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La Pierre Philosophale: Photo:

Pierre Philosophale:

Tout comme le Saint Graal, au moyen-âge, peut-être, certains historiens le prétendent, la Pierre Philosophale fut l’objet, aussi vaine l’un que l’autre, de nombreuses quêtes, occupant, parfois de façons quasi obsessionnelles, pour certains ayant occupé l’espace de toute leur vie, les Alchimistes d’alors…

Que l’auteur, cependant, considère en tant que bien réelle! Puisque découverte par lui, soigneusement dissimulée sous des brassées denses de roseaux; ayant ainsi échappé aux attentions et recherches, poursuivies encore de nos jours, de tous autres que lui.

Sans qu’il put déterminer de quelle façon, à la suite de quelles circonstances particulières, elle avait pu ainsi échouer sur ses terres Anastasiennes?!

Certes, quoique tout juste décelable, donc réelle, bien palpable, cependant demeurée plus que toujours inaccessible, hors de toutes portées… de surcroît, défendue, comme on peut le découvrir sur cette photo, des plus farouchement enfermée dans les racines de la souche qui l’a, un jour, recueillie.

Et c’est aux fins de préserver intacte cette inaccessibilité, que l’auteur se garde bien de divulguer le plus infime ne fusse que détail permettant quiconque de découvrir tout aussi vaguement que précisément l’endroit qui l’abrite, la dissimule à tous autres yeux que les siens.

Souche enfermant de ses racines l’inestimable Pierre Philosophale:

 

Hypoblokus femelle et ses petits:

Profondément immergés dans les eaux du grand fleuve Anastase, durant la majeure partie de l’année ; pour n’apparaître qu’au coeur de l’hiver, à ces seuls instants où elles se trouvent au plus bas, Heel, ne peut manquer, à chacun de ses passages sur ses rives, d’interrompre ses pas, à ce lieu très précis, afin de prêter à leurs chants une oreille des plus attentive ;

avant, quoique toujours à regrets, de reprendre leur cours… longuement retourné sur eux, pour les regarder lentement disparaître au loin…

Jamais ne manquant de s’exclamer, tout comme affrontant des foules, du haut d’une tribune, solidement campé et superbement péremptoire ;

: – Qui n’a jamais ouï le chant là si caractéristique de l ‘Hypoblokus, seul, en compagnie de l’Anakhonda, serpent de mer, ici de fleuve, en faisant la totale longueur… gîtant en ces eaux du grand fleuve Anastase, n’aura jamais vécu, malheureux, le tout mais alors alors tronqué de sa telle, ainsi, misérable vie !

Le grand fleuve Anastase:

Anastase: Vidéo:

Après la découverte des photos extraites du parcours de l’auteur tout au long de ses terres, proposées dans le désordre, celui-ci vous invite à l’accompagner à nouveau dans ce périple quotidien, mais cette fois, par le biais de vidéos, vues proposées dans leur ordre rigoureusement chronologique.

Avec, comme fond, une de ses œuvres prétendues par lui seul, sans doute, musicale, en forme de montage sonore ;

intitulée Double Quatuor.

 

 

 

Anastase

Anastase.

Nom du grand fleuve longeant les terres de l’auteur. A ne chercher sur une carte puisque n’y figurant sur aucune. Aux multiples embranchements et dont les eaux se déversent en toutes mers et océans eux dûment répertoriés.

Refuges, en leurs profondeurs d’une famille d’Hypoblokus et Anakhonda, seuls rescapés d’animaux antédiluviens.

L’auteur vous propose, avec cet ensemble de photos de partager en sa compagnie la totalité de son parcours quotidien.

Vues de ses arbres, génies, fantômes et ombres illustrant son ouvrage annexe « A l’Ombre de l’Anakhonda », y compris l’ensemble des vingt quatre personnages du Cercle.

A la différence de nombre de gens croisés en cours de route, coureurs, les yeux rivés sur leur chronomètre, amoureux, les leurs plongés entre eux, couples tout à leurs babillages, promeneurs de chiens, à l’affût de leurs possibles crottes, solitaires en contemplations de leurs chaussures, ne sachant se lasser de tout ce qu’il côtoie et sans cesse redécouvre comme découvre partout autours de lui; capable, au sujet de n’importe quel arbre pris au hasard, de préciser, à la feuille près, d’un jour à l’autre, combien il en a de plus, au printemps comme en moins, à l’automne!

Arbres, fantômes et ombres avec lesquels il dialogue familièrement…

 

Vous invitant, si le coeur vous en dit, à vous mêler à leurs conversations!