Considérations: Texte:

Considérations sur tout l’ensemble de ce qui constitue le KHA-KAH :

Leur auteur ayant pris, dès l’amorce de cette œuvre tout juste entreprise, combien prévu de longue haleine, d’effectuer ce travail, une fois le cap de cent article atteint, celui-ci ayant été , il y a peu, franchi.

Pour tous yeux, à l’exception des siens, réalisation reflétant un échec total ou presque, quant à son résultat. En effet, le nombre de plus ou moins intéressés par lui ne dépassant que très très rarement le nombre de dix ! Selon les siens, tout au contraire, l’ayant surpris. Auteur ne s’attendant à parvenir à ce chiffre. Cela pour deux raisons ;

la première, au souvenir à jamais gravé en lui de l’une des Pointes Sèches lancées à son endroit, de la part d’un de ses anciens amis, seul ayant su le percer à jour avec autant de réalisme, le qualifiant d’Inimitable Colporteur de Néant !

Toujours aux yeux pratiquement de tous autres que lui, révélation considérée en tant qu’injure ? Aux siens, tout le contraire, comme le plus réaliste compliment ; puisque dés le début de cette monumentale entreprise, reflétant à merveille ses plus profondes intentions ainsi que conventions.

Pour tenter de faire tout de même un peu sourire ces quelques plus ou moins assidus fidèles suivant la progression de ses travaux, auteur qui leur révèle ici un de ceux-ci, réalisé lui aussi, une fois son œuvre suffisamment avancée pour le réaliser.

A l’exemple du peintre Dali,travail consistant à s’attribuer des notes en relations avec toutes les disciplines artistiques entreprises par lui dans le cadre de son KAH-KHA. Et dont il vous dévoile le lamentable résultat !

Ecriture : 2; Musique : 1; Peinture : 2; Sculpture : 3;  Ballet : 4; Photographie : 2,5; Dessin : 2; 

Pour une moyenne, ainsi de 2.35 ! Si piètre Résultat corroborant l’enthousiasme combien maigre des visiteurs parcourant son site ! Surtout quand il aura appris que la note maximale est de dix ! Ainsi, résultat qui aurait dû l’inciter, tel ainsi recalé, à renoncer ne fusse seulement qu’à la divulgation de ses travaux. Pour autant qu’il eut été sensible à son seul amour-propre ! Ce qui ne fut jamais le cas.

Un autre fait est à tenir encore en compte, ; l’auteur parfaitement conscient, dès ses premiers écrits de la difficulté de ses quelques rares lecteurs d’alors à le suivre, comprendre; tout comme de ceux, plus rares encore qui devaient suivre.

L’évolution de l’art, et ce pratiquement sous toutes ses formes, ne tend plus que vers l’évènement, le spectaculaire, l’explosif! S’est égarée la vie et poésie de la bougie que l’on soufflait, mais toujours à regrets, longtemps après sa danse, tendres évolutions, avant juste de s’endormir. Remplacée, de nos jours, par les feux d’artifice!

: – J’écris, le disait-Heel, tout comme crée pour des générations passées, ou alors à venir; peut-être jusque condamnées à ne jamais ne fusse seulement qu’entrevoir le jour!

,

Premier des quarante volumes constituant le KAH-KHA littéraire.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *