteur L’Oeil de Nylon le rôle de savant fou, que théâtrale, en duo avec Ilsehe, dans celui tout simplement de Thu.

Quoique son autorité fortement ébranlée par la défection de sa Garde Personnelle, subtilisée, à ses dépends, par La Vierge Ivre et Chasseresse Jehane; ébranlée, certes, mais nullement remise en cause par quiconque, pour ôtant.

Thu: Dans toute sa naturelle autorité: jusque, bientôt devenue, toujours sans la moindre  contestation de son entourage et ainsi, de ses Sujets, non seulement solidement établie mais promue prochainement jusque Royale:

Bute des Vierges Molles: Photo:

Bute des Vierges Molles:

Allusion à celles Bibliques, dans l’attente du retour du Maître; et dont les lampes, par négligence, dépourvues de réserve, se trouvent proches à manquer d¨huile…

Donnant accès au Corps de Ballet, juste à la suite de cette petite place baptisée par l’auteur Place du Sacrifice; comme le plateau de la table du Sacrifice sur lequel il avait découvert, un jour de mi Février, en cours de promenade, le spectacle désolant d’une canne décapitée; sans doute, suite à l’attaque sans doute d’un chien errant…

De ce fait, par l’orifice de son col tronqué, sanglant, il assista, tout comme chaque année, à cette saison, l’ensemble des canards ayant passé l’hiver sur les eaux de ces terres Anastasiennes, en masse compacte, dense, en vue de se réchauffer entre eux, par les grands froids; après s’être formés, en couples, qui prennent leur envol, pour gagner respectivement, chacun d’entre eux, les lieux de leur propre choix; les eaux du Grand Fleuve Anastase, pour certains, pour d’autres celles plus calmes d’autres gouilles que celles sises sur ses terres, étangs ou canaux;

par l’entremise de cette innocente victime, cannes et canards s’échappant de cette plaie encore vive, sanglante…

Bute des Vierges Molles: