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Auto-Buste Rhynocéphal: Photo:

Auto-Buste Rhynocéphal:

Faisant partie des trois autres Auto-Bustes représentant une Sculpture en bois de l’auteur, sous forme de portrait.

Celui-ci composé d’un seul bois dont l’origine lui est inconnue;

bois sans aucune retouche pratiquée par lui; inspiré des animaux mythiques de l’auteur, découverts au cours de ses pérégrinations quotidiennes sur ses terres Anastasiennes, tels que l’Hypoblokus femelle comme mâle, l’Anakhonda .

Ici non encore baptisé:

La Plage: Photo:

La Plage :

Photo évoquant, et cela avec une force qu’aucune autre ne parvient à atteindre, le tout premier jour de la vie réelle de l’auteur; le propulsant dans le monde des humains!

Très précisément l’après midi d’un sept Janvier! Aele et Heel goûtant aux quelques jours de vacances, dans le prolongement des fêtes de Noël et nouvel an.

Il y avait peu de temps qu’Heel avait rencontré Aele, prénommée alors Anouchka!

Ce jour là, dans l’après midi, le mettant à profit pour faire une longue ballade; tous deux, marchant côte à côte, bras ballant, en suivant le chemin forestier longeant ce qui n’était encore, pour ces instants d’alors le grand fleuve Anastase qu’il est maintenant devenu mais tout communément le Rhône.

Promenade qui prenait de plus en plus d’ampleur, au fils de leurs pas; partis de la ville de Sion pour se diriger vers; Aproz… Du fait des hésitations, atermoiements de cet Heel éperdu, quêtant cet instant où il allait se décider enfin et se lancer;

: – Je t’aime!

Pris par un trac comme jamais vécu, jusque là, repoussant cet instant… reporté au pas suivant… suivi par celui d’après,… encore le suivant…

Et c’est seulement, alors proche d’atteindre ce village, qu’ils dévalent tous deux un petit raidillon pour atteindre directement la rive de ce fleuve; franchis, les gros blocs massifs de pierres en constituant les berges pour parvenir à une longue et étroite lagune de sable fin, lentement la longer; bientôt incapables de faire un pas de plus, bloqués par le courant, bruissantes vagues, remous et tourbillon; et c’est ainsi, finalement acculé, que cet Heel tremblant ne parvient mais alors qu’à bafouiller;

: – Je t’aime!

Abasourdi d’entendre cette irréelle Anouchka d’alors lui répondre;

: – Mais moi aussi, je t’aime!

Dernier Repas: Photo:

Dernier repas:

Se limitant à un simple pâté gélatineux et, désormais, un verre d’eau! Comme de bien entendu, qui fut pris, au lendemain de sa partie particulière de roulette russe, dans son appartement sous les combles du Rawyl 15! Précédant son départ matinal pour l’abbaye de Solème, dans l’intention de se faire moine Bénédictin!

Sa lettre de démission préalablement envoyée, au directeur de l’Ecole Normale des instituteurs à Sion, tout juste une nouvelle année scolaire commencée! L’auteur incapable de réprimer un sourire, avec maintenant le recul des années, au souvenir non pas de la totalité de son contenu, mais celui de sa conclusion d’alors, pris dans un total délire mystique!

« Que les morts enterrent leurs morts ! » Navré de n’avoir pu voir alors la tête du directeur de cette école en parcourant ces lignes! La clé de son appartement déposée dans sa boîte aux lettres.

Son petit frère quasi jumeau Jérôme, ne l’ayant trouvée, entré à l’intérieur de cet appartement par le toit, puis descendu sur le petit balcon érigé sur sa façade; conscient de la vie complètement dissolue de son frère, puisque l’ayant partagée! Persuadé qu’il s’était donné la mort.

Celui-ci, faisant un arrêt à Lausanne, pour retrouver des amis proches et, bien entendu, son maître de piano Luguet, bien sûr, pour leur faire ses adieux, alors se voulant définitifs!

En fait, mis au bénéfice d’une année sabbatique par le Département de l’Instruction Publique de Sion; conscient que cette démission n’était due qu’à une forme particulière de dépression; en effet, ces intentions abandonnées, à la fin de cette année, de retour enfin pour la reprise de ses cours à l’Ecole Normale comme à la celle de ses études musicales. Finalement parvenues à terme, pour l’obtention de son diplôme de piano, peu après sa rencontre avec Anou.

Adieux à son appartement du Rawyl 15:

Echec: Photo:

Echec :

Tout d’abord, lorsqu’Heel évoque ce terme, la première chose qui se manifeste à son esprit, c’est sous la forme d’une composition du Maître et Père de la musique le Cantor de Leipzig Jean-Sébastien Bach; c’est à dire, ou plutôt, en l’occurrence à entendre, le Concerto Italien!

Contre lequel ses doigts sont venus toujours buter. Frappé déjà par la complexité de cette œuvre, de la richesse et amplitude de son contre-point!

: – A tout le moins, il me faudrait quatre mains pour parvenir à l’exécuter et l’interpréter de façon tout juste satisfaisante à mon oreille!

: – Et pourtant, je ne veux pas prétendre, toutefois qu’il est facile, certes, mais tout de même abordable et exécutable!

Le contre un ami et collègue pianiste.

: – Eh bien, sachez que, pour moi, il représente la même difficulté que d’entreprendre l’ascension d’une montagne quasi himalayenne! En tenant compte encore du vertige que j’ai toujours éprouvé, ne serait-ce qu’à franchir le tout premier échelon d’une échelle! Tout aussi bien qu’un simple escabeau!

Echec, ici, encore de tout ce qu’il a entrepris jusque ici, résultat d’une vie complètement déjantée, hors presque tout à fait de toutes normes, qu’Heel définit en tant, alors, que Rimbausienne; allant le conduire, d’ici à peine quelques heures, à cette partie de roulette russe, elle encore particulière, son arme, pour y jouer, chargée de deux balles au lieu, communément, d’une seule!

Heel et ce Concerto Italien:

Les Cris de la Ville: Théâtre:

Leveilleur; : – Il fait plus que tout jour des plus très intensément tout hautant nocturne, dormeuses et dormeurs de tous quartiers… Poursuivez donc en choeur ainsi mixte à gravir, gisantes et mornes gens, la somme de vos sommes; tout aussi dru que vos jusque ici fort audibles ronflements, très bruyamment, vous le sommant!

Leguet;  (assez plus tard) : – Il est l’heure, toutes gens, passées et trépassées, toutes heures vouées à vos sommeils, de secouer vos puces et autres ingrédients! Extripées jusque de vos songes et draps! Ainsi que carillons de cloches de surpoids, appuyant mes propos, il est temps, prestement là de vous mettre enfin en branle!

Leguet; (encore un peu plus tard) : – Il est l’heure, vous le sommes-je, je ne le hurlerai deux fois, de vous magner le frein! Là tout hautant à pognes, bras nivelles qu’à pieds!

Leguet; : – Il est l’heure, sottes gens, de vous mettre à la mienne, aussi dru qu’à mon pas! 

Letrouvaire; : – Oh yeh! Oyez donc! Oyez toutes, et toussent! Fort vrayment vous le clame-je! Oyez m’en, et de toutes les saveurs!

Letrouvaire; : – Dites-moy, bonnes gens, pour, d’un oiseau, le chant, plinge, randon, poisteau, courcelets d’une caille, estelier, landerelle… Mais qu’emporte lequel! Pour l’abois d’un perdreau, comme aux faims d’en esclore le clapet, vous falloit-il vrayment t’ainsi tant vous y mestre? Sottes gens, en pareille hurleries, autres si rougeoyeux estats?

Letrouvaire; : – Lyvrer sus que bastailles, carnassiers pugilats, aux prix et jusque crics d’estocs pis que taille! A vous fêler la voix des talions au geysier, torves gens, dytes-moa?!

Leguet; : – Il se pourrait bien être aux environs de dix neuf heurts et puis quelques soupières d’identique brouet! Ainsi donc, à vos auges, de par telles normes gens, ainsi, la clause allant de soy, vos adéquats couverts!

Letrouvaire; : – Oyez, hauts niais, oh Yeh! Ainsy que gentes dames, plus quelconques biaux sires, gens de villes et bouges, de prêches comme d’armes, jouvencelles, puciaux!

Letrouvaire; : – En vers et contre trous, proses plus andines, communes, oyez donc, oh yeh tous, si vibrement, je vous en crie, défiant toutes doses se voulant subversive, plus que tout, oyez m’en! Ainsi redites-le me donc, toutes sortes de gens, pour d’un oiseau le chant, vous faudrait-il extraire de sus pareils boucans?! Prestant plutôt l’oreille si mieux lors préférablement à l’agreste comptine que je vous sert, au trot! De deux voix tout le drame truffé de bien des maux, peines, joies, amours folles, que je m’appreste à vous servir; l’une estoit de Larousse, plantureuse poissarde; aussi grinche que louche estant celle de Ledroy; plus chétif que barde, dont on chaume tous toits;

Letrouvaire; : – voix qui force l’ouïe jusque la pis rétive, à fendre ses poissons, tant celle de l’adverse à vanter ses oublies; de l’une, l’autre esprise, tout comme le contraire là le plus réciproque!  A en perdre oraison, ses moyens et chemise, jusque à l’ultime caleçon!

Leguet; : – Foin de par tels dévergondages tout ôtant auditifs que par tels libertins! Il est fort d’avantage encore que les vingt trois heures lassées, leur plus ample demi, que vous supputez croire… Sinon juste estimez! Ainsi donc, reposez, en un silence aussi compact que global, par si distraites et fourvoyeuses gens ! Tandis que le guet veille, tout aussi vostre que vous choie!

Leguet; : – Ils sont, de vingt et quatre, quoique comprenne qui voudra, les douze coups sommés, fort autant que battus tout aussi mieux qu’en beige; aux bons soins, mais bien dur, de votre inaltérable guet, tant et sus, par vos soins, à dorer;

Leguet; : – De la nuit toute altière, y inclus son mitant; de son aube au déclin, faites ce qu’il vous sied, convenant aux amants, comme gisant au pieu; ce jusque à coins ferrés… Mais n’insultez de sus ce guet qui vous chérit comme berce vos songes combien mieux que les chiens;

Leguet; : – Il et une heure moins trois d’entre toutes ces elles… Si ce choix vous convient, sommes de gens en quête! Malgré un vent vorace, et froid qui tord et glace, que ça vous plaise ou point, votre guet serviteur, sous l’ondée de surpoids qui tant et sus menace de faire choir un mercure aux tréfonds d’un zéro, de combien dissolu! Mais point n’en ayez cure, en vos gras et dreudons, si moites quiétudes, puisque c’est lui qui l’endure! Paissez et croassez molles et ternes gens! Nantis de tous outils adéquats érigés à ces faims éternelles! Votre guet de tous jours et par telles autres nuits,avec tous autres zestes, se gèle, pour vous, seul, le sien!

Leguet ; : – Il est deux heure et plus, voire d’avantage encore, que pleut, croyez moa, tonnent, gens, fort plus haut que tous cieux! Ne, sachant déverser sur vos toits, comme aussi pis que moi leurs vénales rancoeurs!

Coulissun; : – De ton heure,

Coulistroi; : – On s’en fout le pourtour, tout ôtant que global!

Coulissink; : – Maudit guet!

Coulissix; : – On s’en beurre

Coulissept; : – Les nougats,

Coulisquatre; : – Triste drôle,

Coulisept; : – A la peau,

Couillhuit; : – De nos tresses!

Coulisdeux; : – Mais pardiou,

Coulissinc; : – Clos nous donc,

Coulissun; : – Tant en faim,

Coulisneuf; : – Et cela sans larder,

Coulissette;  : – Ce clapet!

Laigrefoin; : – J’ai pour vous, quant à moa, l’aigre vin, que je vais vous servir, foin de lait comme d’os, ce tantôt si matin! Sinon tous élixirs de mon très propre choix; à plonger l’insomniaque jusque sus endurci, en somme de tel plomb; mieux que coup de patraque, que quasi le dernier;

Laigrefoin; : – Mehhh plutôt qu’oh de pluie, à rincer vos gésiers, jetez vous donc au mieux, et ce jusque en dévers de noueuses savate, ces par tels os de vie!

Clocheteur; : – Malborough nous est mort!

Clocheteur; : – Et las tout que de rire! Très fort on peut m’en croire;

Leclameur; : – Vive Jehane, la plus elle;

Clocheteur; : – Carbonisée telle, à son four!

Leguet; : – C’est quatre heure, connes gens, fort tout rond! Sinon cinq de surpoids, soustractives de trois? Que je divise par ôtant;  vous laissant lors le choix d’en extirper en fin le plus invraisemblable alors de tous les résultats!

Leguet; : – Et puis il est six ou bien sept… Ne voudrais cependant en jurer?!

Leveilleur; : – Il fait plus que tout jour des plus très intensément tout hautant nocturne, dormeuses et dormeurs de tous quartiers… Poursuivez donc en choeur, gisantes et mornes gens, la somme de vos sommes; tout aussi dru que vos jusque ici fort audibles ronflements, très bruyamment, vous le sommant !

Leguet; (plus tard) : – Il est l’heure, toutes gens, passées et trépassées, toutes heures vouées à vos sommeils, de secouer vos puces et autres ingrédients ! Extripées de vos jusque de vos songes et draps! Ainsi que carillons de cloches de surpoids, appuyant mes propos, il est temps, prestement là de vous mettre enfin en branle!

Letrouvaire; : – Dites-moy, bonnes gens, pour, d’un oiseau, le chant, plinge, randon, poisteau, courcelets d’une caille, estelier, landerelle… Mais qu’emporte lequel! Pour l’abois d’un perdreau, comme aux faims d’en esclore le clapet, vous falloit-il vrayment t’ainsi tant vous y mestre? Sottes gens, en pareille hurleries; autres si rougeoyeux estats?

Letrouvaire; : – Lyvrer sus que bastailles, carnassiers pugilats, aux prix et jusque crics d’estocs pis que taille! A vous fêler la voix des talions au geysier; torves gens, dytes-moa?!

Leguet; : – Il se pourrait bien être aux environs de dix neuf heurts et puis quelques soupières d’identique brouet! Ainsi donc, à vos auges, de par telles normes gens, ainsi, la clause allant de soy, vos adéquats couverts!

Letrouvaire; : – Oyez, hauts niais, oh Yeh! Ainsy que gentes dames, plus quelconques biaux sires, gens de villes et bouges, de prêches comme d’armes, jouvencelles, puciaux!

Letrouvaire; : – En vers et contre trous, proses plus andines, comme ôtant que communes; oyez donc, oh yeh tous, si vibrement je vous en crie; défiant toutes doses se voulant subversive, plus que tout; oyez m’en! Ainsi redites-le me donc, toutes sortes de gens!  Pour d’un oiseau le chant, vous faudrait-il extraire tout hautant que produire de sus pareils boucans?! Prestant plutôt l’oreille, si mieux lors préférablement à l’agreste comptine que je vous sert, au trot; de deux voix tout le drame truffé de bien des maux, peines, joies, amours folles, que je m’appreste à vous servir; l’une estoit de Larousse, plantureuse poissarde; aussi grinche que louche, estant celle de Ledroy, plus chétif que barde dont on chaume tous toits;

Letrouvaire; : – Voix qui force l’ouïe jusque la pis rétive, à fendre ses poissons; tant celle de l’adverse à vanter ses oublies; de l’une, l’autre esprise; tout comme le contraire là le plus réciproque; à en perdre oraison, ses moyens et chemise, jusque à l’ultime caleçon!

Leguet; : – Foin de par tels dévergondages tout ôtant auditifs que par tels libertins! Il est fort d’avantage encore que les vingt trois heures lassées, leur plus ample demi que vous supputez croire… Sinon juste estimez! Ainsi donc, reposez, en un silence aussi compact que global, par si distraites et fourvoyeuses gens ! Tandis que le guet veille, tout aussi vostre, que vous choie!

Leguet; : – Ils sont, de vingt et quatre; quoique comprenne qui voudra, les douze coups sommés, fort autant que battus tout aussi mieux qu’en beige; aux bons soins, mais bien dur, de votre inaltérable guet, tant et sus, par vos soins, à dorer;

Leguet; : – De la nuit toute altière, y inclus son mitant; de son aube au déclin,jusque de toute vie, faites ce qu’il vous sied; convenant aux amants, comme gisant au pieu; ce jusque à coins ferrés! Mais n’insultez de sus ce guet qui vous chérit; comme berce vos songes combien mieux que les chiens;

Leguet; : – Il et une heure moins trois d’entre toutes ces elles; si ce choix vous convient, sommes de gens en quête! Malgré un vent vorace, et froid qui tord et glace; que ça vous plaise ou point, votre guet serviteur, sous l’ondée de surpoids qui tant et sus menace de faire choir un mercure aux tréfonds du zéro, de combien dissolu! Mais point n’en ayez cure, en vos gras et dodus dreudons, telles moites quiétudes; puisque c’est lui qui l’endure! Paissez et croassez, en choeur de telles paradisiaques voix, molles et ternes gens! Nantis de tous outils adéquats, érigés à ces faims éternelles! Votre guet de tous jours et par telles autres nuits, avec tous autres zestes à survenir encore, se gèle, quasi le plus global de sa totalité!

Coulissette:  Acte I: