Autre, ayant pour tâche, des plus soucieux à le faire au mieux, de veiller au repos de cette pauvre Enfant…
Et, pour y parvenir, ainsi, par ses appels et stridents sifflements, ses trois autres collègues, à ses proches côtés, astreints à cette identique et essentielle tâche, parés à lui prêter main forte…
Génie I: Sentinelle prévue pour déclencher l’alerte auprès de ses collègues, veillant au repos de Yelsha:
Assez proche de la fin du parcours de l’auteur tout au long de ses quotidiens périples sur ses terres Anastasiennes ; plus précisément juste faisant suite à L’Andros Trois.
composé, d’où son nom, de trois troncs additionnés; sur l’écorce desquels on peut découvrir les visages de plusieurs Génies;
A son endroit, dominant une baie aquatique où il avait découvert, au plus dense d’un très vigoureux Hiver, tout une série de cercles, tout comme issus d’un impact sur ses eaux; instantanément figés, tout comme gravé, cela pour la durée de nombreux jours, dans la glace vive ayant figé la surface toute entière de l’étang occupant ces lieux.
Deux photos prises par l’objectif de l’auteur; la première offrant un gros plan du Minautore, rencontré sur la place du même nom; marquant le départ du long parcours tout autour des terres Anastasiennes qu’il s’apprête, comme chaque jour, à parcourir et sans cesse redécouvrir, perpétuellement inédites, dans leur totalité…
la seconde, elle plus en détail, prise directement, extraite du tronc qui barrait de sa masse la route pédestre bordant les rives de ce Fleuve; afin d’en interdire l’accès aux véhicules motorisés.
Tronc maintenant, rongé par les vers, totalement décomposé et disparu…
Une fois de plus, concrétisation ici, issue d’une image Biblique; celle évoquant, apparue dans son sommeil, de l’Echelle de Jackob; capable, pour lui, tout l’ensemble infini de ses échelons franchis, d’atteindre les Cieux!…
Ici, presque en conclusion du parcours total des terres Anastasiennes de l’auteur, d’un plus banal escalier reliant le parking supérieur du restaurant des Îles, à celui inférieur, lui destinés aux hôtes et visiteur du camping voisin.
Photo évoquant, pour l’auteur, un tout autre genre d’exploit! Réalisé par deux jeunes sportifs d’un genre assez particulier! L’auteur ayant eu juste la chance de se trouver là au moment opportun pour l’apprécier, comme applaudir avec enthousiasme, une fois réalisé…
Quoique rien ne lui lassait supposer, en arrêt; pour découvrir, alors au coeur de l’hiver, le premier, skis aux pieds, assis sur le capot d’une voiture parquée juste devant le restaurant;
: – Sans doute au repos, après une course sur les terres enneigées d’alentours! Songe-t-il…
Jeune skieur qui se retourne vers le second, lui demeuré au volant de la voiture;
: – Ca va! Tu peux y aller!
Voiture qui semble bondir, pneus hurlant, fonçant comme un bolide, droit sur la rampe de cet escalier, ses nombreuses marches conduisant jusque, au-dessous, au parking lui aussi enneigé…
Voiture stoppée net, au tout dernier moment, propulsant le skieur en avant, expulsé au-dessus de ce tremplin improvisé!
Son sort demeuré intact; deviné, en entendant son rire triomphant! Etaient-ils en train de mettre au point une nouvelle discipline olympique? Il ne le sut jamais.
Le Palier de Jackob: Comme tremplin de saut à skis improvisé!:
Bien évidemment, ce bois, essentiellement constitué du superbe ensemble de Pins, longeant sur son entier les eaux étales tout large comme long des terres Anastasiennes de l’auteur; baptisé ainsi par lui, sous forme de jeu de mot; quoique de façon très subtile…
Evocation de deux des éléments instrumentaux; avec les cuivres constituant l’orchestre, vents et percussions, le constituant!
Que cet auteur parcourt toujours, à la limite de ces deux éléments, terres et eaux… les premières, dormantes, parfois, gercées comme brassées, voire jusque torturées, d’autres fois par les vents… terres lui délivrant une palette de couleurs aussi riches les unes que toutes autres du cours indéfiniment répété des diverses saisons… lui offrant quotidiennement tout autant que celui parcouru jusque là son lot d’images, Arbres, bien sûr, ombres, fantômes et êtres, par d’autres, prétendus exclusivement légendaires…
Mais que lui seul côtoie, non surpris, cependant, bien réels, palpables…