Sculpture-Mobile intitulée tout simplement Bédé ; évoquant, dans son ensemble un hiéroglyphe de l’Egypte des Pharaons.Un âge qui a longtemps et continue à fasciner l’auteur, de part les dynasties qui l’on marqué et leurs mystères; une bonne part d’entre eux toujours d’actualité…
Ouvrage réalisée dans le cadre de mes cours prodigués à l’Ecole Normale à Sion.
Représentant un tableau complet de toutes les tonalités utilisée en musique.
Ensemble d’autant de notes qu’elles comportent, en cubes de bois gravés puis peints de couleurs de peinture pour bois; y compris, pour chacune d’entre elles, le nombre de dièses ou bémol, notes naturelles, qui les caractérise, sur les entoures extérieur du cadre les contenant.
Celui-ci de bois composé d’alvéoles, entièrement réalisé lui aussi par l’auteur.
Les notes naturelles représentées en vert, diésées, en jaune, double-dièsées en rouge, bémolisées, en bleu, double-bémolisées, en violet.
Tableau disposé alors sur son piano d’enseignement; offert à la vue de ses élèves, et leur facilitant ainsi la tâche, lors d’improvisations exécutées au clavier, comportant des variations de tonalités.
Sculpture-Mobile présentées ici, dans son atelier de KHA-KAH, puisque désormais sans fonction, avec les cubes la composant disposés dans un désordre complet.
Diseuse d’aventures passées, présentes comme à venir ; sans ne garantir qu’elles fussent bonnes ou mauvaises…
Encre de Chine naturelle ; assez ancienne.
On remarquera la boule de cristal indispensable pour ce genre de discipline évoquée par l’avant bras et la main du modèle proposé, choisi par l’auteur!
: – Il est tout embrasé de rires, mais par trop aigres ou voraces,
entre guirlandes et chandelles, lumignons et si gausses comme gauches dorures, leur tapin de joel;
décrète-t’Heel en son verbiage, tout comme en tant, qui sait, le ventre par si creux, pourtant, à défaut de fromage, qu’énormément trop vert pour le renard de l’affable, comme ainsi que tous autres…
Tandis que les enfants y vont et viennent tout autours, de par chants, leurs couplets au complet comme vaux, en virevoltantes et de combien échevelées cabrioles et rondes ;
que les plus grands eux lui préfèrent, au loin de ses épines, mais alors de combien, le gras pichet de bière, pris au boisseau du loin;
d’autres, danser au jeu, leur dos, de vagues écumantes, bien, en corps de combien plus lointaines des plages de ces îles, prétendues quasi paradisiaques, survolées d’oiseaux pièges;
puisqu’il en est gestion, profite l’un d’entre eux, sur sa hanche, branché, pour ternir en ses crocs un superbe gros mage ; tout en sifflant à vibre gorge, ainsi que par si faux, un ébri de rengaine très outrageusement lassé de mode;
enfin, quelques vieux, mais plus rares et vitreux, oubliés par le temps, décompte de ces ans adjoints à bien des siècles, ne sachant se risquer, tard ou trop, de s’en venir jusque à œufs, tant et si faisandés, disent à leur manière, ne gâchant point leurs maux, faute de dents encore adeptes à l’outrage, qu’il fait gros temps pour la raison;
l’un d’entre eux décidé, écroulé de son larges tout aussi rien que long, aux racines et tronc de ce fourbu tapin, à trousser le cruchon en ses derniers retranchements;
: – Il ne saurait mieux qu’être temps de le plumer à l’os!
: – L’ébattre jusque au cuir là le moins chevelu!
Renchérit un second;
: – Puis touillé à feux roux!
S’adjugent encore tant d’autres;
: – D’implanter à sa glace, un de ces dru poteau irréductiblement indicateur mais alors de néant!
: – Ainsi gît le poëte! A jamais bâillonné! Fabouille tout l’ensemble; farfelu à ses faims!
: – N’ayant su, de son vif, assumer ses moyens !
: – Assommer, quant au mieux, ses plus moches voisins!
: – Mais son ombre est partout, sachez-le, molles gens, errant à tous chemins, là fussent les pis creux; comme ailleurs, sa raison, en quête de ces lieux où, qui sait, si têtu, palpiterait encore un petit peu plus que quelque déchet de son coeur?
: – Ci gît le jeu des heurts à vivre de surcroît, tout comme encore si véritablement nous y végétions?
: – En guise ici d’ultime verre, rongez moi au plus ras ce vieil os demeurant sur le tas ; n’en laissant qu’une miette dévolue aux restants sur le carreau des bâches…
Exceptionnellement, parmi la collection de bois de l’auteur, celui-ci se compose de deux éléments joints entre eux ; un cep de vigne, très rare en ses terres éloignées de toutes vignes ; figurant le buste de cet auto-buste ; une racine extraite du pont du Mayriblue, figurant elle le cou et la tête de ce même auto-buste.
Celui-ci, opposé au premier, illustrant la fin de ce genre de représentation. de même, l’un à l’autre par la matière qui les constitue ; ici, le bois ; pour l’autre, Auto-buste Genésien I, des sachets en plastic chauffés et fondus au chalumeau puis façonnés à son image.