Marines: Il arriva, un beau… :

Il arriva, un beau,

voire tout autre jour que celui dont il se réfère pour l’affirmer, qu’Heel eut bien ses vingt ans ;

et puis, tout aussitôt après, ses habituelles inévitables primes poussières, ayant, dans ce cas là comme tant d’autres, coutume de s’ensuivre;

puis, bien des ans plus tard, à la suite comme fuite de fort multiples errements, vagabondages et autres avatars, il se prit à aimer des plus passionnément ; conformément toujours à tous civilisés usages ;

aux faims de se prouver la chose, comme à tout un chacun, allant jusque à poser, en compagnie de ses fraudes d’orthographe; parvenu, ce jour dit, comme encore bien plus tard, sinon y étant presque, quasiment tout à trac; 

cocardes et gants blancs tout comme chapeau flasque; plutôt qu’en boutonnière, une fleur en sa poche, en d’autre son cure vent;

Heel eut bien ces vains ans, authentifiés sur papier soie, voire insane pelure, égaré, depuis tant; faute de ces édits, on écrase les pieds de ce vil imposteur, malmène ses tibias; celui là, malgré coups comme trous, poursuivant de plus bêle, quoique jaune, Heel en rit ;

échappant, de ce fait, à d’autres pires maux, ce jusque à se voir mort; mais qui préfère, aux obsèques ne sachant que s’ensuivre, aller jouer aux quilles; ou en corps beaucoup plus avenantes, à d’autres filles, plus tard;

Heel eut bien ces vingt ans, encore dotés de tout ses crocs ; et rongeant la chandelle par plus que ses deux bouts; tout comme eux tous, personne jusque ici n’ayant su échapper à ce navrant constat;

plus que jamais comme toujours, Heel en rit ; parce que c’est, ainsi qu’on le lui somme, strictement vendredi; gémissant mais enfin sur sa défunte barbe; ses quelques rares poils rescapés du désastres insuffisant, désormais à y enfouir ses maux;

Heel eut bien, il est vrai, ces vingt ans; de guerre plus que lasse, condescend cette foule ; mais alors, pourquoi donc lui faut-il nous en faire un tel plat?

quête

Mnémos 2:

Article : Mnémos 2 :

Caissettes comprenant deux panneaux ; tout comme pour le Julien, découpés en une série de cercles mais ici maintenus entre eux par deux plaques de verre. Panneaux dont chaque joueur utilise chacun, l’un d’un côté du jeux, le second de l’autre, sur son endroit, tout d’abord . 

(première photo) Dont on découvre quatre parcours, une fois ceux-ci reconstitués, chacun partant d’un coin jusque à celui opposé ; que doit emprunter une seule petite bille, de son point de départ à celui d’arrivée.

Mnemos 4

Le joueur qui le choisit, avec simultanément son adversaire lui jouant sur le panneau opposé, dont le gagnant réussi le premier à le parcourir dans son entier. Pour y parvenir, chacun d’entre eux devant mémoriser l’ensemble exact des motifs qui composent cet endroit. Une fois chose faite, les panneaux de chacun sont retournés sur le côté envers.(photo 2)

Mnemos 3

Pour parvenir à réaliser ce parcours, en recomposant les motifs mémorisés. La bille témoin certifiant celui-ci accompli. Si elle n’y parvient, chacun se devant de manoeuvrer, alternativement, un seul disque de son choix.

 

 

L’Offrande du Chardon:

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L’offrande du chardon:

Il phallut bien qu’un jour ou d’autres, tant au las de sa vie, Heel fut contraint, lui encore de se le farcir ; quoique aux influx de son non grès; de fort agrestes préférences, miteusement tapi sous les touffes revêches de si chiches chiendents ; contraint à retourner à torts comme infinis efforts tous les coins gazonneux de telles amples pelouses fraîchement enfumées;avant mais finalement de découvrir le vrais, unique à souhaits, l’innommable exemplaire enfin digne du gerrne;

un rupestre chardon de la plus pire espèce ; pour ne lire, quant au sus, là tout cornes et piques, dards et drus aiguillons, encore truffé de barbelés; puis il lui fallut, bien dur, se plus finalement encore se dissoudre à sa dénigrante cueillette, ;aux appoint de ses doigts ; ce jusque à malmener, aux cuisant désagrès lors de tels extrémistes maux; entre autres nombre d’entre eux, l’ensemble de ses pieds assumés tout ôtant hors d’usage qu’encore de leur sabot;

forer la terre autour de labyrinthes progressifs, le portant peu à creux, quoique rampant en leurs tréfonds, cela jusque à ses primes et t’ainsi extrémistes abords, infimes radicelles : finalement livrées jusque à leurs plus ultimes exactions parmi les plus résolument définitives;

approcher quasiment sur pointe de ses œufs ; voire sioux sur chantiers de naguère, et en contenant mais là jusque à son souffle au mieux de sa globale alors jusque perpétuité;

aux faims combien intempestives de ne point susciter la plus fusse évasive velléité de fuite de ce tel émotif ingrédient ; laisser lors échapper cette tout cependant là qu’aguicheuse proie, se devant sus ainsi de forer plus avant d’autres dédales tortueux ;

ce tout en égrenant mais à maux tout hautant recouverts que destinés strictement qu’à soy-m’aime, des stances de sarcasmes parmi les mieux sonnants ; maudissant à l’envi, moins ou rien que dispos, tous les vieux demeurés, plus encore que jadis promus faux ; quoique en faisant toujours intrigante partie, se jurant fort et ferme, aux agrès d’autres mots jusque parmi tous ceux si gros que n’étant point à relever ici, de ne tant plus jamais devoir s’astreindre ainsi à de telles bassesses ;

tous yeux et tant de restes arrimés mais déjà, sinon pour très bientôt, aux fastes tels enfreints désormais, du premier de tant d’autres d’entre eux ; fort de se référer à l’endroit méticuleusement répertoriés des lieux de sa villégiature en cours ; y ferrant une croix en guise de bouée tout que de sot veuvage, mais fort mieux de déboires, à défaut de défunts, fort dispos à sa prompte capture;

ainsi, ces champs de croix bientôt harmonieusement agglutinées ; chacune propre à son genre exclusif de telle graminée ; évoquent à leurs aises, quasiment à gravir, ce tel unique, mémorable tout comme unique tumulus érigé au troupier incongru, dont leur vantent les charmes tous ouvrages très scientifiquement hystériques;

résidus de cette graminée, en guise d’innocente éponge, subrepticement déjetée, voire tout comme aux orties, ainsi qu’au geste du semeur que l’on prête à auguste ; ou bien plutôt le filet du prêcheur ; toutes racines, à jamais, répandues à flous vents ;

contraint de s’en devoir vaquer, les siennes entre les dents, vers d’autres rendez tout;

une fois la capture assumée, dûment homologuée du fugueux follicule, leur prédateur se devant mais encore de dresser l’holocauste, qui mieux est, embranché de guirlandes soyeusement fleuries, ainsi que juste bourgeonnantes ; engorgées de tous sangs rêchement répandus;

la vierge étant présente, quoique à la fuite de fort conséquentes recherches ; ce genre là de produit s’étant fait depuis depuis pas mal de temps des plus rare, parée très strictement de juste roses imprimées au plus ras de sa peau, exclusive parure qui la vêt cependant toute en corps à ravir;

et qui tend ses deux mains, n’en ayant de surcroît, prolongées de pinceaux parmi les mieux appropriés ; empreignant la victime plus que toujours offerte, à défaut de dispose, des divers coloris propres à son statut;

que l’on chassait, en fuite, pour aller s’implanter tant ainsi que soy-même, aux hasards d’une quelle conque dune ; voire tant d’autres d’entre elles, qu’en comporte un désert aménagé fort spécifiquement pour ce genre d’exclusion, d’un sable surchauffé jusque à l’incandescence, alors, la plus parfaitement insoutenable;

: – Une pierre sans alcool! Insoucieux de tout ça, le clame, à gourd de doigts martyrisant le bar, un parfait anonyme pourtant parmi les moins lisiblement déshydranté;

: – à défaut de le boire, voire un thé sans faux col ? Une huître de ricin ? Sinon crème à la garce ? Voire toute autre ; Rature ?

: – Un pichet, vous le tonne, promptement, d’eau bavure;

28-29 03 1966

une nuit blanche… Lausannoise…

Geczky

Ambiances; suite et fin:

Ambiances ; suite :

L’auteur termine ici, avec ce second volet, l’ensemble des pièces qui les composent ; toujours sur fond sonore de chants Grégoriens, leurs huit Modes avec le neuvième intitulé Pérégrin ; textes relatifs à des extraits de de son œuvre littéraire, en rapport avec des personnages concernant chacun d’entre eux ;

textes issus de son écriture volontairement quasi abstraite et nébuleuse ; donc pour lecteurs avertis tout hautant qu’aguerris!

Le Pentacordes:

Le Pentacordes :

Sculpture-Mobile de l’auteur, seule sans rapport aucun avec toutes les œuvres de ce genre réalisées par lui.

Et pour cause, puisque rappel, de par sa forme, des toutes premières esquisses de mobiles effectuées durant sa jeunesse, dont une commande de sa grande sœur, infirmière à Genève, transportée par elle et suspendue dans la salle de repos de l’hôpital dans lequel elle travaillait.

Son projet, avec cette future réalisation, étant ni plus ni moins de sculpter l’air !

Intitulé ainsi parce que créé sur la structure des chants grégoriens, ses huit mode avec le neuvième appelé Pérégrin ; représentés par les neufs fils de nylon appelés à accueillir les six cent vingt neufs allumettes qui le composent.

Mobile, une fois réalisé, qui l’est à double ; tout à la fois, se mettant en mouvement au moindre courant d’air, ; mobile encore, du fait que les allumettes dont il est fait coulissent sur leur fil, ainsi capable de varier à volonté son apparence.

Pour ce faire, l’auteur contraint de travailler à la loupe ; tout d’abord, pour perforer ces allumettes à chacun de leurs bouts ; ensuite pour passer dans ces trous les différents fils de nylon appropriés.

Pour terminer, l’extrémité de ces fils tendus à l’aide de plombs utilisés par les pêcheurs.

: – D’après vos achats, vous pêchez le gros ! Truite, brochet?

: – Oh bien plus gros encore !

Pentacorde

Le Pentacordes

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Détail du Pentacordes