Mohne: Mère Abbesse: Photo:

Mohne:

Révérendissime Mère Abbesse et Fondatrice de l’Ordre des Bonnes Petites Soeurs Motardes.

Directrice et Mère Prieure et Supérieure de L’Abbaye abritant cet Ordre dont les Succursales sont répandues dans le monde entier.

Ces Bonnes Petites Soeurs, dans les tout premiers temps de leurs œuvres charitables et humanitaires, vouées, leur vie usant, au soulagement des guerriers tombés au champs d’horreur; en les soulageant de leurs souffrances, plaies de toues sortes, longue et lente, souvent insoutenable agonie; ceci à coups de bibles, recueils d’Offices et chapelets; technique améliorée bientôt, suite à très pieuses attendions et soutien moral, au milieux de cet inédit chant de bataille; tous ces objets du Culte recouvrant ainsi leurs fonctions premières consacrées au Culte!

Objets remplacés, de combien plus efficacement, par les chaînes de vélos et motos dont ils avaient usé pour ces combats meurtriers; ceci lors d’un combat entre deux clans ennemis.

Et c’est ainsi qu’une de ces Bonnes Petites Soeurs, occupée à remettre sur roues une de leurs puissantes et tonnantes bécanes, se trouva, des plus accidentellement propulsée, sur son dos, la chevauchant tant bien que mal; toute bure et monastiques voiles aux vents, en une terrible et chaotique course de dressage; finissant bientôt, sans ne trop savoir comment, animal mécanique et de chromes tonnant maîtrisé!

Outre cet objet accidentellement subtilisé à son ex occupant n’en ayant désormais plus l’emploi, toutes autres montures, ensuite montées à leur tour par ses Petites Camarades; la toute dernière enfourchée par cette Révérende Mohne, de par son rang et ses prérogatives, remontée, comme il ne pu que se devoir, jusque à la tête de ses troupes!

Depuis toujours, tous les biens de ces victimes, comme de bien entendu, objets de valeurs, argent, abandonnés par ces défunts, requis par elles, en de lourdes beasaces; dans la louable et stricte intention de les offrir sans partage aux pauvres! Cet ordre, à l’image de la plupart d’entre eux, astreint aux rigueurs de la pauvreté, tous ces biens, ainsi, conservés en leurs propres caves; en faisant ainsi l’Ordre le plus riches d’entre eux tous!

Mohne: Mère Abbesse:

L’Ancêtre Sorcier: Photo:

Ancêtre Sorcier:

Tout comme les personnages du Cercle, leuh, Chroniquer et Tohn, peintre, tous deux de la cour, lui aussi doté des pleins pouvoirs dus à son prestigieux statut, aussi bénéfiques que maléfiques.

Tout comme eux, capable mais alors à lui seul, à la différence de ceux-ci, sur simple décision de sa part, voire humeur de l’instant, de faire disparaître tout ôtant radicalement, n’importe lequel des hôtes occupant le Château du Cercle.

L’Ancêtre Sorcier: Son troisième Oeil, emblème de ses pouvoirs, naturellement porté, au front.

Wooh: Photo:

Wooh:

Un parmi les hôtes du Cercle. Comme pour tous les autres personnages peuplant le Château. condamné à l’éternité.

De par son infime taille de nabot, quoique intronisé par tout leur ensemble en tant que metteur en scène de toutes les pièces théâtrales rédigées par l’auteur, faisant preuve d’une maîtrise absolue, sans aucune controverse exprimée ou latente, à leur égard;

cela malgré le handicap prononcé de sa petite taille autorité naturelle, les deux colosses Thu et Jehu y compris, renforcée encore d’avantage par, quoique maintenu à l’abri des regards, dans son dos, rendant ainsi ses attaque aussi imprévisible et foudroyantes et ainsi impossible d’esquiver, un fort solide fouet de cuir à la mèche assez longue pour atteindre n’importe quelle victime se trouvant sur les planches!

Selon ses critères, suivant l’importance de la faute commise, manque de conviction, d’enthousiasme, oubli de texte ou de juste réplique, même surgie tardivement, erreur de placement, selon son implacable et rigoureuse mis en scène , négligence dans le respect du costume prévu, le choix du décor, etc etc etc. la pointe de combien acérée de sa mèche venue tout juste effleurer, caresser, cingler ou mieux en corps, incendier, déchirer ou fracasser les arrières trains fautifs.

Matérialisé par un des arbres des Berges longeant le Grand Fleuve Anastase:

Teha et Sohn: Photos:

Teha et Sohn:

: – Sohn! corvée de bois! A toi, Teha, celle de champignons ainsi que toutes baies propres à tout dessert convenant à ces lieux!

Aussitôt, tous deux, redressés, face à la double sommation de ce tel trouble fête de paternel, sans le réaliser, venu interrompre leurs joutes;

mais combien plus encore pour en inaugurer de neuves; autres phases de vues, qui sait avant mais d’en venir aux mains; et dont le champs, de clos qu’il fut jusque là, s’en va s’ouvrir prochainement aux dimensions de ces forêts aussi vastes qu’entières;

tout comme par hasard, fillette campée, jambes et cuisses entrouvertes, tout comme offerte, émise sans ne s’en douter, à portée de souffle mais de combien tronqué d’un colosse tapis pratiquement entre elle, enfoui au plus profond d’une évase robette tout au coeur de laquelle il s’engouffre; accueilli par ses jambes et cuisses plus généreusement encore ouvertes…

: – Eh bien, quoi?! C’est pour aujourd’hui ou demain?!

: – Mais on y va, oh là! Et pi y a pas le feu, que je sache, après tout;

: – Eh ne va pas si vite, mais voyons, trop fugace soeurette! Vive fillette ici qui se retourne sur son si gauche et pataud poursuivant; un rire qui lui échappe en de telles cristallines cascades qu’elle déverse sur lui; un instant en arrêt, mais juste ici le temps de lui permettre de remonter à hauteur de genoux, amorce juste de ses cuisses;

: – Déjà rendu, pauvre malingre frérot!

Aux grès là d’autres rires, lui échappant encore, plus agile que fort mutine biche…

: – Nous devant de poursuivre, voyons! En quête toi de ton bois, comme moi de mes baies, par trop entreprenant frérot!

: – Ils peuvent bien attendre, si fugueuse et volage soeurette!

: – Pourquoi ne pas prendre, pauvre idiot, avant trou, quelque champs de sus, nous laissant quant au mieux à nos aises!

Fillette ainsi donc qui poursuit, attentive à ne prendre point trop d’avance sur son soupirant; à cette proposition indirectement prometteuse, quant à lui, semblant recouvrer, en plus de celle là par telle évidente, d’inédites vigueurs;

course ainsi reprise, de sentes en vallons, sources, torrents franchis, autres pentes abruptes où toujours cette vive petite, en plus mais de telles autres charmes, fait montre de toute son adresse; avant enfin de se laisser choir toute au coeur de neuve, fort agreste clairière;

aussitôt généreusement répandue; comme presque aussitôt rejointe par un défait puceau proche à rendre son âme, mais tout aussi vivement ragaillardi par ce qu’elle lui découvre, comme jamais encore… 

Désormais seuls et tranquilles; elle grisée là de se découvrir de par tels pouvoirs, sinon jusque emprises, à le voir mais ainsi remonter cette fois à hauteur de ses cuisses plus, en corps, partagées comme de façon là la moins équivoque;

robe légère, vaporeuse corolle ainsi que tous jupons troussé plus au-delà d’une taille, à la différence de tant de restes, découverte en effet des plus fine, ainsi que portée nue déjà sous les pans haut troussés de bien plus fine encore chemisette…

Teha:

Sohn:

Vernissage: Photo:

Vernissage :

Photo prise, à l’Ecole Normale des garçons où on avait demandé à l’auteur d’exposer quelques unes de ses Encres de Chine; posant ici devant l’une d’entre elles;

Photo prise par son ami et collègue, après avoir été son maître de direction chorale, d’harmonie et de contre-point, au Conservatoire de Musique de Sion, Michel Veuthey.

Afin d’illustrer un article sur sa peinture, rédigé aussi par lui et paru dans une revue; à sa lecture, auteur surpris par l’enthousiasme élogieux dont son contenu était empreint; jugé par l’auteur excessif dans ses louanges, son enthousiasme.

Unique occasion ou presque, au cours de son exposition, où il avait eu l’occasion de vendre quelques unes d’entre elles, la plupart à des collègues d’enseignement établis dans cette même Ecole. Bien d!autres d’entre elles données à des amis, des connaissances.

Heel dans le rôle de peintre; posant devant une de ses Encres de Chine: