Archives de catégorie : Chapitres

Zour: Ouvrage réalisé sous ce titre par l’auteur:

Zour :

Ouvrage de l’auteur qui s’est inspiré, suite à la découverte, lors de ses promenades, alors habitant avec sa famille à Granois, (Savièse) d’un immense cratère, provoqué par une énorme avalanche qui avait, lorsqu’elle s’est déclenchée, une dizaine de chalets situés sur son passage;

composé de pierres grillées par le soleil, d’arbres déracinés, parfois demeurés entiers mais alors à l’envers, leurs branchages fossilisés plantés dans la pierraille et racines brandies aux cieux ici de plomb; d’autres d’entre eux tout comme explosés de l’intérieur ; souches encore toutes calcinées…

Pas la moindre fleur; ne fusse qu’herbe, jusque mousses…

Décor absolument dénudé, où que se porte le regard, tout autours… pratiquement lunaire!

Au coeur duquel vont progressivement évoluer les vint quatre personnages du Cercle; surgis du sommet de cet immense cratère; dont ils vont dévaler les pentes abruptes pour finalement se joindre et se croiser, au choeur d’alors tout comme un vaste amphithéâtre; pour entreprendre cette fois l’ascension bientôt vertigineuse des pentes opposées….

Tout cela dans le plus grand silence; sans le plus infime mot échangé entre eux. Pour disparaître tout à fait; tandis que retentit, encore dans le lointain, le barrissement d’éléphants, avant garde des armées d’Hannibal.

Dépouille de Nooh:

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Extrait de quelques pages de l’ouvrage de l’auteur intitulé Mayriblue:

Alors que déjà tonne, certes encore au loin tout comme les éclats d’un orage impromptu; extraits là d’antiques pétoires et tromblons; ceux, en corps dépecés, bientôt, fendant pour l’instant l’air de sabres, dagues, haches et cimeterres;

: – Un orage soudain! Aussitôt tous à nos abris! Dames, pucelles et gamenailles, tout ainsi qu’il se doit, selon les bons usages, avant nous!

: – Plutôt là tremblement ainsi que bramements, ici, mais à défaut de terres, ainsi de sables!

: – Une attaque à nouveau de ces pourtant si bonnes petites soeurs motardes ; une terrifiante Mohne, mère abbesse plus que toujours à leur tête ?

: – Sinon mais jusque ébranlements de cieux, prêts à crouler sur nos têtes, tout comme fin d’un monde !? Nous incitant là préventivement à nous enfouir encore plus profondément en nos promises tombes!

En fait, ce ne sont que grenailles et plomb, agrémentés encore de plus dissuasifs boulets, aciers oh de combien tranchants de toutes armes jusque là dites blanches, goutantes de sang frais qui s’abattent sur elles, non de la hauteur de ces cieux toujours eux découverts comme des plus radieux, mais celle de chameaux et autres dromadaires chevauchés par des hordes déchaînées de berbères là deux ceux parmi les barbares!

Emportant, là bien pis que tornades, tout devant elles ; tranchant, découpant, et s’ouvrant, à forces cris, encore plus sauvages hurlement, un passage ; le perchoir de ce pauvre Aldo abattu dans leur course, maître baigneur comme garant de l’ordre, en ces lieux de festives baignades ; pour atteindre finalement les rives dès lors gorgées de sang de cette mer qu’Heel redécouvre enfin… immuable pourtant à ravir; en un silence lui aussi brusquement instauré, de mort.

Et c’est encore hagard, remis tout juste de ses effroyables terreurs, à la suite de ces cataclysmiques assauts, que cet Aldo retrouve un peu de ses fonctions de maître de ces plages ; pour parvenir enfin jusque à l’ensemble de ces sauvages envahisseurs, reprenant juste souffle, amalgamés autours de leurs propres tente ; et parvenir finalement jusque à leur chef ;

: – Désolé, cher monsieur, de vous apprendre non seulement qu’elles ne sont pas réglementaires, mais de plus implantées en des lieux interdits, très exclusivement réservés aux baignades!

: – Rassurez-vous mon brave! Plantées ici que pour l’espace d’une nuit; le temps de nous restaurer quelque peu, après de tels efforts fournis; celui encore, comme vous pouvez le voir, d’abreuver nos montures!

: – Vous n’allez pas me dire que tous ces carnassiers efforts et si furieux carnages, ne furent fomentés par vous tous que pour permettre à vos montures tout simplement de s’abreuver!?

Coupé par un rire tonitruant de tout cet ensemble jusque là de farouches et féroces guerriers, leur état major comme chef avant tout en premier;

Décontenançant ce pauvre comme ahuri Aldo qui ne comprend la cause d’une pareille hilarité, et qui insiste de plus bêle ;

: – Mais enfin, pourquoi ne pas avoir, pour parvenir à vos fins et leur soif, plus simplement demandé à mon personnel caissier, tout comme celui chargé d’un convivial jusque ici maintien de l’ordre, de vous ouvrir ce passage pratiqué par vous avec de tels efforts ainsi que fort plus vives rages? Très assurément s’étant fait un plaisir à satisfaire avec empressement vos telles aussi présentes que pressantes vues!?

: – Il existe un proverbe, chez nous, mon cher monsieur, sachez le, immuablement appliqué puisque des plus probant!

Occire, tout d’abord! Et demander ensuite! Telle est notre devise! Ce que très civilement et cérémonieusement je m’empresse dès maintenant de faire! Auriez-vous l’obligeance de laisser maintenant s’abreuver nos montures en paix!? En nous foutant le camps, ce des plus promptement possible!

Kod; chapitre 3:

Auteur, très longtemps en quête d’une solution enfin satisfaisante, mais en vain ; ce jusque à l’illumination subite.

Plutôt qu’un échiquier conventionnel, c’est à dire horizontal, offrant ainsi des vues accessible aux deux joueurs, pourquoi ne pas en utiliser, pour ce jeu particulier d’un se présentant de façon inédite, c’est à dire verticale ?!

A la manière d’une grille de confessionnal; un cadre de bois composé de soixante quatre alvéoles !

Chacun des joueurs se faisant face séparé de l’autre par cette grille ; son endroit réservé exclusivement au premier ; son envers, de manière identique au second.

Grille dans les alvéoles desquelles viendraient se loger autant de cubes de bois, amovibles.

Avec la possibilité offerte, à chacun de ces cubes, toujours par le jeu des chiffres, cette fois sans l’aide de couleurs, seuls vingt quatre de bois plus clair, pour les blancs, et vingt quatre de bois plus sombre pour les noirs, de définir, du côté du joueur l’insérant dans son alvéole choisie par lui l’identité précise des pions, pièces du jeu, cela tout en interdisant à son adversaire de percer cette identité ; ne découvrant, quant à lui, que le côté directement opposé de ce cube !

Kod 3
Kod 3

Une fois le processus de ce cube réalisé, le Kod, dans sa réalité enfin concrète était né !

1482784_398842343579182_1411661508_n

Kod chapitre 2:

Pour transformer des armées napoléoniennes, alignées au cordeau, en rangs d’oignons, parées de leurs plus chamarrés costumes en de plus modernes, elles devenues invisibles, comment l’auteur allait-il s’y prendre ? !

Le problème s’accentuant encore par le fait que cette invisibilité devait permettre à chaque adversaire, afin de pouvoir manoeuvrer ces armées, de percevoir les siennes, au détriment du joueur opposé ! Lui aussi de ces mêmes prérogatives !

Après une intense cogitation, auteur optant pour la seule solution possible; remplacer les pions et pièces conventionnelles  de ce jeu par des chiffres!  Allant de un à huit; un et deux pour les petits pions; afin d’augmenter les possibilités de mouvements, celui-ci optant pour deux sortes distinctes de petits pions  ou soldats; un conventionnel, se déplaçant droit devant lui pour prendre une pièce de l’adversaire sur les cases de côté; un second, à l’inverse, progressant de côté pour prendre une pièce adverse devant lui; trois pour les tours; quatre pour les cavaliers; cinq pour les fous; six pour la dame; sept pour le roi et huit pour les cases qui elles aussi peuvent se mouvoir, selon n’importe quelle pièce de jeu (Leurres).

Ces chiffres traduits visuellement par des couleurs.

Auteur qui réalise la concrétisation de ses trouvailles sous la forme de cases godets, (des dessous de meubles!) une pour chaque pion et figure du jeu; pour lesquels il confectionne des petits triangles de couleurs appropriées.

Kod 1

Chaque joueur, avant la partie, construisant ses pions et pièces selon un code personnel, lui seul capable de les identifier. (d’où le nom de son nouveau jeu, le Kod). Testant sa trouvaille avec le concours d’un ami, il peut constater que la confections de ces pions et pièces prend plus de temps que celui de la durée d’une partie effective!!!

Kod 2

Pour remédier à cet handicap, pions et pièces remplacés par des cubes de bois peint incrustés dans une trame d’alvéoles. Identifiés selon l’orientation de celui-ci.