aux ressacs, écumes ourlant quelque anonyme plage,
sans un mode d’emploi;
objet dont fut, juste trouvé, perdu le coutumier usage?
Ou simple point, tiret,grossi, grossier de suspension … virgule ?
Voire plus résolument final, enfin d’une si longue histoire
qu’elle n’en comporte pourtant … point?
Oeil ouvert,
à défaut de grenouille, dit de veuf,
ignorant le présent, au plus large sur de flous, impalpables futurs,
au travers, froid, duquel, sa rétine glacée, le passé nous épie…
d’entre deux pans de tulle aux tons fanés, pastel que l’enfant tient fendus;
égarée, seule toute, hors de temps distendus?
Sans fin, spirale dénouant ses méandres fusés
de dissolus néants aux ressacs frangés en fuyants infinis?
Par cette liturgie de l’écriture, acquis sans même ne l’avoir voulu vraiment,
quêté le mythique passage au-delà de miroir dont maintenant s’écaille mais pour d’autres le tain?
Déjà n’ayant d’eux tous plus que verbe froidi fleurant à sa surface, étiolé nénuphar
de parade funèbre, à leurs reflets, fondue ?
… Evasions vers ces champs, labyrinthes ouverts aux fumets de labours, à cent, voire mille voix, offerts, gisants sous la pelisse tissée de tant et plus épis vermeils?
Issue d’un parmi les rêves de l’auteur, se distinguant de ceux habituels d’une part de par la netteté des vues et surtout par son côté répétitif, cela toutes les nuits durant à peu près un mois et demi.
Rêve consistant en une maison qu’il sait habitée de vingt quatre personnages mais indécelable, pour l’instant.
Maison qu’il découvre, de l’extérieur comme à son intérieur, qu’il sait vivante, présente sous des formes diverses, tantôt simple cabane de bûcherons, charbonniers ou refuge de chasseurs ; caravane, roulotte, studio d’une seule pièce, petite maison de campagne ; dont les pièces se multiplient ; résidence, hôtel, luxueuse villa, domaine de maîtres, petit comme enfin gigantesque château…
On pourra certes lui rétorquer, avec tous ces lieux différents d’habitation, qu’il ne s’agit du même rêve ?
Non, parce que ce rêveur sait qu’il s’agit toujours, quoique sous ses formes diverses, la même et unique.
Vécue par lui tout d’abord assez vague, diffuse, telle qu’en des rêves ordinaire ; dont les images cependant se précisent jusque à devenir pratiquement, dans leur netteté, tout comme réelles.
A un point tel que juste sorti de l’un d’eux, ce rêveur bien éveillé s’empare de ses crayons, fusains, pinceaux, encres de chine, pour le matérialiser sur papier.
Maison présente sous la formes de vagues hangars montés sur pilotis, sur la façade de l’un d’eux, une haute échelle appliquée, dépassant son toit ; situés en bordure d’un vaste étang marécageux ; avec, pour la première fois, un personnage féminin pour l’instant non identifié, hôte qu’il sait cependant, avec les vingt trois autres, de ces lieux.
Encre qu’il met sous cadre et accroche à un mur de sa demeure.
Au matin suivant, réalisant que son rêve à disparu ; il l’ignore encore, mais de façon définitive.
Son ouvrage à venir, intitulé le Cercle, venait de voir le jour !
Pinceaux et fusains abandonné pour s’emparer de sa plume, à la suite du titre, pour en rédiger les toutes premières lignes…
C’est bien plus tard, à la découverte et lecture de C.G Jung, que le rêve d’une maison s’apparentait à son propre soi intérieur.
L’auteur vous ouvre la porte de son atelier actuel, situé dans les sous-sols de sa villa d’Aproz.
A l’inverse des photos proposées, certaines peut-être en ayant quelques traces, désormais son contenu partiellement recouvert de poussière et toiles d’araignées ; tissus paradis des mites !
Puisque, peu après le transfert de tout ou presque ce qu’il enferme dans son site, condamné, en sa compagnie, à disparaître.
On peut y découvrir encore, au passage, de simples objets, tous en relation avec le vécu de l’auteur, des toiles d’ancêtres et surtout deux ou trois de son petit frère Jérôme, quoique de trois ans plus jeune, considéré par lui comme jumeau, tant leurs liens étaient forts. Malheureusement disparu, le laissant tout comme orphelin.
Non visibles, les liens qui se sont progressivement matérialisés entre tous ces objets, chacun disposé à sa place millimétriquement définie et composant ainsi un tout indissociable.
On comprendra par là qu’aucun de ces objets n’est susceptible d’être extrait de ce tout, comme on lui à parfois suggéré la chose, pour se voir éventuellement exposé en dehors de son cadre.
Tout comme aucun d’entre eux, et cela à n’importe quel prix, n’est à vendre.
Non visibles, eux, selon leur statut, les fantômes, ombres, esprits qui l’habitent. A chacune de ses visites, auteur qui ne manque jamais, à la porte de ce dernier, après un signe cabalistique opéré sur les lettres ornant sa porte, de frapper trois coups à l’aide du heurtoir disposé sur elle pour les avertir de son entrée; ainsi priés d’avoir à se retirer pour le laisser travailler; un autre signe, opposé au premier, suivi des mêmes trois coups pour leur certifier son départ, leur signifier par là qu’ils peuvent regagner à nouveau leurs pénates.
Biographie de l’auteur. Ouvrage issu du Pérégrin, c’est à dire, ne faisant pas partie des vingt quatre ouvrages du KHA-KAH.
Le tout premier d’entre eux retravaillé par lui de façon, dans la mesure de son possible, à pouvoir être lu.
Ouvrage donc à la disposition de potentiels intéressés par sa lecture dont l’auteur met à leur disposition un extrait de manière à leur permettre de se faire une vague idée de son contenu.
Qu’il est donc possible à ces intéressés de s’en procurer un exemplaire, en l’occurrence, de 133 pages, ceci pour la modique somme équivalant au papier, l’encre, les agrafes et le port nécessaires à sa confection et son envoi.
Comme le sujet l’indique, ouvrage relatant la vie de l’auteur, de sa naissance jusque à l’heure où il rédige ces lignes.
Extrait de Bio:
Heel vint au monde en un après midi plus ou moins ensoleillé, aux pieds de l’un des murs d’enceinte du médiéval hautant que féodal et ancestral château-fort, à l’âge de six ans.
: – Faux!
Tonne Leuh, éminent comme unique chroniqueur-historien de la cour;
: – Et ce à double litres; conçu aux pieds des murs, certes, mais eux plus raisonnablement de la maison familiale, alors de trois étages, mais n’équivalant en rien aux dimensions de ce monumental, pour ne préventivement le décrire, gidantesque château que ses yeux d’enfant comme son imagination déjà délirante, sinon un esprit déjà quelque peu dérangé dès sa prime naissance lui font découvrir!
Son non moins éminent collègue en ce genre de matière, Tohn, puisque il ne peut s’agir, mais bien sûr que de lui, peintre hautement attitré de cette même cour, plutôt que de détruire cette litigieuse toile, pouvant, qui sait servir plus tard, après l’avoir rangé, en dispose une vierge;
deux personnages aussi incontournables que essentiels, appelés à ponctuellement intervenir, en tant encore que réviseurs des contes, légendes, fables et tous autres écrits futurs de cet enfant prolixe, à défaut de prodige;
: – Allons-y donc pour une plus commune maison familiale!
Mais qu’en est-il de la deuxième erreur, vénérable chroniqueur emplumé et néanmoins collègue, aux fins qu’elle ne se répéta sous mes présents pinceaux?
: – Sept!
: – Pardon?
: – Marmot, voire plus insigne pote âgé de sept, comme je viens de pourtant clairement le sommer, et non six ans, toujours lorsqu’il naquit!
: – Et si moi je maintiens, peu enclin cette fois d’aussi facilement céder sur ce second point, fort proche de le peindre, le six initialement mentionné?!
C’est après un fort bref laps de temps, étant donné la virtuosité tout aussi picturale que épistolaire de ces deux chroniqueurs patentés, cependant précédé d’une conséquente algarade pugilistique finalement conclue par un accord de principe que le récit reprend enfin ses droits de tout de même condescendant auteur.
Heel vint donc finalement ou presque au monde par cet identique après midi, compte tenu de ce débat, quelque peu mieux affirmativement ensoleillé, aux pieds des murs de la maison familiale, à l’âge de six ans… et quelque; accroupi aux abords d’une étroite plate bande de terre et de cailloux délimitée par des pierres de plus grande taille additionnées entre elles pour en contenir l’espace; parmi les conventionnels piaillements d’oiseaux éparts aux alentours.
Quoique tout à ses jeux, cailloux amalgamés pour former une foule de dames en hennin, chevaliers, pages comme reîtres et gueux, en un champs ainsi naturellement clos, attentif à suivre les guerroyeux ébats de deux autres d’entre eux, en l’occurrence, d’un insulteur et de son insulté occupés à en découdre par le biais ne sachant être pour bientôt que capitalement sanglant du jugement de Dieu, en vigueur en ces temps, selon ses enfantines vues, d’antique moyen-âge.
Ainsi, en aucune façon perturbé par les cris eux contemporains de cette gent volatile ayant redoublé pourtant de vigueur. Sinon juste à l’instant aussi abrupt que précis où ce vacarme prend fin, faisant place à un silence, il est vrai, pratiquement, de ce fait, quasi assourdissant. Ainsi alerté tout d’abord par lui; ensuite, bien au-dessus de sa tête que Heel redresse, par le grincement d’un volet que l’on ferme, au premier étage, presque aussitôt suivi du second;
bientôt tous deux hermétiquement clos;
: – Ils sont fous, ces adultes, là-haut!
Comme étranges, pour avoir, et ce depuis très tôt le matin, envahi inexplicablement la maison, en pleine anonyme semaine, toutes tantes et oncles, rendant une visite inopinée à ses grands parents;
hors ainsi du calendrier conventionnel des fêtes et anniversaires.
: – Clore ainsi ces volets, plutôt qu’au soir! Pour dormir, au beau milieux de cet après midi!
Réflexion faite, aussitôt le constat établi, les chants ayant finalement repris leur cours habituel, de retour à son monde, à ses yeux, combien plus raisonnable, et cela juste à temps, ponctué par les cris de la foule en délire, de retour pour assister à la mise à mort aussi foudroyante que définitive de l’insulté sous l’épée du sauvage insulteur.
: – Il n’y a pas de justice!? Eh bien, ma fois, tant pis pour eux, c’est comme ça!
Ayant, quoique à regrets, repris pieds en ce monde pourtant si terne des adultes, au soir, pour apprendre, tous autres volets clos à leur tour, mais là selon les usages en cours, conduit jusque à la chambre de son grand père, étrangement juste éclairée de chandelles;
: – Ton grand papa s’est endormi!
Et puis alors? N’allait Heel pas, sous peu, en faire autant? Pourquoi en faire un tel plat?! Sinon pour s’inquiéter plutôt de sa mauvaise mine, un teint blafard pratiquement de cire.
Perplexe de le retrouver plus tard, cloisonné en une caisse, sans doute pour une prévisible et indispensable réfection, puis expédié mais avec l’incroyable omission de toute adresse.
: – Ils sont fous, plus que jamais, ces adultes!
Ce n’est que vivement plus tard que cet Heel comprit que pour la toute première fois, en ce qui le concerne, le Cercle dont il allait progressivement prendre conscience s’était alors refermé; la fin de son grand père confondue à sa juste naissance.
C’est cette fois Tohn qui intervient, après avoir revu sa toile en cours comme parcouru, pour s’en assurer, les lignes de son tout aussi pourtant éminent collègue;
: – Mais enfin, réflexions faites, cela n’a pas de sens!
: – Quoi donc, encore, tronqueur de poil en quatre?
: – On ne saurait naître ainsi, raisonnablement, à l’âge de six ans!
: – et quelque! Tiens-je à te le rappeler!
: – Pas davantage, fusse tranchant la prune en deux, à six ans et … ce quelque, ne faisant qu’amplifier d’autant l’invraisemblable de la chose!.
Ce pauvre peintre, pourrait le contrer Heel, sinon mieux éclairer sa par si, avec lui tout entier, flageolante lanterne, ignorant que bien de ses comparses, lui peut-être avec eux, passent leur vie entière, sinon jusque trépassent sans être jamais vraiment nés.
Il est vrai, cependant, ne pouvant que le reconnaître, que voici quelque six ans, leur et quelque, plus tôt, précédant ainsi sa présente naissance, Heel garde le souvenir toujours intact, en tant que tout premier, à la place de ces gazouillis de tantôt, du sourd et lancinant bourdonnement d’autres oiseaux mais alors métalliques survolant son berceau parfois durant des heures pour s’en aller déverser leurs lots de mort aussi violente que tonnante en des terres pratiquement voisines.
: – Détail certes des plus intéressant, ne pouvant que suggérer, remonté ainsi dans le temps, selon mes notes infiniment chronologiques, qu’à un 17 alors janvier 41, en pleine guerre secondement planétaire!
S’auto interpelle Leuh à grand renfort de plume quoique lisiblement perplexe;
: – Erreur, iconoclaste chroniqueur pris en flagrant délire! A gras coups de spatule, le contre Tohn, une fois de plus;
Affirme moi le 16, certes du même mois d’une identique année!
: – Sa propre mère, on ne peut plus directement impliquée, il me sangle, confirme le 17!
: – Un non moins péremptoire et tout puissant, quant à lui, hautant que omnipotent état civil, le fait dûment gravé et paraphé en ses tabelles, incontroversables archives que tu te fus dû de préalablement consulter, pour la révision tant enfin de tes vues erronées, décrète fort le 16!
Une fois de plus, ainsi, à la suite de bien des palabres accompagnées de contondantes jusque voies de faits, le 16 et demi se trouve adopté, à l’unanimité des deux parties. Apparemment parfaite entente mais qui ne devait point durer, sinon l’espace toutefois de quelques années aussi suivantes que fuyantes, cet Heel en assumant la charge, c’est à mieux le découvrir alors âgé d’autant de plus, autrement découvert, allant sur ses sept ans;
: – huit!
Tonne aussitôt un fort impétueux Tohn aux malheureux endroits de son scriptural confrère;
: – Sept et des poussières, que je vous concède, à tous deux pour mettre ainsi un terme enfin à vos sempiternelles chamailleries à ce sujet, toutefois quelque peu conséquentes!
Décrète Heel, cette fois, des plus intransigeant sur la question puisque on ne peut plus directement concerné; quoique un fort bref instant, détourné de ses pourtant combien plus essentielles occupations; sommation, et pour cause, aussitôt adoptée par ces deux antagonistes proches une fois de pis d’en venir aux coups, y compris les plus bas, sinon mais jusque meurtriers; promptement de retour à ce qui ne peut être à ses yeux comme esprit que essentiel, sinon jusque vital puisque en rapport avec l’extrême survie de ce malheureux insulté d’un antique combat en champs clos, plus que toujours présent; simplement, les cailloux du passé ayant fait place désormais à de plus perceptibles et vraisemblables personnages patiemment et minutieusement réalisés en pâte à modeler; champs clos qui ne l’est plus, cependant, auparavant constitué d’une foule ivre de carnage et savourant déjà la mise à mort de ce malheureux insulté;
dès maintenant très violemment démantelée par les troupes de fort preux chevaliers du roy s’en venues séparer les deux belligérants, extirpant ainsi de justesse des griffes, serres, crocs comme tous aciers de l’un les restes tuméfiés et divers jusque découpés de l’autre; pour ensuite les contraindre tous deux, tout étant bien qui finit mieux encore, à défaut de baiser, qui sait, mais qui pourrait s’ensuivre, en guise enfin de paix, à une fort fraternelle accolade quoique symbolique, tous deux, leurs bras malencontreusement tronqués en cours de pugilat.
Aux applaudissements nourris tout à la fois de cette foule reconvertie, certes par la force des choses, ainsi conviviale à ravir comme de l’ensemble de ses cousines et cousins, grand comme petit frère et soeur venus le regarder, pour eux tous, ce qu’ils appellent jouer.
Répandus tout autours du vaste établi bien heureusement débarrassé de tous les cageots à légumes et fruits, outils de jardinage dont ce défunt grand père n’a plus désormais l’usage; ayant, au fil de tant de jours et mois passés dans ce local ainsi libéré, fait place maintenant à de vastes horizons de collines, vallons ainsi que plaines, rivières et jusque sources, parsemés de châteaux; celui, entre autres, de ce bon roy Louis ou Philémon, Heel s’étant égaré en cours de telles complexes dynasties, comme ce divers, rôle tenu par un forcené futur ou potentiel usurpateur; encore leurs dépendances et autres bourgs;
que parcourent, où se côtoient comme s’affrontent d’autres troupes en armes et atours de parade, à d’aussi complexes, sinon jusque gratuits sujets; lances, bannières, épées, fracasse occiput comme tous autres membres farouchement brandis; foules encore de serfs, reîtres et autres gueux, gentes dames de la cour, en toques et hennins, ennoblis de tous bords, pucelles et autres rougissants jouvenceaux; joints comme de bien entendu par toutes gens animales et jusque végétales.
Heel ainsi déjà tout de retour en son monde, en stratège averti, occupé exclusivement à disposer de façon on ne peut mieux stratégique les armées de ce bon roy régnant, une fois de plus opposées face à celles de ce vil intrigant, sournois plus que jamais en voie et vue d’usurpation.
Et c’est alors une toute jeune enfant, compte tenu de celui de cet Heel, âgée de tout juste six mois,
: – Cinq deux tiers!
Tente de trancher, parmi nombre de membres des ces fort acharnés belligérants, l’un des deux chroniqueurs; pour finalement biaiser, quoique à lourd contre coeur, aux hurlements de l’autre;
: – Va pour cinq trois quarts!
Le compte se trouvant finalement conclu, enfant qui se détache du groupe des spectateurs présents, fermement décidée à intervenir à son tour, mais elle aux endroit de cet assidu rêveur;
: – A la place de tes parents, vraiment je ne comprends qu’ils ne se manifestent enfin pour t’arracher fusse de vives forces à un tel monde virtuel, ayant acquis de pareilles vigueurs ne pouvant être que malsaines;
Heel, intensément surpris, qui se retourne vers elle;
: – Qui es-tu donc, enfant, pour me parler de la sorte? Ce d’autant que dotée d’un âge qui ne devrait logiquement te permettre que de tout juste balbutiants arreux comme autres zozotant borborygmes!
: – On me prénomme, pour l’instant, en effet, toute incapable de le faire par moi-même, Anne-Marie! Quoique me préférant, pour bientôt, Anouchka, ou si tu le préfères, tout simplement Anou!
Toi-même, en tant que Heel, mais plus tardivement encore, au cours de notre vie prochainement commune, comme celui de tes tout aussi futurs écrits, appelé à me nommer Aele!
: – Eh bien, ma petite Aele, reproche que je puis retourner à tes propres endroits pour n’avoir point agi de même, en ces futurs instants ; c’est à dire extirper de son monde, d’autres caves et sous sols à suivre, assurément promis, ce rêveur que je suis; aux besoins, n’avoir su, ce jusque à coups de bottes dans le train, le propulser enfin à la vie que se doit le commun des mortels!
Et c’est aussitôt, sans attendre de suivante réplique, cette enfant disparue, puisque issue d’un futur, comme lui de retour au présent, que Heel accède à nouveau sans le moindre remord à ce monde du rêve, seul essentiel, à ses yeux.
L’auteur propose ici des vues de son défunt atelier du Rawyl (photos extraites de son film Psalma) et d’Aproz.
A la différence de celui d’Aproz, appelé à le suivre bientôt lui aussi, entièrement disparu. Ce qui explique en partie le côté flou des ces reproductions.
Tout comme pour le second, non visibles pour tout autres que l’auteur qui y travaillait dans sa jeunesse, les fantômes, ombres, esprits qui l’habitaient.
Leur côté répétitif inspiré lui du film intitulé Psalma, visible dans le site sous les rubriques vidéo-film, oeuvre poétique de l’auteur dont l’écriture est constituée d’identique façon.
Tout comme pour le second, non visibles pour tout autres que l’auteur qui y travaillait dans sa jeunesse, les fantômes, ombres, esprits qui l’habitaient.