Archives de catégorie : Photographie

La Fée Carabosses: Souche: Photo:

La Fée Carabosses:

Souche située, ne faisant plus partie maintenant du parcours habituel de l’auteur, en bordure du champs dénudé et désert ayant fait place au défunt Corps de Ballet, à jamais disparu… qu’il parcourait auparavant, bordant le chemin le conduisant au Bosquet des Castors, comme à l’accès au Château…

Demeuré éternel enfant, avec celle Liesse ou Lasse, qu’il apprécie toujours autant; celle-là préférée à ces autres, de par trop bienveillantes, à ses yeux; répandant, à l’intention des êtres de leur choix, bienfaits et dons de toutes sortes;

non attiré d’avantage par le côté négatif, nuisible, de leur état ; mais parce que plus rares, parmi le flot des autres, et caractérisées; quoique vouées à la solitude, le rejet de la masse, bien plus vivantes et présentes!

La Fée Carabosses: Presque entièrement disparue: Très certainement défigurée progressivement par les coups de pied asséné par les occasionnels passants: Dont il ne subsiste que quelque chiches, informes restes:

K II: Arbre matérialisant le KHA-KAH: Photo:

K II:

Arbre matérialisant lui encore le KAH-KHA, mais ici à la perfection; le seul, en effet, des trois découverts sur les terres Anastasiennes de l’auteur, proposant, à la vue tout hautant qu’au palpé, non seulement les huit embranchements de tronc exigés pour y parvenir, mais encore le neuvième, appelé Pérégrin!

Découvert, précédant juste l’Ancêtre Sorcier, identifiable lui entre tous, par non seulement un, mais les trois yeux gravés sur son front, garants de son statut prestigieux, tout à la fois de jeteur de sorts, bons ou mauvais, adressés aux victimes ou élus de son choix; comme capable encore de commander aux éléments naturels.

K II: Seul des trois répartis tout au long des terres Anastasiennes de l’auteur, parfait dans sa conception:

Le Bois des Sirènes: Photo:

Bois des Sirènes:

Situé en bordure des eaux intérieures des terres Anastasiennes; faisant suite immédiate à la plage familiale de l’auteur;

Bois des plus important, à ses yeux, parce que comprenant, sur ses terres, le A-H, constitué de branchages, sur fond d’eau; la Place de la Rédemption; enfin la Fée Liesse; trouvant sa fin, sous la forme des Six Boulots.

Baptisée ainsi, après la rencontre, de deux jeunes Sirènes, venant vers lui et bientôt disparues en son dos, perçues de loin par les cris stridents, infiniment aigus proférés par elles!…Peut-être, en guise de nouveau trophée, emporté par elles… pour regagner la profondeur des eaux… en ces lieux insondés, ouvrts sur d’autres mondes…

Matérialisant ainsi, pour un instant, celles conçues par Homère, dans son immortelle Odyssée…

Bois des Sirènes:

Le Quatruor: Arbre: Photo:

Le Quatruor:

Encore une fois, l’auteur se doit de préciser, en ce qui concerne la rédaction de ce titre choisi par lui, qu’il ne s’agit en rien d’une faute de frappe! Un R frappé en trop? Nullement, mais voulu ainsi par lui!

Orthographe délibérément choisie par l’auteur, cet arbre en effet faisant partie de la série réalisée par lui, en tant que chiffré ; numéroté ainsi comme quatre.

Arbre venu clore la série des huit autres, consacrés à leur numérotation; Tout comme, situé ici en approche de la conclusion de son parcours tout au long de ses terres Anastasiennes; précédant le proche Styx, ainsi que le Palier de Jackhob.


Le Quatruor: Venu préparer la conclusion du parcours de l’auteur, tout au long de ses terres Anastasiennes:

Lecture: Photo:

Anou à sa lecture:

Aux yeux et choix de l’auteur, une parmi les plus belle d’Anou!

Photo prise pat lui, il s’en souvient très bien, à Genève, sur l’étroite jetée menant jusque à l’emblématique jet d’eau…

Lors d’une de leurs rencontre; elle travaillant en tant qu’infirmière à l’Hôpital Cantonal de cette ville; lui, de la sienne, à Sion, auprès de ses élèves de l’Ecole Normale; à chaque fois que l’occasion se présentait, trop rarement, hélas, échappé de ses cours pour accourir la rejoindre…

Anou à sa lecture: