L’auteur propose ici des vues de son défunt atelier du Rawyl (photos extraites de son film Psalma) et d’Aproz.
A la différence de celui d’Aproz, appelé à le suivre bientôt lui aussi, entièrement disparu. Ce qui explique en partie le côté flou des ces reproductions.
Tout comme pour le second, non visibles pour tout autres que l’auteur qui y travaillait dans sa jeunesse, les fantômes, ombres, esprits qui l’habitaient.
Leur côté répétitif inspiré lui du film intitulé Psalma, visible dans le site sous les rubriques vidéo-film, oeuvre poétique de l’auteur dont l’écriture est constituée d’identique façon.
Tout comme pour le second, non visibles pour tout autres que l’auteur qui y travaillait dans sa jeunesse, les fantômes, ombres, esprits qui l’habitaient.