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Foetus à l’état de fossile d’oiseau et de ses oeufs: Racine:

Fossile de Foetus: 

Fossile d’oiseau mort; réduit à l’état de fœtus parmi les plus primaire; et venant visiblement de tout juste pondre trois œufs… nettement décelable, répandus sur le duvet de son ventre.

Situé, tout en bordure des eaux étales, sur les terres Anastasiennes, en milieu ou presque de leur parcours, du Bois des Cordes…

Tout comme on le constate, les attentions soutenues de l’auteur à découvrir et étudier l’entourage ici de ses pins, accordées tout aussi attentivement au sol, à ses pieds, rondeurs de ses sabots!

Foetus Fossile d’oiseau et de ses oeufs:

Les Lanciers: Arbres: Photo:

Les Lanciers:

Un régiment entier mis sous les ordres et à la disposition permanente de Thu, chef incontesté de l’ensemble féminin comme masculin des Hôtes du Château, et ainsi prisonniers à vie du Cercle; promu ainsi, général placé, de plus, à leur tête.

Avant garde de toute une armée, chargée exclusivement de sa garde personnelle et rapprochée…

Réduisant, à elle seule, déjà, toute tentative, ne fusse que juste esquissée de rapprochement, et combien d’avantage atteinte directe de son éminente personne.

Cela jusque à ce que surgisse Lea, la Vierge Ivre, comme Diane, chasseresse, accompagnée de son molosse, enfin Jehane, issue du roman de l’auteur, d’identique Prénom; Opposée, quoique vierge elle aussi, mais ivre de pouvoirs tout hautant temporels que spirituels; pour ce faire, parvenant, par la ruse et la force, surtout, à se faire introniser Papesse; seule de son espèce.

Et qui dépouille Thu, s’approprie la protection de toute cette armée vouée à sa nouvelle, omnipotente et exclusive Patronne.

Les Lanciers: Au début du parcours de l’auteur sur ses terres Anastasiennes; ici encore, au début ou presque de ses berges, en bordure des eaux du Grand Fleuve:

Le N’Oeuf de Pacques: Arbre: Photo:

Le N’oeuf de Pacques:

De par son titre, faisant intégrante partie, et tout comme dernier de la série, venu la conclure, de ces arbres numérotés par l’auteur… à l’exemple des huit Modes littéraires déterminés par lui, conclus par celui appelé Pérégrin.

Arbre lui encore en retrait par rapport au nouveau parcours, le dernier lui aussi, établi par lui pour accomplir le tour complet de ses terres Anastasiennes…

Précédant de fort juste l’amorce, orée du bois des cordes; lui encore le dernier, faisant suite à ceux du Bois des Sirènes et celui du Bois de Plume.

Le N’Oeuf de Pacques: Venu conclure la séries des Arbres numérotés par l’auteur:

Le Maestro: Arbre: Photo:

Le Maestro:

Arbre, lui aussi en retrait maintenant du parcours finalement établi de l’auteur, tout au long de ses terres Anastasiennes; rencontré et découvert en ces lieux, du temps depuis fort conséquent reculé où il les parcourait, chaussé d’une paire de baskets et vêtu de cuissettes ou training appropriés pour ce genre d’exercice…

Alors, accomplissant trois fois le tour complet de ces terres, dans approximativement le même temps que celui actuel, pratiqué lui au pas de marche, ainsi que ponctué d’arrêts.

Arbre Maestro, d’une part reconnaissable à la tignasse échevelée que l’on imagine aussitôt, apanage de ce genre de personnage; ainsi que, tel que découvert, gesticulant en tous sens…

d’autre part, ne pouvant que se trouver au coeur de ces vastes lieux, baptisés par l’auteur le Bois des Cordes! Ainsi soumis à ses exigeantes injonctions musicales…

Le Maestro: En pleine action, baguette haut brandie, à la tête de son orchestre, l’oeil et l’oreille auxquels personne d’entre eux capable de lui tenir tête; dans ses oeuvres:

Tertre: Terres Anastasiennes: Photo:

Tertre :

Situé tout au début du parcours emprunté quotidiennement par l’auteur, tout au longs des Berges de ses terres Anastasiennes;

juste suivant immédiatement le Logo de départ, dessiné sur une des arches du pont dénommé à tort par tous pékins les parcourant de même du Rhône.

Endroit précis où, un jour, l’auteur découvrit, à ses pieds, le cadavre d’un petit héron; sans doute venu s’écraser, compte tenu de son peu d’expérience, contre la masse de ce pont.

Auteur qui entreprit aussitôt, non, en ces lieux, de l’enterrer mais plutôt ensabler assez profondément pour éviter qu’il ne fut la proie de quelque autre animal.

Précautions renforcées par un ensemble de pierres amalgamées juste au-dessus; ensuite décorée de brindilles, pives et barollins; puis protégé finalement encore par le dépôt d’un petit tronc.

Ne manquant jamais d’interrompre sa course, une première fois, pour se consacrer à ses pensées.

: – Tout de bon, mon petit héron! Et que, désormais, ces dimensions maintenant toutes nouvelles, pour toi, définitivement acquises, reprenant, cette fois, sans dégâts cet envol par trop prématurément interrompu!

Tertre: Abritant le repos d’un Petit Héron: