Tous ceux n’ayant parcouru l’œuvre littéraire de l’auteur, en tout ou en partie vont très certainement se poser la question ;
: – Le Grelin?! De quoi donc s’agit-il ? Une plante ? Un animal ? Ou végétal ? Ou encore minéral ?
N’appartenant à aucune de ces catégories puisque, en fait, faisant partie des nombreux instruments de musique réalisé, quoique des plus inédit et ne figurant dans leur liste qu’à un seul et unique exemplaire ;
conçu de l’imagination délirante et tout hautant débridée de Leuhr, pasteur défroqué et alcoolique; encore musicien des plus particulier, passionné par l’œuvre de Jeesby, ( Jean-Sébastien Bach, pour les non initiés ) et créé avec l’intention d’interpréter l’ensemble de ses pièces de façon maximale ; avec bien entendu celui de ses propres œuvres et autres improvisations de son crus.
Un instrument pratiquement monstrueux, sinon jusque gidantesque ! Mélange d’orgues géantes et clavecin ne leur cédant, de par sa taille, en rien ; mélange indissociable auquel viennentt s’ajouter encore les instruments à cordes, vents, cuivres et bois ainsi que quadruple batteries .
Grelin ainsi nanti capable de venir à bout de n’importe quel tympan incapable de résister à l’ampleur de ses registres portés jusque aux plus extrêmes ultra-sons.. décibels assourdissants…
Leuhr déchaîné tout au larges comme longs des ses multiples pédaliers comme claviers superposés ; une fois lancé dans une ou d’autres de ses interprétations comme démentielles improvisations, qu’il est impossible d’interrompre…
Une traverse de chemin, non conventionnellement de fer mais de mer, au dévers d’une voie présumée de barrage, ainsi vaque à l’ennui et ce jusque à qui ne voudrait l’apprendre, tout autant par le coeur qu’au sérieux, pas mieux que le cueillir, tant la chose, bien dur, évidemment s’entend, son grince, désœuvré, mais tout de même vague à l’âme;
un gras colimaçon, lui qui rame à ses basques, sans ne tergiverser lors de plus ostensible ration, abondant en son sens, puisque par tel unique;
la lune détoilée, pour ce genre d’occasion, de par telle outrageusement féminine, un peu pour se distraire, effiloche le temps, mais sans y prendre grade pour ôtant, par trop s’y consacrer;
l’araignée d’un espoir, autrement vue, du noir, avant qu’il fut rompu, rembobine son fil, ainsi le tire à soi, aux émois d’une mouche, prise à son autre bout, ainsi donc le mauvais, aux agrès de si proche infortune, souriant jaune, tout de même;
un trombone, en coulisses, en rythmant à mesures, ainsi que contre temps, l’inéluctable comme globale, pour bientôt, toute déconfiture;
sur l’aquarelle d’un damier quoique n’en menant large, un mille pattes très ostensiblement efféminé, lui joue aux dames avec un cancrelat mais qui ne triche pour autant;
herbivore, à ses heurts, un serpent à sonnets vivement venimeux, se lance à corps pourtant perclus à la pourchasse de quelques veuves rimes telles enfin inédites; en faisant, pour ce faire, aux accents de tocsin, tressauter ses grelots;
aux tels flots mais ainsi de dormeurs éconduits, prend à sa charge un ver parmi les mieux étourdiment luisant, aux émois d’une lune qui s’en voile sa face jusque la mieux abondamment achalandée, suppléant à l’autre astre justement endormi, pour faire d’une nuit blanche, quoique fort impromptu, le plus étourdissant des jours;
de dépit, le serpent, acculé à de telles sornettes, sa farce déjouée, à défaut fort de doigt, comme c’est très couru, s’en dévora sa queue, ne lésinant sur des moyens, quoique par si réduits, mais là tout aussi qu’elle et tant ce qui s’enfuit, jusque à ras d’oesophage;
séchant soudainement, le pourtant si savant cancrelat, par trop imbu mais jusque là de sa science infuse, à de pareils éclats, effusé de par trous, se vit finalement réduit à plus qu’état de poudre mais jusque encore impropre à se déjeter aux cieux;
déçu d’être esseulé, ce par tel éperclus mille pattes les prit toutes à son col, sans espoir de recours; à jamais disparut sans ne laisser par dévers soies jusque à la plus infime tresse;
quant à ce là toujours identique ingrédient, le trombone, qui fut, à quasi triple, sinon sextuples croches, gagne d’autres coulisses qu’il couvait depuis creux en son sac à varices;
un anonyme cheminot, quant à lui, écrasant au tassage quelque colimaçon qui le lui rendait bien, avant son âme, au vieux, à la mine si propre, en guise de couleuvres, à gober des traverses, aux profonds désagrès de celle découverte, seule demeurant à bord, ou quasi de si presque, tout de go, là le fit;
un ange de passage, au détour de celui, d’une cigale de tantôt, prit la gale sur lui, abandonnant la scie à l’araignée d’un soir, qui, n’en sachant que braire, de fort loin fine mouche, mais en un premier temps, profita du second pour tronquer au plus gourd le fil de cette histoire;
eh bien voilà, petite soeur, qui était triste, ce soir las!
Le conte y est, je crois, assurément le bon, selon les ronds avis;
puisque, selon les incontournables préceptes de son saigneur, toute plume au repos, quant à celui de plus mais cependant de trop, puisque alors du dit manche;
« Lilas, le lit Lallo, ou peut-être Lulli, en leurs édits les plus obscurément posthumes,
« sa massive absorption quasi systématique à tous égards, ne relevait-elle point, que l’on le sache tout comme encore le cache, de l’exclusif fait de ces boucs promus émissaires;
sinon celui de combien plus encore abrasif de meutes angéliques, plus encore acharnées à la tâche »;
: – Mais, de toutes rations, le clame-t-Heel à l’encontre de ces deux premiers, creux m’en chaud, croyez-moa, tout ôtant là que glace à la glaise, puisque tant en effet, tout ce glas m’indiffère, ce jusque au plus gras coin;
puisque, de mieux encore, s’efforce-t-il de poursuivre, en son essence ici quasi monumentale, me le suis laissé rire, plutôt extraite à la pioche, par d’autres troupes de forçats bénévoles ; sinon fort mieux encore de fossoyeurs confessionnels.
Heel le croit, en son tort intérieur, penchant jusque à y choir définitivement pour la suivante de ces dissolutions, quoique des plus fondamentalement hypothétique à flous brins;
car, des plus virtuellement, en effet, un arbre prochement voisin de ces lieux de carnage, voire quelque chose d’accrochant, lui ressemblant fort fort, tout aussi près là d’un champs florissant de tant d’autres cyprès, avait lisiblement ses branches aussi bien intérieures que torses toutes enchevêtrées;
en nombre encore jusque des plus inqualifiables, émises pour l’instant en supporte chapeau aux normes de cerceau ainsi que ras de forme, dont aime à se parer quasiment à l’ennui l’être que l’on décrit volage ;
: – Fleurs ainsi dites de lilas, pour revenir à ce premier surjet, vous étiez donc ainsi de toutes les couleurs voire formats jusque les plus invraisemblables, ainsi qu’essences olfactives ;
subtilement parées, quoique très indisposes, promues mais de combien au fatal holocauste, aux faims de tenter d’échapper ainsi, aux allures de toutes fleurs que celles de ce fâcheux lilas, à cet effroyable carnage broyeusement mandibulaire encore exécuté aux sons tonitruant et rauque du cor,
plus revêche olifant, hurlés du fond des bois, tout là que romantiques;
toutes terres à leurs plus éperdus entoures retournées aux labours de cris et bramements
proprement indicibles;
ces fleurs ainsi voracement cueillies en gerbes d’apparat, patiemment mastiquées, non encore seulement digérées à leur juste mesure, tout au mieux que saveurs, qu’aussitôt prestement dirigées, leurs juste résidus qu’expulsée vers un bas naturel propre à ce genre de fin.
le somptueux carnage se poursuivant sans frein, d’une ici fêle aurore des plus parfaitement indéfinie
jusque à de plus encore tant vagues comme ombreux, souverains crépuscules, de nuits encore sans dunes, autres jours survivants, sinon jusque à ces heurts, précédant de fort peu une retraite enfin aux flamboyantes torches ;
en suite, mais ainsi très plus tard, ces toujours identiques essaims autres troupes de plus survenues en renforts, de prédateurs repus, sinon jusque gavés de ce pantagruelique broutage, fort en faim, sainement assouvi, en ruminant les miasmes, aux fortuits aléas de rêves sirupeux, chacun, lors, en son lit, comme tout autant que las, cuve les sourd relents de cet intempestif broutage, pleinement assouvis.
Sculpture-Mobile intitulée de la sorte pour deux raisons. La première parce que dédiée à notre Petit Prince Julien. La seconde, à la mémoire elle du Calendrier antique du même nom.
Œuvre composée d’une planche de contreplaqué enfermée dans un cadre carré ; planche taillée en forme de circonférence, elle-même débitée en une série de cercles sur toute sa surface. Ceux-ci travaillés ensuite à la perceuse, par le travers du bois, de façon à établir progressivement un labyrinthe de couloirs. Ceux-ci agrandis au maximum permis par l’épaisseur de ce bois.
Pour confectionner enfin de petites fenêtre ouvertes sur l’extérieur, de façon à laisser paraître, au hasard des manipulations de ces disques.
Aux quatre coins opposés de la planche restante, travaillés de la même façon de manière à obtenir quatre récepteurs, ceux-ci jusque à l’extérieur de cette planche. Puis enfin rebouchés en partie, à l’exception d’un seul d’entre eux. Les différents cercles intérieurs réajustés un à un sur la planche initiale et maintenus entre eux par une bande de cuir.
Auteur, ensuite, qui se met en quête de petites billes de verre de couleurs diverses, mais sans en trouver d’assez petites pour être insérées tout d’abord à l’intérieur de ce seul réceptacle demeuré ouvert, mais en vain !
Ayant travaillé à la confection de vitraux créés à l’aide de petites graines de plastique fondues au four, l’idée lui vient d’utiliser ces même grains pour la fabrication de ces billes. Un grain piqué à l’aide d’une épingle puis exposé brièvement à la flamme d’une bougie lui permet de réaliser une de ces billes mais découverte encore trop volumineuse.
A l’aide indispensable d’une loupe, il partage un de ces grains en deux et reprend le même travail avec cette fois un résultat positif, cette bille insérée à l’intérieur du réceptacle prévu pour la contenir.
Et c’est alors, tel qu’il l’avait envisagé au départ, cent dix neuf autres, de couleurs diverses, qui rejoignent la première. De temps en temps, contraint de manœuvrer les différents cercles, les bielles introduites, par le biais de couloirs intérieurs correspondant parfois entre eux, lentement réparties à l’intérieur de l’ensemble et lui permettant ainsi de libérer le récepteur pour accueillir les suivantes. Finalement jusque à la toute dernière.
Anecdote: Vers la fin de ce travail, l’auteur, désireux de s’octroyer une bonne pipe pour fêter l’évènement, sort une allumette de sa boîte pour l’enflammer et s’arrête, surpris de la découvrir, de la taille d’un crayon! L’œil s’étant adapté à son travail!
Comme beaucoup d’autres, cette sculpture-Mobile est un jeu ; que l’auteur considère comme étant l’âme de ces œuvres inédites ;
ainsi que l’on peut le découvrir sur la photo accompagnant ce texte, le Julien, par de fines tiges métalliques en forme de X partagé par quatre zones.
Jeu se jouant à deux, un adversaire placé d’un côté, le second de l’autre ; chacun ayant choisi une zone personnelle ; par un jeu de miroirs pivotant, la mettant, chacun à son tour, en lumière ; chacun ayant droit de manipuler les différents disques, jusque à obtenir l’apparition d’une bille de sa couleur située dans sa zone… ; le gagnant étant celui, le premier, à obtenir cinq billes de sa couleur dans sa zone.
la complexité du processus consistant dans le fait, lors de ces manipulations, de faire apparaître accidentellement des billes de la couleur adverse dans leur propre zone ! Comme, lors de ces mêmes manipulations, de voir au contraire, des billes de sa couleur précédemment acquises, disparaître !
Jeu qui fonctionne ainsi selon le processus du sablier, ces billes disparues vont s’amalgamer progressivement dans un récepteur opposé. Il suffit alors de retourner le cadre du jeu d’un quart de tour, pour utiliser un nouveau récepteur vide.
Forme: L’auteur ayant opté pour ce mode de réalisations destinées à illustrer les différents ouvrages de son oeuvre littéraire, toutes photos y étant proscrites.
C’est à la suite de son accident de vélo, sa longue convalescence, contraint, à l’âge de septante ans de devoir réapprendre à marcher, qu’il découvrit, en plus de CG Jung dont la lecture devait l’éclairer enfin sur tout le contenu énigmatique jusque là de son KHA-KAH, un ouvrage sur les symbole, en faisant tout autant.
Bien avant ces révélations, instinctivement, au cours de ses quotidiennes pérégrinations sur ses terres, il avait attribué un arbre bien précis à chacun des vingt quatre personnages du Cercle; avec la ferme conviction que tout ce qui arrive à l’un d’entre eux atteint également son double végétal; et réciproquement.
Arbres ainsi dotés eux aussi d’une âme, et avec lesquels, durant ces mêmes pérégrinations, cet auteur dialogue…
Une conviction qui devait se manifester de façon concrète par la suite.
Conviction partagée, et ne faisant que renforcer d’autant la sienne, découverte dans cet ouvrage sur les symboles, par une tribu africaine très développée appelée Dogon!
Leurs membres consacrant des journées entières, par des cérémonies spécifiques, à implorer le pardon anticipé de l’âme d’un arbre qu’ils s’apprêtent à couper, très strictement pour leurs besoins.
Le tout avec, comme fond, un des montages sonores de l’auteur intitulé Cercle.
Quelques graphiques ont été extraits de vidéos issues de MT Films ; Marianne et Tristan Devanthéry ; Vidéo Création.
Quelques graphiques ont été extraits de vidéos issues de MT Films ; Marianne et Tristan Devanthéry ; Vidéo Création.