Tertre :
Situé tout au début du parcours emprunté quotidiennement par l’auteur, tout au longs des Berges de ses terres Anastasiennes;
juste suivant immédiatement le Logo de départ, dessiné sur une des arches du pont dénommé à tort par tous pékins les parcourant de même du Rhône.
Endroit précis où, un jour, l’auteur découvrit, à ses pieds, le cadavre d’un petit héron; sans doute venu s’écraser, compte tenu de son peu d’expérience, contre la masse de ce pont.
Auteur qui entreprit aussitôt, non, en ces lieux, de l’enterrer mais plutôt ensabler assez profondément pour éviter qu’il ne fut la proie de quelque autre animal.
Précautions renforcées par un ensemble de pierres amalgamées juste au-dessus; ensuite décorée de brindilles, pives et barollins; puis protégé finalement encore par le dépôt d’un petit tronc.
Ne manquant jamais d’interrompre sa course, une première fois, pour se consacrer à ses pensées.
: – Tout de bon, mon petit héron! Et que, désormais, ces dimensions maintenant toutes nouvelles, pour toi, définitivement acquises, reprenant, cette fois, sans dégâts cet envol par trop prématurément interrompu!
Tertre: Abritant le repos d’un Petit Héron: