Exceptionnellement, parmi la collection de bois de l’auteur, celui-ci se compose de deux éléments joints entre eux ; un cep de vigne, très rare en ses terres éloignées de toutes vignes ; figurant le buste de cet auto-buste ; une racine extraite du pont du Mayriblue, figurant elle le cou et la tête de ce même auto-buste.
Celui-ci, opposé au premier, illustrant la fin de ce genre de représentation. de même, l’un à l’autre par la matière qui les constitue ; ici, le bois ; pour l’autre, Auto-buste Genésien I, des sachets en plastic chauffés et fondus au chalumeau puis façonnés à son image.
Sculpture-Mobile utilisée pour enregistrer les différentes phases d’un jeu de fléchette inventé par l’auteur ; son titre s’inspirant, comme de bien entendu, de Sarbacane.
Composé d’un disque fixe représentant celui d’une cible du jeu de fléchettes ; jeu assez longtemps pratiqué par l’auteur, jusque à obtenir les règles définitives le régissant.
disque et support agrémentés de tige au long des quelles on détermine les points et résultats à l’aide de billes de couleurs.
Jeu intitulé par lui comme celui de La Couronne.
Consistant à placer une fléchette tout d’abord sur le un de la cible ; suivi du deux, puis trois, quatre etc. .
Chaque coup acquis valant à son auteur un total de dix points.
Mais attention ! A la tentative suivante de ce joueur, il rate le chiffre immédiatement suivant, les points enregistrés par la fléchette fautive lui son retirés !
Le gagnant étant celui d’entre ces joueurs qui réussira à inscrire à la suite, c’est à dire dans leur ordre de progression, l’ensemble des chiffres proposés par cette cible.
Comme on peut s’en douter, ce jeu pouvant durer très longtemps avant qu’un des joueurs atteigne le but, l’ensemble de ceux-ci contraint de devoir interrompre la partie, c’est celui d’entre eux qui aura acquis le plus grand nombre de points qui emporte la manche.
Toutefois, la totalité des chiffres proposés par la cible se trouvant acquis mais eux dans le désordre, équivalant à attribuer la manche, alors intitulée Les Lauriers, le joueur qui y parvient le premier.
Le second Auto-Buste, à la suite de celui intitulé Impérator, réalisé par l’auteur à partir de sacs à ordure ! Leur plastic fondu par l’auteur au chalumeau et la pâte ainsi obtenue façonnée à son image ; le tout achevé recouvert de poudre liquide de bronze et retravaillé plus brièvement cette fois à nouveau au chalumeau ; on relèvera, à l’arrière de sa tête, un ensemble complexe de boursouflures figurant ses neurones ainsi mis à vif !
Oeuvre admise en pension chez sa fille Céline, alors établie avec son ami, pour la poursuite de ses études. A la suite d’un terrible drame provoqué par lui et ayant atteint toute sa famille, révoltée à combien juste titre, elle précipite cet Auto-buste à la poubelle ; celui-ci ainsi retrouvant sa destination finale ! L’auteur, quoique contraint, ne pouvant que reconnaître et approuver son choix ; ainsi ayant tiré un trait qu’il croyait définitif sur l’existence de cette œuvre.
C’est bien plus tard, le couple de retour en Suisse et ayant déposé un nombre d’affaires dont il n’avait l’usage, que l’auteur, un jour, par hasard, redécouvre cet Auto-Buste dans un coin de son grenier ;
comme il se doit, ayant aussitôt regagné sa place dans son atelier, parfait pendant avec son autre Autobuste Genésien II, directement opposé puisque tous deux confectionnés aux extrêmes de ses créations sculpturales.
Bois découvert au long du parcours de l’auteur dans ses terres jouxtant le grand fleuve Anastase.
Figuration de sa jambe gauche, juste après sa spectaculaire chute à vélo, un vingt décembre 2000 à l’entrée de Sion, sur une plaque de glace.
Fort des nombreux dérapages de sa monture, jusque là, qu’il se vantait de contrôlés, ce dernier lui ayant tout de même échappé.
Pourtant averti préventivement par un énorme tag dessiné sur la façade d’une maison à l’abandon lui ayant fait face peu auparavant ; « Achab »
Du même nom que le héro du roman Mobydik, capitaine au long cours, ayant perdu une jambe dans son affrontement avec cette monumentale baleine blanche.
Cette spectaculaire chute lui ayant valu la perte presque de la sienne. Sauvée presque miraculeusement grâce à l’habileté d’un chirurgien providentiel.
La seule, réalisée par l’auteur, sur son cadre de bois, exécutée uniquement su verre ; constituée de quatre rayons superposés comprenant chacun un ensemble de soixante quatre plaquettes gravées au poinçon puis peintes de couleurs spécifiques pour ce genre de matière.
Ainsi correspondant à un vitrail sur quatre couches.
Elle encore avec, pour motif, un jeu ; chacun des deux joueurs, après avoir fait le choix d’une couleur spécifique, disposant, à tours de rôle, une plaquette ;
à noter à nouveau l’ambiguïté de ce jeu, chacune d’entre elles composée des couleurs combinées de l’un aussi de l’autre des deux adversaires.
Le but consistant à joindre le premier un côté à celui opposé du cadre qui les enferme.
Nom choisi par leur auteur, évoquant le Kaléidoscope.