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Le N’Oeuf de Pacques: Arbre: Photo:

Le N’oeuf de Pacques:

De par son titre, faisant intégrante partie, et tout comme dernier de la série, venu la conclure, de ces arbres numérotés par l’auteur… à l’exemple des huit Modes littéraires déterminés par lui, conclus par celui appelé Pérégrin.

Arbre lui encore en retrait par rapport au nouveau parcours, le dernier lui aussi, établi par lui pour accomplir le tour complet de ses terres Anastasiennes…

Précédant de fort juste l’amorce, orée du bois des cordes; lui encore le dernier, faisant suite à ceux du Bois des Sirènes et celui du Bois de Plume.

Le N’Oeuf de Pacques: Venu conclure la séries des Arbres numérotés par l’auteur:

Le Maestro: Arbre: Photo:

Le Maestro:

Arbre, lui aussi en retrait maintenant du parcours finalement établi de l’auteur, tout au long de ses terres Anastasiennes; rencontré et découvert en ces lieux, du temps depuis fort conséquent reculé où il les parcourait, chaussé d’une paire de baskets et vêtu de cuissettes ou training appropriés pour ce genre d’exercice…

Alors, accomplissant trois fois le tour complet de ces terres, dans approximativement le même temps que celui actuel, pratiqué lui au pas de marche, ainsi que ponctué d’arrêts.

Arbre Maestro, d’une part reconnaissable à la tignasse échevelée que l’on imagine aussitôt, apanage de ce genre de personnage; ainsi que, tel que découvert, gesticulant en tous sens…

d’autre part, ne pouvant que se trouver au coeur de ces vastes lieux, baptisés par l’auteur le Bois des Cordes! Ainsi soumis à ses exigeantes injonctions musicales…

Le Maestro: En pleine action, baguette haut brandie, à la tête de son orchestre, l’oeil et l’oreille auxquels personne d’entre eux capable de lui tenir tête; dans ses oeuvres:

Tertre: Terres Anastasiennes: Photo:

Tertre :

Situé tout au début du parcours emprunté quotidiennement par l’auteur, tout au longs des Berges de ses terres Anastasiennes;

juste suivant immédiatement le Logo de départ, dessiné sur une des arches du pont dénommé à tort par tous pékins les parcourant de même du Rhône.

Endroit précis où, un jour, l’auteur découvrit, à ses pieds, le cadavre d’un petit héron; sans doute venu s’écraser, compte tenu de son peu d’expérience, contre la masse de ce pont.

Auteur qui entreprit aussitôt, non, en ces lieux, de l’enterrer mais plutôt ensabler assez profondément pour éviter qu’il ne fut la proie de quelque autre animal.

Précautions renforcées par un ensemble de pierres amalgamées juste au-dessus; ensuite décorée de brindilles, pives et barollins; puis protégé finalement encore par le dépôt d’un petit tronc.

Ne manquant jamais d’interrompre sa course, une première fois, pour se consacrer à ses pensées.

: – Tout de bon, mon petit héron! Et que, désormais, ces dimensions maintenant toutes nouvelles, pour toi, définitivement acquises, reprenant, cette fois, sans dégâts cet envol par trop prématurément interrompu!

Tertre: Abritant le repos d’un Petit Héron:

Le Buisson Dardant: Arbre: Photo:

Le Buisson Dardant:

Image une fois encore Biblique; décryptée en remplaçant ce titre par celui du Buisson Ardant!

Bible dont l’auteur apprécie et goûte la lecture, riche, pour ne dire foisonnante de perpétuelles découvertes, indéfiniment renouvelées…

Celle-ci, par le biais de laquelle Dieu, une fois de plus, se manifeste à l’humain!

Celle qui est proposée aux visiteurs de son site, située en bordure de l’espace déserté maintenant où évoluaient ballerines et danseurs du Corps de Ballet, ayant, au grès d’un crépuscule d’arrière Automne, offert cette impression d’identique embrasement, à l’auteur arrêté à son pieds…

flammes figurées alors par des nuées d’étourneaux, ayant choisi ses nombreuse branches décharnées, tout comme en vue de leur redonner vie, ses feuilles chues vivantes et frissonnantes sous le vent, à nouveau, faites de centaines de paires d’ailes agitées…

Vie ainsi retrouvée, l’espace d’un magique instant … puis brusquement, tout comme à un signal émis par l’un d’entre eux, en un bruissant envol, nuage de ces oiseaux emportés par des vents comme fous, ivres… buisson de retour, lui, à sa léthargie, voire sommeil hivernal…

Le Buisson Dardant: Spectacle dont l’auteur aurait bien voulu prolonger le déroulement; enthousiasmé par son côté magique:

Andros II: Arbre: Photo:

Andros II:

Arbre situé, sur les terres Anastasiennes de l’auteur, juste précédant le Bois de Plume… à l’orée de la Baie d’Event… Baptisée ainsi par l’auteur pour son ouverture offrant à sa vue tout l’ensemble de ses terres, cernant les rives des eaux étales devant lui…et, par là-même, lieux exposés aux vents qui y soufflent presque de façon continue…

Dénommé ainsi, avec le I et le III, parce que visiblement, sans se cacher, androgyne!

C’est à dire, de sexe ambivalent, indéterminé; en compagnie de ses deux autres camarades, ainsi banni par tous les autres de leur nombreux ensemble. Quoi que séparés entre eux trois, le premier situé juste après avoir dépassé le Corps de Ballet; le second, comme décrit, découvert au début du Bois de Plume; enfin le dernier précédant juste, aux trois quarts du parcours complet, le Triptyque; tous trois ainsi se tenant entre eux. Plongés en un monde à part. Tels que les trois K.

Andros II: