A Jean-Michel Mayor… à vains temps, mort…
Ainsi débute un des poèmes consacrés aux Soleils; au nombre de soixante, illustrés par l’auteur…
Un parmi les trois autres amis, dont son plus jeune frère.
Suicidé à l’âge tout juste de vingt ans; cela sans aucun message d’adieu, pas davantage qu’une quelconque explication à son geste désespéré. Lui représentant, pour cet auteur, l’Ecriture.
Son ami pianiste Pierre Aegerter, lui représentant la Musique.
Son petit frère Jérôme, la Peinture.
Enfin, la jeune Yelsha, à qui l’auteur, après Anou, Céline, Julien et Claudius, leur petit chat, elle représentant l’ensemble de ces pratiques artistiques.
(Extrait du Recueil de Poèmes Soleils)
Agent miguel, major, à vains temps, mort, comme on s’en mord mais trop tardivement les bois;
ces flots de rires dévergondés, quoique grinceux, parfois, ou très audiblement forcés en leurs rupestres engrenages;
: – Comme le clown errant, faux brigoler! le clame t’Heel,
à ses mouchoirs; mais quoique quant à oeufs, sans trop en faire un tas, s’en gerçant l’oeil à trous de gras,
ainsi que d’autres rivés à leurs devoirs, sinon fours et boudins, ou plus rétives casseroles…
Ponger les drames à la rame ou la rage, comme à coups de ces rires tant plus énormes que préfabriqués, mais toujours de ces eux!
Faut rigauler, n’est-ce point, dis, juste avant que l’essieu nous échoie sur la crête; quasiment à l’appel, au plus tort d’occiput!
Pour pimenter la dose, quasiment sur l’entier si scabreux de la bête; gigoter tout de même, fort ainsi de la panse, alors tant que la clause est, dès lors, consommée.