Photo qui permet de découvrir, encore prise au sol,
dévoilant une nouvelle racine, que jusque les Indes et leurs;mythologies, sont représentées, présentes sur les terres Anastasiennes de ce parcours; peu après celle représentant ce fossile d’oiseau, avec ses œufs! Ainsi que précédant de peu celle de Papillon.
Main ici de Shiva; non des moindres, puisque la mieux représentative de leur ensemble de huit; elle encore, plus précisément en bordure proche des eaux étales en ces lieux, toujours du Bois des Cordes.
Une, parmi les huit Mains de Shiva: Ayant échappé au passage des tondeuses des jardiniers chargés de l’entretien de l’ensemble de ces terres Anastasiennes de l’auteur:
Ainsi débute un des poèmes consacrés aux Soleils; au nombre de soixante, illustrés par l’auteur…
Un parmi les trois autres amis, dont son plus jeune frère.
Suicidé à l’âge tout juste de vingt ans; cela sans aucun message d’adieu, pas davantage qu’une quelconque explication à son geste désespéré. Lui représentant, pour cet auteur, l’Ecriture.
Son ami pianiste Pierre Aegerter, lui représentant la Musique.
Son petit frère Jérôme, la Peinture.
Enfin, la jeune Yelsha, à qui l’auteur, après Anou, Céline, Julien et Claudius, leur petit chat, elle représentant l’ensemble de ces pratiques artistiques.
(Extrait du Recueil de Poèmes Soleils)
Agent miguel, major, à vains temps, mort, comme on s’en mord mais trop tardivement les bois;
ces flots de rires dévergondés, quoique grinceux, parfois, ou très audiblement forcés en leurs rupestres engrenages;
: – Comme le clown errant, faux brigoler! le clame t’Heel,
à ses mouchoirs; mais quoique quant à oeufs, sans trop en faire un tas, s’en gerçant l’oeil à trous de gras,
ainsi que d’autres rivés à leurs devoirs, sinon fours et boudins, ou plus rétives casseroles…
Ponger les drames à la rame ou la rage, comme à coups de ces rires tant plus énormes que préfabriqués, mais toujours de ces eux!
Faut rigauler, n’est-ce point, dis, juste avant que l’essieu nous échoie sur la crête; quasiment à l’appel, au plus tort d’occiput!
Pour pimenter la dose, quasiment sur l’entier si scabreux de la bête; gigoter tout de même, fort ainsi de la panse, alors tant que la clause est, dès lors, consommée.
L’auteur ne se souvient absolument plus d’où elle lui est apparue, présente brusquement, face à lui… Seule élément certain, c’est qu’il y a un nombre fort conséquent d’années…
Peut-être en réaménageant la petite guérite construite par son grand-père paternel, dans le fond du grand jardin fruitier de la maison familiale, au Rawyl 15, à Sion? Laissée à l’abandon, depuis sa disparition.
Peut-être, ayant décidé de retaper ce lieu, quoique de tout juste deux mètres sur deux, pour y établir son premier atelier; dans un coin reculé du petit galetas dans lequel on ne pouvait accéder que par une échelle, pour rabattre un couvercle de bois?
Bien que maintenant disparue; n’ayant gardé pas davantage le souvenir de sa disparition…
Sans doute ayant coïncidé avec le départ de toute la famille ayant vécu durant deux ans environ, au rez-de-chaussée de cette maison, pour gagner les hauteurs Saviésanes de Granois? Abandonnée dans cette étroite guérite?
Muse!? Non pas, et de fort loin, de celles que courtisent les artistes, en prient les faveurs… parfois, capricieuses, se faisant désirer… Mais, elle, dotée de pleins pouvoirs à son égard, le broyant de son emprise impossible à s’en protéger… Tyrannique et sans fusse la plus infime pitié à son égard; lui imposant ses seules, incontournables volontés…
Auteur, ainsi, non seulement contraint de s’être vu expulsé de vives forces à la vie humaine, mais pire encore, de la voir occupée par son état oh combien imposé d’artiste! Ainsi, contraint non seulement d’assumer, tant mal que bien, cette vie, de se soumettre à ses règles; mais encore de créer!…
Pour mémoires, ses plumes et pinceaux, ficelés et dotés d’une lourde pierre, noyés au coeur de son étang, pourtant réputé sans fond; tout comme celui des eaux du Grand Fleuve Anastase… Sans cesse, tout juste disparus, de retour!
Souche située, ne faisant plus partie maintenant du parcours habituel de l’auteur, en bordure du champs dénudé et désert ayant fait place au défunt Corps de Ballet, à jamais disparu… qu’il parcourait auparavant, bordant le chemin le conduisant au Bosquet des Castors, comme à l’accès au Château…
Demeuré éternel enfant, avec celle Liesse ou Lasse, qu’il apprécie toujours autant; celle-là préférée à ces autres, de par trop bienveillantes, à ses yeux; répandant, à l’intention des êtres de leur choix, bienfaits et dons de toutes sortes;
non attiré d’avantage par le côté négatif, nuisible, de leur état ; mais parce que plus rares, parmi le flot des autres, et caractérisées; quoique vouées à la solitude, le rejet de la masse, bien plus vivantes et présentes!
La Fée Carabosses: Presque entièrement disparue: Très certainement défigurée progressivement par les coups de pied asséné par les occasionnels passants: Dont il ne subsiste que quelque chiches, informes restes:
Arbre matérialisant lui encore le KAH-KHA, mais ici à la perfection; le seul, en effet, des trois découverts sur les terres Anastasiennes de l’auteur, proposant, à la vue tout hautant qu’au palpé, non seulement les huit embranchements de tronc exigés pour y parvenir, mais encore le neuvième, appelé Pérégrin!
Découvert, précédant juste l’Ancêtre Sorcier, identifiable lui entre tous, par non seulement un, mais les trois yeux gravés sur son front, garants de son statut prestigieux, tout à la fois de jeteur de sorts, bons ou mauvais, adressés aux victimes ou élus de son choix; comme capable encore de commander aux éléments naturels.
K II: Seul des trois répartis tout au long des terres Anastasiennes de l’auteur, parfait dans sa conception: