Profondément immergés dans les eaux du grand fleuve Anastase, durant la majeure partie de l’année ; pour n’apparaître qu’au coeur de l’hiver, à ces seuls instants où elles se trouvent au plus bas, Heel, ne peut manquer, à chacun de ses passages sur ses rives, d’interrompre ses pas, à ce lieu très précis, afin de prêter à leurs chants une oreille des plus attentive ;
avant, quoique toujours à regrets, de reprendre leur cours… longuement retourné sur eux, pour les regarder lentement disparaître au loin…
Jamais ne manquant de s’exclamer, tout comme affrontant des foules, du haut d’une tribune, solidement campé et superbement péremptoire ;
: – Qui n’a jamais ouï le chant là si caractéristique de l ‘Hypoblokus, seul, en compagnie de l’Anakhonda, serpent de mer, ici de fleuve, en faisant la totale longueur… gîtant en ces eaux du grand fleuve Anastase, n’aura jamais vécu, malheureux, le tout mais alors alors tronqué de sa telle, ainsi, misérable vie !
Le grand fleuve Anastase: