Mayriblue, à quais:
Dans les eaux baignant, tout juste voisines de celles, caché aux regards de tous autres promeneurs par de pleines brassées bruissantes abritant le Tombeau encore fleuri une grande partie de la bonne saison de nénuphars pourpres de Yelsha…
Voilier tout comme, toutes voiles hissées à ses très nombreux mats, s’apprêtant pour un nouveau départ;
Face auquel, en appréciant le spectacle qui lui est ainsi vastement offert, à chaque fois, arrivé à sa juste hauteur, le promeneur qu’il est interrompt un long moment le cours de ses pas…
englobant encore, en ses vues l’ensemble tout aussi vaste, sous formes, pour tous autres, de simples roseaux, à ses yeux la conséquente troupe dansante, au rythmes des rafales de vents qui en anime les aériens ébats de ces jeunes, gracieuses et vives Elphes qui, parfois, l’invitent à se joindre à leurs rondes endiablées, plus calmes menuets…
L’auteur, ainsi, pour les avoir côtoyées de si près, réaffirmant la nature exclusivement féminine de leur genre; peu soucieux de ses inévitables contradicteurs; tout occupé à joindre, mêler, confondre l’ensemble de ses pas aux leurs… avec elles, emporté en de plus vives cabrioles…
que ne réalisant, encore à la recherche d’un souffle passablement compromis, ainsi que fort plus tardivement, que le grand comme imposant Voilier Mayriblue, l’ensemble de ses amarres larguées, se trouve maintenant tout proche du grand large, derrière lequel il s’apprête à bientôt, tout altier comme entier, à disparaître…
Le Mayriblue, à quais: Cependant proche d’un nouveau départ: Au premier plan, une partie de l’ensemble, emportées en leurs danses et jeux, des Elphes de ces lieux: