Archives de catégorie : Texte

La Pierre à Cupules: Photo:

Pierre à Cupules:

Emergeant des eaux du Grand Fleuve Anastase, juste avant que l’auteur, en longeant la rive toute proche, n’abandonne ce paysage presque de plage sauvage, bute de la Vierge franchie, pour gagner ses Berges, large promenade parmi ses Arbres retrouvés…

Remontant à l’âge des premiers sacrifices humains… Celle-ci particulière, puisque visiblement n’ayant jamais servi; en effet, tout juste partagée en deux parties, afin d’obtenir un plateau presque parfait; ensuite, celui-ci entaillé de deux cuvettes destinées à retenir et contenir le sang humain tout fraîchement tiré de la victime…

Mais ici, ses deux pierres partages encore juxtaposées.

Auteur qui s’interroge, ces pierres juste abandonnées derrière lui;

: – Quelle pouvait être, parmi tout l’ensemble de ses arbres qu’il côtoie maintenant, la victime alors choisie par le Sacrificateur?…

Tentant, en parcourant l’ensemble de ses terres Anastasiennes, d’en retrouver l’identité…

Pierre à Cupules: Emergeant des eaux du Grand Fleuve Anastase:

La Jetée: Arbre: Photo:

La Jetée:

Celle, en tout premier lieu, aussi brinquebalante qu’hétéroclite découverte par Heel, dans le roman de Mayriblue… De l’imaginaire, matérialisée sur le parcours de l’auteur tout au long de ses terres Anastasiennes; située peu avant le Mayriblue à quais.

Ne pouvant que rappeler, à sa mémoire, que le personnage d’Heulaine III, de Gravière! Découverte, tout comme la seconde, hissée de l’eau, sur lui, pour une longue séance de bronzage…

Personnages ne pouvant qu’évoquer, faire ressurgir celui originel d’Heulaine I! En compagnie presque simultanée de Boulon, canari rebondi, errant, et venu au Rawyl 15, après le drame, désertion du foyer de Anoum hospitalisée pour épuisement physique et dépression profonde, de sa Petite Fée Céline, recueillie chez sa sœur aînée, à Neuchatel, enfin de son Petit Prince Julien, placé de force à la Castalie, de Monthey…

Canari comme Tortue venus tout comme pour tenter, par leur présence, à défaut, bien sûr, de la remplacer, d’atténuer leur terrible absence!!!

La Jetée: Issue de l’imaginaire de l’auteur, dans son ouvrage littéraire Mayriblue: Matérialisée sur ses terres Anastasiennes: Rappel des trois Heulaines, tortues rencontrées par lui: Dont les deux dernières ici-même:

L’Impasse: Espace: Photo:

L’Impasse:

Un petit et plus étroit chemin serpentant à l’intérieur d’un sous-bois; au cours duquel l’auteur longe quotidiennement, proche des eaux répandues sur ses terres Anastasiennes, d’une part, à la suite de ce qu’il appelle Le Miroir, baignée en elles, parsemées de roseaux, la Baie des Alligrators; autres animaux mythiques, avant juste d’en ressortir, la Cabane des Castors…

Etant donné qu’il est possible de la franchir, pourquoi avoir nommé ce passage l’Impasse?!

Parce qu’on en réchappe, certes, mais jamais comme on y est entré! Le commun des Pékins se récriant, Heel les entend se récrier ;

: – Voyons! C’est impossible! Pourquoi en irait-il ainsi?!

: – Des plus évidemment, parce que tout humain, personne d’entre eux n’échappant à cette infrangible règle, plus vieux certes juste de quelques infimes instants, qu’il n’y est entré!!!

L’Impasse: Juste avant d’y pénétrer: Certes, capables d’en ressortir!… Mais jamais tel que l’on y est entré!

Le Sept d’Othokar: Photo:

Sept d’Othokar:

Arbre situé, tout au long du parcours de l’auteur sur ses terres Anastasiennes aux environs des deux tiers de leur ensemble; en retrait, par rapport à son parcours actuel et définitif.

Aux abords d’un chemin emprunté par les tous autres promeneurs, solitaires, jeunes couples, familles avec enfants, poussettes, patins à roulettes, planches, vélos et chiens… qu’il découvre maintenant mais de loin; entre lesquels il slalomait auparavant, aux tout débuts de ses parcours; pratiquant alors la course à pied…

Appelé ainsi, en lisant, comme de bien entendu Sceptre, au lieu de Sept, en hommage lui aussi à Hergé, son œuvre qu’il parcourt lui aussi inlassablement, cela depuis sa prime jeunesse, alors dans l’attente encore de la parution progressive des volumes la constituant; cela jusque à ces jours actuels…

Arbre, selon son titre, faisant partie de ceux numérotés par l’auteur.

Le Sept d’Othokar:

Harpe Celtique: Lierre et Arbre: Photo:

Harpe Celtique:

Arbre complètement envahi et recouvert par du lierre… En forme ici de Harpe Celtique. Annonçant la proche conclusion du parcours de l’auteur tout au long de ses terres Anastasiennes… Précédant juste le Tombeau Etrusque, lui déjà publié.

Aux yeux de l’auteur, encore une référence elle matérielle, issue de la nature, Biblique! Le combat de David, le lierre, contre Goliath, l’arbre; le plus faible, malingre, frêle, finissant par étouffer le géant!

Harpe Celtique: Annonçant le final de cette course de l’auteur, tout au long de ses terres Anastasiennes: