Le AX:

Tout comme par hasard, bien que l’auteur réfute ce dernier terme, à ses yeux et son entendement n’existant pas! Ceci à l’encontre, une fois de plus de l’utilisation et la croyance en lui de tous autres humains, immédiatement suivant le A4; en suivant le cours des Berges longeant les rives du Grand Fleuve Anastase…

Rien n’est dû, relevable du hasard! Mais se rapportant au destin, auquel lui tout d’abord, avec tous autres, n’a jamais su, ne sait comme jamais ne saura échapper.

A l’inverse, quoique juste en partie, le premier est plus ancien que le second; comprenant le contenu de vingt quatre ouvrage, tout comme l’ensemble du second; ouvrages relevant du terme choisi par leur auteur en tant que Ferments; à composition que tous autres que lui qualifie comme appartenant à la pornographie…

Encore un élément que l’auteur réfute; pas d’avantage que le hasard, celle-ci n’existant pas; toute création ne méritant de se voire rabaissée par une telle péjorative.

En tant que plus ancienne, le terme de ferments indiquant que l’oeuvre relevant du A4 suivant en est le fruit; ou la suite logique…

Texte, tel qu’il était convenu dès le départ, appelés à se voir détruits par leur auteur; en compagnie avec les photos qui l’accompagnaient… Photos elles aussi ainsi disparues, sous l’effet d’un simple clic de souris!

Mis à part, accidentellement, un seul d’entre eux. Signe supplémentaire à tant d’autres manifestés; comme quoi son heure n’était pas encore venue…

AX:

La Mandragore:

Arbre complexe, superbe de suggestivité, d’onirisme et matérialisant lui encore le mythique!…

Situé, aux abords immédiats de la Plage Familiale, lieux de farniente, baignades et piques-niques, durant les vacances d’été ; au fond d’une petite niche évoquant l’annexe d’une Crypte; voisine de l’Antenne, arbre utilisé par l’auteur, longuement arrêté à son pied, un doigts déposé aux coeur d’une plaie, laissée dans son écorce, d’accéder et pénétrer au coeur des mondes parallèles…

Parmi lesquels un d’entre eux, plus particulier, puisque abritant l’autre partie de sa personne, ayant su échapper à cette expulsion forcée vers la vie à laquelle Heel avait voulu échapper.

La Mandragore:

Fin de Monde:

Vécue, qui mieux est, à son bout le plus extrême, qu’on appelle vulgairement cul! C’est à dire, Loèche-les-Bains; ultime trou cerné tout autour de la station; cloisonné entre elles, de montagnes dressées sur tout l’ensemble de ses environs proches.

Image, à l’inverse sûrement de tous autres, que l’auteur goûte, déguste à sa juste saveur! De par la fragilité de l’humain; quoique naïvement convaincu de son éternité! Alors que son histoire, en rapport avec l’existence de la terre, ne représentant pas d’avantage qu’un infime, tout juste comme fruste pet de lapin!

Ayant poussé le luxe, par le biais de l’atome, de sa fin! Jusque à se trouver capable ainsi de la concrétiser par ses propres moyens!!! Ce tout récent outil, testé il y a peu par lui, en parfait état de fonctionnement, capable de rayer toute vie; minérale, végétale, animale, en compagnie de la sienne propre!

Nocturne: Au trouble, voire apocalyptique de la Lune… :