Zéro Point :
Le plus important de tous; étant donné qu’il marque celui de départ de tout l’ensemble de ce que l’auteur va découvrir tout au long de ses terres Anastasiennes, y compris celui conclusif de son périple quotidien.
Point désormais disparu; à son tour, fauché sous les tronçonneuses des forestiers. Appelé encore, par lui, le Portillon; comme aussi celui dit en tant que Seize Cent Quarante Six.
Porte ouverte permettant d’accéder, le temps ici interrompu… ou mieux encore, n’ayant plus cours, sur l’espace cosmique; l’ensemble, à choix, des mondes parallèles…
Zéro Point: Sur les berges du Grand Fleuve Anastase: