Archives de catégorie : bois

La Source: Bois: Photo:

La Source:

Venue, sous forme de souche, récupérée par l’auteur pour être recueillie dans son Atelier d’Aproz; sous laquelle son Penseur, une parmi ses toutes premières sculpture, exécutée au chalumeau, à su trouver refuge…

Venue servir de conclusion, tout comme de nouveau départ, sur la Place dite du Minautore, pour ses incessants parcours quotidiens tout au long de ses Berges et terres Anastasiennes…

La Source: Point de départ et d’arrivée du KHA-KAH! Image concrète du Cercle!:

Génie I: Souche: Photo:

Génie I:

Autre, ayant pour tâche, des plus soucieux à le faire au mieux, de veiller au repos de cette pauvre Enfant…

Et, pour y parvenir, ainsi, par ses appels et stridents sifflements, ses trois autres collègues, à ses proches côtés, astreints à cette identique et essentielle tâche, parés à lui prêter main forte…

Génie I: Sentinelle prévue pour déclencher l’alerte auprès de ses collègues, veillant au repos de Yelsha:

Tothem: Bois naturel, sans aucune retouche: Photo:

Tothem:

Sur un fond comprenant une statuette africaine, un emblème de bois strictement naturel, non retouché, pour son appropriation et transport au coeur de son atelier d’Aproz; autrement dit, de son KHA-KAH, un autre, sous une diverse forme, emblème de ce continent, préféré à tout l’ensemble des autres, pour son passé exceptionnellement riche, le futur qui lui est promis, de par sa jeunesse.

Créant un sourire sur les lèvres de l’auteur, ayant conservé le souvenir de sa Petite Fée Céline, après l’avoir à son tour découvert, dont une main vient effleurer une non équivoque protubérance, à sa base; tout comme craintive de se brûler les doigts à son contact ainsi direct!… Ou d’en susciter l’éveil?!

Tothem Africain: Atelier d’Aproz:

 

Auto-Buste Rhynocéphal: Photo:

Auto-Buste Rhynocéphal:

Faisant partie des trois autres Auto-Bustes représentant une Sculpture en bois de l’auteur, sous forme de portrait.

Celui-ci composé d’un seul bois dont l’origine lui est inconnue;

bois sans aucune retouche pratiquée par lui; inspiré des animaux mythiques de l’auteur, découverts au cours de ses pérégrinations quotidiennes sur ses terres Anastasiennes, tels que l’Hypoblokus femelle comme mâle, l’Anakhonda .

Ici non encore baptisé:

Génie: Bois:

Génie : Capturé sur les terres Anastasiennes de l’auteur; parmi tant d’autres répandus sur ces lieux…

Récupéré, après de longs mois durant lesquels celui-ci, armé d’un gros ciseau à bois et d’un marteau, emmenés à chacune de ses promenades, enfermés au fond de son inséparable besace … Ayant depuis de longs mois, alors que la souche qui le contenait était encore sur pieds, impliquant encore trois autres d’entre eux ; arbre énorme, imposant mais fragilisé à la suite d’une violente tempête, abattu par les forestiers assurant l’entretien de ces terres ; sa souche, tout aussi imposante, ayant conservé trois d’entre eux ;

puis, un jour, incendiée de l’intérieur par un groupe d’iconoclastes.

L’auteur étant bien décidé à sauver d’une nouvelle atteinte par le feu ou toute autre, l’un de ceux-ci ; et c’est muni de ces outils, s’assurant à chaque fois que personne ne se trouve en vue, à chacun de ses passages, s’efforçant de le libérer à grands coups de son marteau; dans la crainte toujours qu’un autre groupe de ces jeunes malfrats ne récidive avec un autre feu… ciseau s’efforçant de faire céder un bois pratiquement aussi dur que la pierre !

Et c’est un jour durant lequel il pleuvait des cordes, réjoui par ce temps qui allait lui permettre, assuré par ce temps de disposer de tout son temps pour avancer dans son entreprise, qu’il atteint cette massive souche; désappointé vivement par la découverte d’un intrus planté, sous son parapluie, juste à son pied ; rassuré toutefois à la pensée qu’il n’allait, sous un tel déluge, trop longuement s’attarder ;

celui-ci, cependant semblant, tout comme elle, avoir pris ici racines !

: – Mais qu’est-ce qu’il fabrique, ce parfait abruti, sous de telles trombes, à demeurer planté là de la sorte !?

Tout aussitôt après, pris de quintes de rires en se disant ;

: – Et toi donc !? Tout autant abruti, et ne valant pas mieux !

C’est quelques jours plus tard, le bois qui le retenait à sa souche ayant finalement cédé, qu’il emporte son monumental trophée, sur plus de trois cents mètres, de bien cinquante kilos, jusque sur les berges où l’attend sa 2CV.

Enfin venue trôner au coeur de son atelier d’Aproz ; hors d’atteinte désormais de toute déprédation supplémentaire !