Aele-Heel: Photos:

Aele-Heel :

Deux arbres, pour l’auteur, reconnaissables entre tous!

Et matérialisant à merveille leur rencontre, tout d’abord; comme, ensuite, leur indéfectible ainsi qu’inébranlable union; puisque même la mort de l’un ou l’autre ne saura jamais les séparer! Le premier parvenu jusque là, aussitôt, ayant à charge de s’occuper à réserver et préparer la place de l’autre, retrouvé, et l’accueillir à ses côtés!

Au fil des pas, en effet, ces deux arbres séparés entre eux, mais déjà proches l’une de l’autre! Ensuite, indissociablement confondus!

Aele et Heel, séparés:                 Aele et Heel réunis:

 

 

L’Antenne: Photo:

L’Antenne :

Arbre, de nos jours disparu, tombé sous la tronçonneuse des bûcherons; situé sur les terres Anasrasiennes de l’auteur en bordure de la plage familiale, où ils vivaient ensemble une partie de la journée de leurs étés de vacances, pic-niques y compris…

Auprès duquel Heel s’était excusé, lui demandant la permission de débarrasser son tronc de boules parasites, neuf exactement, utilisés, dans son atelier, en guise d’oeufs, afin d’alimenter les quelques nids découverts sur ces mêmes terres; mais chose faite seulement, comme de bien entendu, une fois cette autorisation accordée par lui!

L’une d’entre elles, plus importante que les autres, ayant laissé apparente une blessure dans son tronc. Que l’auteur se mit à utiliser, son index droit appliqué en elle, pour communiquer avec l’au-delà…

Contact établi, renforcé par un œil, à mis hauteur de sa taille, autorisant encore au mieux cette intrusion ainsi que son retour sur terre…  

Myriam II: Photo:

Myriam II :

Jeune ballerine rencontrée elle aussi, tout comme Jack, au conservatoire de musique de Sion.

Peut-être parce que petite sœur d’une collègue, élève de piano tout commel’auteur, mais les classes de Monsieur Béguelin, un personnage lui aussi; assumant presque à la perfection celui du Tournesol de Tintin! En pantalons golfs et parapluie à la main, durant toute l’année!

A ce propos, cette jeune danseuse spécialisée dans la danse acrobatique, à la sortie d’un examen de fin d’année, s’est empressée, de rage et dépit, de déchirer, sur le pas de la porte tout juste refermée, le papier obtenu, pourtant paraphé avec la mention très bien, son papier réduit en petits morceau!

: – Non mais tu le vois, ce vieux débris, esquissant des pas de danse, arabesques et pointes, en tutu et chaussons! Que connaît-il seulement de cet art, pour se porter juge en ce gendre de domaine?!

Auteur qui lui vient en aide, dans ses études de bibliothécaire, ayant choisi, pour l’obtention de son mémoire, les Enfants Terribles de Jean Cocteau.

Par la suite, perdue de vue, depuis son mariage avec un spécialiste dont les études sont vouées à celle des mouches!!! L’auteur ayant assisté, sur son invitation, à une autopsie de l’une d’entre elles!!!

Photo prise dans une cabine publique:

Sha: Photo:

Sha :

Sous forme d’arbre, personnage féminin faisant partie des vingt quatre, hôtes malgré eux du Cercle; personnifiant la Pensée; celle-là qui fait de l’humain un être supérieur encore au genre animal; et dont il est appelé à devenir le maître.

Arbre superbe, de par sa majestueuse et imposante prestance, et qui devrait rappeler à cet être humain qu’il se trouve lui aussi doté d’une âme!

Evidence consciente chez la plupart des tribus africaines prétendues primitives, sauvages, considérées à tort par presque la totalité de nos civilisations dites évoluées comme une aberration;

Tort magistral, puisque fatal, de ce jeune bûcheron, armé de sa tronçonneuse, qui venait d’abattre l’un d’entre eux ; pour avoir oublié; sinon plus gravement encore négligé, ainsi que le font chacun de ces prétendus sauvages, de prier pour le repos de son âme; comme encore, contraint par sa propre survie, pour avoir dû ainsi brutalement et par trop tôt abréger la sienne.

Entraînés tous deux, lui écrasé sous sa masse abattue; emportés en une commune fin!

Sha, dans toute sa majestueuse ampleur: