Capitaine au long court; (sans jeu de mot ou erreur de frappe!)
Etat, tel quel, étant donné les infinis naufrages dont il subit les affres, jusque noyades y incluses, elles pour tous autres marins; l’océan ou la mer, selon ses habituels usages, jamais n’en rendant la dépouille;
pour lui, par contre, à chaque fois, qui en réchappe; certes, non intact; à chaque fois frappé d’une ou plusieurs blessures de plus, voire nouveau membre lui manquant; mais jamais un de ces deux vastes éléments aquatiques n’ayant voulu recueillir sa dépouille en leurs flancs comme fonds!
D’où le lamentable état qu’il offre, de ces jours!
Finalement, malgré sa passion pour leurs eaux, sans répits et cela toute sa vie usant, rendant son dernier souffle, ainsi que le plus minable d’anonyme pékin, en ses draps de fort commun, grabat.
Restes de Nooh: Désséché sur souche:
Dépouille de Nooh: Sous son seul, propre poids, affaissé:
… Ponctués d’autres rires éructés d’une gorge quasi dépoitraillée, prestement redressée, lancée et dévalante toute une volée déjà de neuves rampes de surpoids, Aele clame de plus bêle ce qui semble être cri de guerre, carnassier raliement;
: – Pénéloooope!
Tout l’ensemble des troupes aussitôt convergentes élancées sur ses pas, emportés dans la vertigineuse dégringolade d’autre escalier, aux marches cette fois en colimaçon; tous virages là pris jusque à la corde roide, si proche à tout instant mais de se voir abruptement rompue;
: – Pénélope! Lehys, voulais-je rire, ou plutôt le décrire!
Se reprend Aele avec un souffle mais là commun à tout ses pourchasseurs, aux basques éperdues de par telle déconfite victime;
après bien des débours, ensembles de couloirs enfilés tels aux pas plus que jamais de frousses, pièces, halls, salons pourfendus à tout comme la nage, sinon telles autres rages de meubles fracassés au tassage sous les pas de ces meutes oh combien carnassières, finalement parvenues à l’atteindre!
Il est là, en effet, farouchement campé sur le seuil d’une porte aussi massive que blindée; quoique lisiblement inquiet face à l’irruption d’un tel amas de troupes ainsi des plus lisiblement lancées à ses personnels et assassins assauts; n’hésitant tout aussi bien à fendre ainsi sa peau qu’interdire à tous cris hautant qu’à tout l’ensemble de ces forcenés vandale, son accès!
: – Sois-en persuadée, telle véhémente égérie, que je me trouve fermement décidé à opposer jusque le rempart de mes os, sous vous coups, mis à vif, pour vous interdire de progresser plus avant!
: – Mais ce n’est point à ta peau qu’ainsi nous en avons! Simplement désireux, et cela à n’importe quels cris, de découvrir et consulter une de tes oeuvres,
: – Moah?… Mehhh!… Euhhhh?
Je ne vois, te l’assume, ce de quoah tu prétends que je vous cache!
: – Mais fort bien dur, de ta foutue tapisserie! Où donc la tapis-tu?!
Sentant le poids de la menace, quant à l’intégrité de celle-ci, il bondit en retrait, mis des plus lestement à l’abri salvateur, ce toutefois l’escompte-t-il, d’un huis refermé sur lui et qu’il s’apprête à clore plus définitivement encore, à grands renforts de poutres traversières, chaînes de tous calibres, verrous et chausses-frappe.
Contré mais cependant dans sa tentative d’esquive par le pied de cette Aele, fort rageusement décidée à interrompre, mieux rompre cette tentative se voulant stratégique!
: – Minute, goupillon!
: – Point si preste, quenouille!
Et c’est ainsi sans hurler gare, plus que les sommations pourtant de vigoureux usages, éructées de buccins, cor de buses, clairons et autres trompes de surpoids, que le si secourable ensemble de ces meutes tout aussitôt échevelées se propulse aux assauts du rempart que tente mais toujours de tisser ce fâcheux tapissier.
Tandis qu’ Aele admoneste son ami fort marri:
: – Mais enfin, dis le leur, à eux tous aussi, ce que tu m’as appris! Que son oeuvre est à terme! Que toi seul l’a vue, mais telle qu’il nous l’occulte, ce foutu tapissier!
Et c’est alors que Thu, reprécédent ses troupes comme en prenant les rênes, sentant qu’il était temps de mettre un terme à un désordre susceptible de plus en mieux de rabattre en gestion les éclats de sa si monumentale autorité tonne tout à son cours;
: – Foin là de toutes prudes, sinon frigides réticences!
Et prompte exécution, tergiverseuse pénélope! T’adjurant mais ainsi sans jambages d’avoir à nous livrer pratiquement et ce jusque sur tronche les plus ivres accès à ta foutue tapicherie!
: – Wooouahhh! hi oh!
Ce rire alors tonitruant de rire mais tout comme de guerre, quoique des plus indécelable, de par tel immergé en une telle foule, ne sachant qu’appartenir, de par son timbre inimitable ainsi que suraigu, au petit Wooh, compensant mais d’hautant, fort ainsi, le succinct de sa taille;
: – Non mais dis, t’as ouï, woui, fort foutu pâtissier, ce qu’a dit ton patron!? Alors, exécution!!!
A l’exception de la jeune Yelsha, dont l’auteur eut la connaissance seulement par un article de journal; enterrée elle, ce façon de parler, à ses yeux, dans les eaux fleuries de nénuphars; aquatique tombeau tout proche du voilier Mayriblue; A qui l’auteur, à la suite de Anou, sa Petite Fée Céline, Julien, son Petit Prince, a dédié son KAH-KHA. Sachant qu’ils sont nombreux, les candidats à ce genre de choix pour disparaître, celui-ci se contentera de ne citer que ceux connus et fréquentés par lui durant sa vie.
En un tout premier lie, bien entendu, son plus jeune frère, quoique toujours considéré en tant que jumeau; si proche dans leurs rapports avec l’art… Lui représentant la Peinture.
Ensuite son ami pianiste Pierre, époux puis divorcé de La Martine, jeune et gracieuse ballerine… Enterré tout près de chez lui, à Fez, petit village voisin de celui d’Aproz… Lui représentant la Musique.
Enfin de Jean-Michel Mayor; ami rencontré alors que l’auteur faisait encore partie d’un groupe de jeunes poètes amateurs… Mort à vingt ans; et sans la moindre explication pour éclairer son geste désespéré… Lui représentant l’Ecriture.
Arbre concluant l’extrême du long parcours tout au long de ses Berges, longeant les rives du Grand Fleuve Anastase…
L’Arbre aux Pendus: Dont on distingue les nombreuses cordes, faites de lianes:
Espace, situé sur les terres bordant les eaux disposées tout au long du Bois des Cordes, croisés par l’auteur durant ses quotidiennes pérégrinations…
Et c’est au cours de l’une d’entre elles qu’il vécut une scène particulière qu’il ne mentionnera jamais, puisque s’en étant inspiré pour la rédaction de l’un de ses ouvrages maintenant disparu, puisque ayant fait partie de cet ensemble de vingt trois autres ayant composé Les Ferments.
Arbre, situé sur les terres bordant les eaux disposées tout au long du Bois des Cordes, croisés par l’auteur durant ses quotidiennes pérégrinations…
Et c’est au cours de l’une d’entre elles qu’il vécut une scène particulière qu’il ne mentionnera jamais, puisque s’en étant inspiré pour la rédaction de l’un de ses ouvrages maintenant disparu, puisque ayant fait partie de cet ensemble de vingt trois autres ayant composé Les Ferments.