Archives de catégorie : Texte

Le Guet Mutin: Photo:

Guet Mutin:

En compagnie de l’auteur, ayant interrompu son pas, une première fois pour assister à la danse des Ballerines emportées dans un premier Adage de Pas de Deux;

tout comme à nouveau en arrêt, pour goûter à celui de la Petite Plume; et lui manifester, celui parvenu à son terme, ses très vibrants applaudissements…

Ce guet Mutin, quatrième et dernier d’une famille déjà découverte, lui situé tout proche de ces double prestations de Ballet Classique, tout comme l’auteur, n’en ayant manqué, et ce jusque aux ultimes pas de ces jeunes et vives Ballerines, de vibrer tout autant à leurs inoubliables exploits…

A chacun des passages de cet auteur parvenu à sa hauteur, par sa seule présence, lui rappelant et faisant revivre chacun de leurs pas…

Le quatrième et dernier Guet Mutin:

Tothem: Bois naturel, sans aucune retouche: Photo:

Tothem:

Sur un fond comprenant une statuette africaine, un emblème de bois strictement naturel, non retouché, pour son appropriation et transport au coeur de son atelier d’Aproz; autrement dit, de son KHA-KAH, un autre, sous une diverse forme, emblème de ce continent, préféré à tout l’ensemble des autres, pour son passé exceptionnellement riche, le futur qui lui est promis, de par sa jeunesse.

Créant un sourire sur les lèvres de l’auteur, ayant conservé le souvenir de sa Petite Fée Céline, après l’avoir à son tour découvert, dont une main vient effleurer une non équivoque protubérance, à sa base; tout comme craintive de se brûler les doigts à son contact ainsi direct!… Ou d’en susciter l’éveil?!

Tothem Africain: Atelier d’Aproz:

 

Luhys: Poète incontesté du groupe: Photo:

Luhys:

Autre Personnage, hôte malgré lui du Château et éternel prisonnier du Cercle.

Poète lui aussi assermenté, intronisé en tant que tel, après approbation de Thu, en tant que Chef de la troupe, par tout l’ensemble, à l’unanimité, de la troupe de ses infortunés compagnes et autres gnons.

Quoiqu’il en fut, en soit comme en sera, qu’il est impossible, une fois lancé en un de ses combien multiple poèmes, puisés en un hautant intarissable répertoire, de faire taire… ne fusse que tenter d’en tarir ou restreindre les flots…

Organisateur incontesté de soirées consacrées aux récital de ses œuvres poétiques; lui seul, en présence de tout l’ensemble de la troupe, à chaque fois en dénombrant, cela sans exception, la présence de tous; quitte à se lancer à la chasse de possibles absents, comme de récalcitrants ramenés de force; aux besoin enchaînés sur leur siège!

Enfin, à la suite de l’exercice, attentif aux applaudissements crépitant de l’ensemble, le délirant enthousiasme à réclamer avec insistance, passion, un bis, ter comme autre quater…

Les probables passifs, voire manquant de suffisamment ostensibles ravissements, condamnés à demeurer en place, pour des prolongations dont lui seul décide de l’arrêt; ayant donné finalement satisfaction à leur intraitable bourreau!

Luhys: Sur les Berges du Grand Fleuve Anastase: A mis parcours:

Nooh: Capitaine au Long Court: Photo:

Nooh:

Capitaine au long court; (sans jeu de mot ou erreur de frappe!)

Etat, tel quel, étant donné les infinis naufrages dont il subit les affres, jusque  noyades y incluses, elles pour tous autres marins; l’océan ou la mer, selon ses habituels usages, jamais n’en rendant la dépouille;

pour lui, par contre, à chaque fois, qui en réchappe; certes, non intact; à chaque fois frappé d’une ou plusieurs blessures de plus, voire nouveau membre lui manquant; mais jamais un de ces deux vastes éléments aquatiques n’ayant voulu recueillir sa dépouille en leurs flancs comme fonds!

D’où le lamentable état qu’il offre, de ces jours!

Finalement, malgré sa passion pour leurs eaux, sans répits et cela toute sa vie usant, rendant son dernier souffle, ainsi que le plus minable d’anonyme pékin, en ses draps de fort commun, grabat.

Restes de Nooh: Désséché sur souche:

Dépouille de Nooh: Sous son seul, propre poids, affaissé:

Leyhs: Tapissier: Personnage du Cercle: Photo:

Leyhs: Tapissier:

… Ponctués d’autres rires éructés d’une gorge quasi dépoitraillée, prestement redressée, lancée et dévalante toute une volée déjà de neuves rampes de surpoids, Aele clame de plus bêle ce qui semble être cri de guerre, carnassier raliement;

: – Pénéloooope!

Tout l’ensemble des troupes aussitôt convergentes élancées sur ses pas, emportés dans la vertigineuse dégringolade d’autre escalier, aux marches cette fois en colimaçon; tous virages là pris jusque à la corde roide, si proche à tout instant mais de se voir abruptement rompue;

: – Pénélope! Lehys, voulais-je rire, ou plutôt le décrire!

Se reprend Aele avec un souffle mais là commun à tout ses pourchasseurs, aux basques éperdues de par telle déconfite victime;

après bien des débours, ensembles de couloirs enfilés tels aux pas plus que jamais de frousses, pièces, halls, salons pourfendus à tout comme la nage, sinon telles autres rages de meubles fracassés au tassage sous les pas de ces meutes oh combien carnassières, finalement parvenues à l’atteindre!

Il est là, en effet, farouchement campé sur le seuil d’une porte aussi massive que blindée; quoique lisiblement inquiet face à l’irruption d’un tel amas de troupes ainsi des plus lisiblement lancées à ses personnels et assassins assauts; n’hésitant tout aussi bien à fendre ainsi sa peau qu’interdire à tous cris hautant qu’à tout l’ensemble de ces forcenés vandale, son accès!

: – Sois-en persuadée, telle véhémente égérie, que je me trouve fermement décidé à opposer jusque le rempart de mes os, sous vous coups, mis à vif, pour vous interdire de progresser plus avant!

: – Mais ce n’est point à ta peau qu’ainsi nous en avons! Simplement désireux, et cela à n’importe quels cris, de découvrir et consulter une de tes oeuvres,

: – Moah?… Mehhh!… Euhhhh?

Je ne vois, te l’assume, ce de quoah tu prétends que je vous cache!

: – Mais fort bien dur, de ta foutue tapisserie! Où donc la tapis-tu?!

Sentant le poids de la menace, quant à l’intégrité de celle-ci, il bondit en retrait, mis des plus lestement à l’abri salvateur, ce toutefois l’escompte-t-il, d’un huis refermé sur lui et qu’il s’apprête à clore plus définitivement encore, à grands renforts de poutres traversières, chaînes de tous calibres, verrous et chausses-frappe.

Contré mais cependant dans sa tentative d’esquive par le pied de cette Aele, fort rageusement décidée à interrompre, mieux rompre cette tentative se voulant stratégique!

: – Minute, goupillon!

: – Point si preste, quenouille!

Et c’est ainsi sans hurler gare, plus que les sommations pourtant de vigoureux usages, éructées de buccins, cor de buses, clairons et autres trompes de surpoids, que le si secourable ensemble de ces meutes tout aussitôt échevelées se propulse aux assauts du rempart que tente mais toujours de tisser ce fâcheux tapissier.

Tandis qu’ Aele admoneste son ami fort marri:

: – Mais enfin, dis le leur, à eux tous aussi, ce que tu m’as appris! Que son oeuvre est à terme! Que toi seul l’a vue, mais telle qu’il nous l’occulte, ce foutu tapissier!

Et c’est alors que Thu, reprécédent ses troupes comme en prenant les rênes, sentant qu’il était temps de mettre un terme à un désordre susceptible de plus en mieux de rabattre en gestion les éclats de sa si monumentale autorité tonne tout à son cours;

: – Foin là de toutes prudes, sinon frigides réticences!

Et prompte exécution, tergiverseuse pénélope! T’adjurant mais ainsi sans jambages d’avoir à nous livrer pratiquement et ce jusque sur tronche les plus ivres accès à ta foutue tapicherie!

: – Wooouahhh! hi oh!

Ce rire alors tonitruant de rire mais tout comme de guerre, quoique des plus indécelable, de par tel immergé en une telle foule, ne sachant qu’appartenir, de par son timbre inimitable ainsi que suraigu, au petit Wooh, compensant mais d’hautant, fort ainsi, le succinct de sa taille;

: – Non mais dis, t’as ouï, woui, fort foutu pâtissier, ce qu’a dit ton patron!? Alors, exécution!!!

Leyhs: Tapissier: Appelé aussi Pénélope: