Le Quatruor: Arbre: Photo:

Le Quatruor:

Encore une fois, l’auteur se doit de préciser, en ce qui concerne la rédaction de ce titre choisi par lui, qu’il ne s’agit en rien d’une faute de frappe! Un R frappé en trop? Nullement, mais voulu ainsi par lui!

Orthographe délibérément choisie par l’auteur, cet arbre en effet faisant partie de la série réalisée par lui, en tant que chiffré ; numéroté ainsi comme quatre.

Arbre venu clore la série des huit autres, consacrés à leur numérotation; Tout comme, situé ici en approche de la conclusion de son parcours tout au long de ses terres Anastasiennes; précédant le proche Styx, ainsi que le Palier de Jackhob.


Le Quatruor: Venu préparer la conclusion du parcours de l’auteur, tout au long de ses terres Anastasiennes:

Lecture: Photo:

Anou à sa lecture:

Aux yeux et choix de l’auteur, une parmi les plus belle d’Anou!

Photo prise pat lui, il s’en souvient très bien, à Genève, sur l’étroite jetée menant jusque à l’emblématique jet d’eau…

Lors d’une de leurs rencontre; elle travaillant en tant qu’infirmière à l’Hôpital Cantonal de cette ville; lui, de la sienne, à Sion, auprès de ses élèves de l’Ecole Normale; à chaque fois que l’occasion se présentait, trop rarement, hélas, échappé de ses cours pour accourir la rejoindre…

Anou à sa lecture:

Entrée du Château: Photo:

Entrée du Château:

Situé sur les terres intérieures Anastasinnes, proche des eaux éparses de partout; ceci juste après avoir dépassé l’ombrageux petit Bosquet des Castors…

Château, depuis de nombreuses années, maintenant disparu, mais ayant bel et bien existé!

Erigé, à cet endroit précis, sous la forme d’un théâtre élisabéthain, acheté par une troupe locale de théâtre; donnant des spectacles, durant l’été ;

puis contrainte malheureusement pour elle de le revendre.

Mais l’auteur n’ayant jamais cessé de l’admirer, toujours présent; si ce n’est encore plus magnifique qu’auparavant!

Photo prise par lui, au coeur de plein hivers, sur le seuil de son entrée principale; une trace de pas témoignant encore, gravés dans la neige, de la visite d’un précédant, comme lui, promeneur…

Entrée du Château:

Pentacordes: Photo:

Pentacordes:

L’auteur parfaitement au courant d’un précédant article consacré à cette Sculpture-Mobile, la toute dernière réalisée par lui.

Si il y revient, malgré tout, c’est pour rappeler aux occasionnels de son site qu’elle se trouve composée exactement de deux cent soixante allumettes, elles aussi mobiles, sur leur fil respectif de nylon.

Auteur encore qui tient à rappeler à ces mêmes visiteurs l’importance primordiale, à ses yeux et son esprit des chiffres, régissant tout l’ensemble de son œuvre.

Ici,l’addition des chiffres le composant équivalant à 1! (le zéro, en tant que tel, n’existant pas).

C’est à dire, seul chiffre de ce genre, parmi tous les autres, symbole de l’unité.

Vue globale:

Détail:

Pipe: Photo:

Pipe: 

A contraire d’un certain farceur, ceci est bien une Pipe!

Et, de plus, irréparablement cassée; d’autres d’entre elles appartenant à l’auteur, plus chanceuses, réparées par lui, à l’aide de scotch et d’attelles appliquées au long de leur tuyau.

Un jour ou d’autres, à une heure concise ou de diverses, sur son grabat ou celui de tout autre, ou à même froidement le bitume, ronces ou terre battue, Heel, en compagnie de son créateur, fera tout comme tant d’autres l’ont fait avant lui; finira bien, ainsi que déjà celle-ci, par casser, et alors de façon définitive, sa pipe; ainsi que, en corps, ses nervures, tripes, cartilages et tous os, encore bien d’autres le feront… mais alors, au contraire de quelques autres ayant connu ce même, triste sort, tant bien que mal, rafistolées, à l’aide de colle, attelles et ruban de scotch; ici, tout comme celle proposée, de façon absolument irréparable;

Là vraiment pas de quoi en faire tout un plat! Verre, assiette ou tout juste soucoupe… voire quelque autre couvert…Un plat dont se délecteront, tout à loisirs, d’autres genres de vers!!!

Alors? Quoi?…

Pipe: Irréparablement cassée: