Archives de catégorie : Texte

Tableau: Stam de travail: Photo:

Tableau:

Qui se trouvait juste en face de moi, au coeur d’un fumoir me servant de lieu de travail, dans les sous-sols de la Brasserie Treize Etoiles; découvert et utilisé durant de longs mois, en train encore de mettre sur ordinateur le contenu de mon KHA-KAH…

Un lieu énormément apprécié pour son côté intime et secret; dans lequel je me trouvait la plupart du temps seul… doublement apprécié encore, du fait que l’inévitable musique rencontrée pratiquement partout ailleurs y était si bénéfiquement absente! Plongé en un silence bienvenu… idéal pour la rédaction de mes articles…

Le tableau? Goûté lui aussi; souvent, mon travail en suspend, pour mieux m’y arrêter… empreint de ce trouble côté ludique, onirique et comique, encore… propre au rêve, l’évasion vers des terres inconnues, inédites…

Finalement abandonné; comme d’habitude, pour la découverte, selon mes habitudes, d’autres lieux…

Toile empreinte d’onirisme, ludisme; et propre à l’évasion… :

Corps de Ballet: Photo:

Corps de Ballet :

Une parmi les photos préférées de l’auteur. Utilisée par lui pour illustrer la page de bureau de son ordinateur. Représentant, d’où son titre, l’ensemble des ballerines et danseurs composant, dansant sur scène, ce groupe en occupant tout le plateau.

Illusion réalisée, en cours de ses promenades quotidiennes sur ses terres jouxtant le Grand Fleuve Anastase, parvenu à sa hauteur, au fil de ses pas, lui l’impression, tout comme lui immobile et eux en mouvements! Identique illusion que celle vécue dans un train immobilisé en gare, alors qu’un autre, juste voisin, démarre…

Image préférée parce que, de nos jours, n’offrant plus que le spectacle désolé d’une vaste place rigoureusement déserte. Ceci dû à une violente tempête de vents ayant arraché et déraciné le tiers de ses participant… les bûcherons chargés de l’entretien de ces terres mandatés pour abattre tout le reste.

Rappel de l’oeuvre de cet artiste, quelques restes exposés au Musée de l’Art Brut à Lausanne, son essentiel avalé et disparu sous la pelle des bulldozers venu nettoyer le terrain, aprés sa mort; hérité par un obscur employé d’état, à sa retraite.

Oeuvre composée de mobiles suspendus aux branches d’arbres poussés en ces lieux; ainsi que d’écrits eux enfouis sous leurs racines.

Exemple parfait de la relativité, par le temps qui passe, de la réalité. Ce qui fut, maintenant disparu, et cela à jamais.

Avenir destiné lui aussi à la réalité cet atelier, pour l‘instant, habité par son KAH-KHA actuel, prévu pour disparaître dans sa totalité, pour ne laisser qu’un sous-sol parafaitement vide.

Corps de Ballet: maintenant disparu, sans aucune exception, dans sa totalité: Ne laissant, à sa place, que des espaces de gazon entièrement désertés…

 

Nohe: Minérologue: Photo:

Nohe:

Minérologue attitrée, spécialiste de la période de l’âge de la pierre.

Dans l’ouvrage de l’auteur, intitulé Zour, dont le décor est constitué en nu vaste cratère occasionné par une avalanche de neige dévalée de la montagne le Prabet, sur les terres saviésannes situées au-dessus de Sion, capitale Valaisanne.

Ce personnage très atypique, apparemment plutôt masculin, égaré tout au long comme large de ses flancs escarpés, est occupé à pourfendre des milliers de pierres afin d’en découvrir et parcourir ces époques parmi les plus reculées de l’histoire humaine…

Tandis que dévalent, tout au long de ses flancs vertigineux, tous les autres personnages, hôtes involontaires du Cercle. Pour parvenir finalement jusque à son fond, constitué de pierres et fossiles d’arbre déracinés; certains d’entre eux replantés, branches en pierres en et racines aux vents…

Pour finalement ascensionner ses flancs opposés; finalement atteints puis disparus, tels qu’ils avaient surgi: Pour abandonner la place laissée libre, déserte à nouveau, aux avant-gardes des armées d’Hannibal; annoncées par les barrissements de ses éléphants!

Nohe: Minéraulogue:

 

Dans le cadre de ses études: Pierre fraîchement fendue en trois par Nohe:

Arbre: Le Roland: Photo:

Le Roland:

Arbre le plus imposant, sur les terres Anastasiennes de l’auteur; situé presque en fin de parcours; faisant suite au Triptyque et précédant le Quatruor; d’une taille telle que ne pouvant être entièrement cadré dans l’objectif de l’appareil photographique à sa disposition ; d’où cette vue proposée, prise à ses pieds; quatre personnes indispensable, se tenant par la main, pour parvenir tout juste à en cerner le tronc!

Son nom, choisi par lui, en hommage à ce héros de La Chanson du même prénom ; subie, durant ses premières leçons de littérature au Collège de Sion; étudiée de long en large, dispensée à nos oreilles rabattues d’étudiants, par l’entremise d’un professeur de français incapable de s’en défaire… comiquement dénommé, de plus, Descartes !!!

Les dissertations personnelles de l’élèves qu’il fut, avant de bifurquer vers le Conservatoire de Musique, correspondant aux excès de sa propre littérature,occasionnant presque à chaque fois une lecture publique faite par lui à la classe, et lui valant, inscrites dans une marge assez large, à cette intention, auxquelles il répondait, défendant son propre point de vue, finissant, dans leurs ensemble par dépasser, en longueur, celle de la dissertation présente!

L’une d’entre elle revenant plus souvent qu’à son tour;

: – De la mesure en toutes choses! Disait Boileau!

L’auteur se faisant un plaisir d’emprunter juste la voie contraire!!!

Le Roland: Photo prise par l’auteur, juste au pieds de son tronc massif; exigeant au moins quatre personnes se donnant la main, pour en cerner le calibre! :

Loèche les Bains: Photos:

Loèche les Bains:

Paysages découverts et dès maintenant re parcourrus ponctuellement, à chaque fois qu’Heel en a l’occasion, en compagnie, comme de bien entendu, d’Anou et de leur chatte, Cachou II.

A chaque fois, appréciés à leur juste, exceptionnelle saveur! L’auteur incapable de se lasser de re goutter à leur sauvagerie; ascensionner ces roches imposantes, dressant comme à l’infini leur remparts immortels…

Loèche les Bains, découverts et retrouvés grâce à Anou; invité par elle, peu après s’être mutuellement rencontrés… A la vue desquels Hell, s’il en avait le choix, déciderait d’y finir ses quelques jours lui étant encore accordés…

Paysages tout comme appartenant au bout le plus extrême du monde; ne pouvant que donner accès à ceux parmi lesquels attend une seconde partie de sa personne, ayant su échapper, ne subir le sort de la seconde, de force, expulsé à la vie!

 

Façades, proches du village de Bodmen; voisin de la station:

Façades dominant la station:

F

Photo prise depuis leur nid d’aigle, situé en bordure de forêt: