Lharpenteur et Lhobereau:
Toujours, sous formes d’arbres, pour l’une d’elle, ceux-ci, quoique complètement desséchés et dévorés par les vers, sur le point pourtant proche déjà de s’effondrer eux-mêmes sur leur souche voire jusque extrêmes racines, eux encore abattus sous les haches et tronçonneuses des bûcherons.
Comme il ne put que se concevoir, situés au-delà de tous les hôtes du Château et du Cercle; ces deux Personnages, quoique impliqués parmi eux, ne faisant pas pleinement partie de leur groupe, l’auteur tenant à le rappeler, au nombre de Vingt-Quatre, alors complet, sans eux.
Cependant, plus encore essentiels, puisque délimitant, le second, chargé de parcourir dans sa totalité les limites extrêmes de ce Cercle, dont toutes les terres lui seraient alors revenues, pourchassé par le premier afin justement de l’empêcher de parvenir à ses fins.
Ainsi, tous deux occupés à perpétuellement et sans fin s’entre occire!
Ne subsistant, rescapés, pour quelques jours mais qui leur sont comptés, du passage des forestiers, découverts par l’auteur, proches des rives du Grand Fleuve Anastase, que leur double dépouilles; et que les vers finissent de dissoudre.
Lharpenteur et Lhobereau, encore sur pieds:
Leurs dépouilles, gisant côtes à côtes, à la suite du passage des bûcherons: