Arbre complètement envahi et recouvert par du lierre… En forme ici de Harpe Celtique. Annonçant la proche conclusion du parcours de l’auteur tout au long de ses terres Anastasiennes… Précédant juste le Tombeau Etrusque, lui déjà publié.
Aux yeux de l’auteur, encore une référence elle matérielle, issue de la nature, Biblique! Le combat de David, le lierre, contre Goliath, l’arbre; le plus faible, malingre, frêle, finissant par étouffer le géant!
Harpe Celtique: Annonçant le final de cette course de l’auteur, tout au long de ses terres Anastasiennes:
Chien qui pourrait être, pourquoi pas, celui de Jehane, dans l’ouvrage de l’auteur intitulé Mayriblue ?! Molosse jeté à la poursuite, tout comme programmé au véritable carnage du vieux et rachitique Toby, lamentable résidu canin, une oreille et patte avant déjà de moins… qui, pour lui échapper se lance dans les flots… quoique le fauve toujours sur ses talons; mais alors, combat bien plus équilibré!
Proie cependant, sans ne chercher d’affrontement direct, qui gagne le grand large… quoique combien handicapé, mais bien meilleur nageur que son déjà époumoné et hoquetant assaillant… qui finit par se noyer.
Le minable cabot, lui, regagnant, tout comme si de rien n’eut été; bien qu’affirmant bien haut, et jusque à qui ne veut l’entendre, n’ayant jamais appartenu à qui que ce fut, les côtés de sa petite maîtresse Prune!
Souche, quoique unique, diverse d’aspect, suivant la luminosité et l’angle de prise de vue de l’objectif;
Située, sur le parcours au long des terres Amastasiennes de l’auteur, presque en fin de celui-ci; précédant de fort peu la Harpe Celtique comme le Tombeau Etrusque.
Fossile d’oiseau mort; réduit à l’état de fœtus parmi les plus primaire; et venant visiblement de tout juste pondre trois œufs… nettement décelable, répandus sur le duvet de son ventre.
Situé, tout en bordure des eaux étales, sur les terres Anastasiennes, en milieu ou presque de leur parcours, du Bois des Cordes…
Tout comme on le constate, les attentions soutenues de l’auteur à découvrir et étudier l’entourage ici de ses pins, accordées tout aussi attentivement au sol, à ses pieds, rondeurs de ses sabots!
Un régiment entier mis sous les ordres et à la disposition permanente de Thu, chef incontesté de l’ensemble féminin comme masculin des Hôtes du Château, et ainsi prisonniers à vie du Cercle; promu ainsi, général placé, de plus, à leur tête.
Avant garde de toute une armée, chargée exclusivement de sa garde personnelle et rapprochée…
Réduisant, à elle seule, déjà, toute tentative, ne fusse que juste esquissée de rapprochement, et combien d’avantage atteinte directe de son éminente personne.
Cela jusque à ce que surgisse Lea, la Vierge Ivre, comme Diane, chasseresse, accompagnée de son molosse, enfin Jehane, issue du roman de l’auteur, d’identique Prénom; Opposée, quoique vierge elle aussi, mais ivre de pouvoirs tout hautant temporels que spirituels; pour ce faire, parvenant, par la ruse et la force, surtout, à se faire introniser Papesse; seule de son espèce.
Et qui dépouille Thu, s’approprie la protection de toute cette armée vouée à sa nouvelle, omnipotente et exclusive Patronne.
Les Lanciers: Au début du parcours de l’auteur sur ses terres Anastasiennes; ici encore, au début ou presque de ses berges, en bordure des eaux du Grand Fleuve:
De par son titre, faisant intégrante partie, et tout comme dernier de la série, venu la conclure, de ces arbres numérotés par l’auteur… à l’exemple des huit Modes littéraires déterminés par lui, conclus par celui appelé Pérégrin.
Arbre lui encore en retrait par rapport au nouveau parcours, le dernier lui aussi, établi par lui pour accomplir le tour complet de ses terres Anastasiennes…
Précédant de fort juste l’amorce, orée du bois des cordes; lui encore le dernier, faisant suite à ceux du Bois des Sirènes et celui du Bois de Plume.
Le N’Oeuf de Pacques: Venu conclure la séries des Arbres numérotés par l’auteur: