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Thu: Chef des hôtes du Château: Photo:

Thu:

Non seulement faisant partie de l’ensemble des hôtes peuplant le Château, au coeur du Cercle, mais en étant, pour en avoir été le tout premier occupant, mais aussi, du fait de sa naturelle stature de Colosse, et enfin, à la différence de son âme damnée Jehu, lamentablement lui dépourvu ou presque de cervelle, les capacités naturelles.

Ainsi, pour toutes ces raisons, tacitement reconnu en tant que chef incontesté par tout l’ensemble de ses collègues, tout aussi bien féminines que masculins…

Interprétant en corps à merveille, dans l’ouvrage littéraire de l’auteur L’Oeil de Nylon le rôle de savant fou, que théâtrale, en duo avec Ilsehe, dans celui tout simplement de Thu.

Quoique son autorité fortement ébranlée par la défection de sa Garde Personnelle, subtilisée, à ses dépends, par La Vierge Ivre et Chasseresse Jehane; ébranlée, certes, mais nullement remise en cause par quiconque, pour ôtant.

Thu: Dans toute sa naturelle autorité: jusque, bientôt devenue, toujours sans la moindre  contestation de son entourage et ainsi, de ses Sujets, non seulement solidement établie mais promue prochainement jusque Royale:

Wooh: Photo:

Wooh:

Un parmi les hôtes du Cercle. Comme pour tous les autres personnages peuplant le Château. condamné à l’éternité.

De par son infime taille de nabot, quoique intronisé par tout leur ensemble en tant que metteur en scène de toutes les pièces théâtrales rédigées par l’auteur, faisant preuve d’une maîtrise absolue, sans aucune controverse exprimée ou latente, à leur égard;

cela malgré le handicap prononcé de sa petite taille autorité naturelle, les deux colosses Thu et Jehu y compris, renforcée encore d’avantage par, quoique maintenu à l’abri des regards, dans son dos, rendant ainsi ses attaque aussi imprévisible et foudroyantes et ainsi impossible d’esquiver, un fort solide fouet de cuir à la mèche assez longue pour atteindre n’importe quelle victime se trouvant sur les planches!

Selon ses critères, suivant l’importance de la faute commise, manque de conviction, d’enthousiasme, oubli de texte ou de juste réplique, même surgie tardivement, erreur de placement, selon son implacable et rigoureuse mis en scène , négligence dans le respect du costume prévu, le choix du décor, etc etc etc. la pointe de combien acérée de sa mèche venue tout juste effleurer, caresser, cingler ou mieux en corps, incendier, déchirer ou fracasser les arrières trains fautifs.

Matérialisé par un des arbres des Berges longeant le Grand Fleuve Anastase:

Teha et Sohn: Photos:

Teha et Sohn:

: – Sohn! corvée de bois! A toi, Teha, celle de champignons ainsi que toutes baies propres à tout dessert convenant à ces lieux!

Aussitôt, tous deux, redressés, face à la double sommation de ce tel trouble fête de paternel, sans le réaliser, venu interrompre leurs joutes;

mais combien plus encore pour en inaugurer de neuves; autres phases de vues, qui sait avant mais d’en venir aux mains; et dont le champs, de clos qu’il fut jusque là, s’en va s’ouvrir prochainement aux dimensions de ces forêts aussi vastes qu’entières;

tout comme par hasard, fillette campée, jambes et cuisses entrouvertes, tout comme offerte, émise sans ne s’en douter, à portée de souffle mais de combien tronqué d’un colosse tapis pratiquement entre elle, enfoui au plus profond d’une évase robette tout au coeur de laquelle il s’engouffre; accueilli par ses jambes et cuisses plus généreusement encore ouvertes…

: – Eh bien, quoi?! C’est pour aujourd’hui ou demain?!

: – Mais on y va, oh là! Et pi y a pas le feu, que je sache, après tout;

: – Eh ne va pas si vite, mais voyons, trop fugace soeurette! Vive fillette ici qui se retourne sur son si gauche et pataud poursuivant; un rire qui lui échappe en de telles cristallines cascades qu’elle déverse sur lui; un instant en arrêt, mais juste ici le temps de lui permettre de remonter à hauteur de genoux, amorce juste de ses cuisses;

: – Déjà rendu, pauvre malingre frérot!

Aux grès là d’autres rires, lui échappant encore, plus agile que fort mutine biche…

: – Nous devant de poursuivre, voyons! En quête toi de ton bois, comme moi de mes baies, par trop entreprenant frérot!

: – Ils peuvent bien attendre, si fugueuse et volage soeurette!

: – Pourquoi ne pas prendre, pauvre idiot, avant trou, quelque champs de sus, nous laissant quant au mieux à nos aises!

Fillette ainsi donc qui poursuit, attentive à ne prendre point trop d’avance sur son soupirant; à cette proposition indirectement prometteuse, quant à lui, semblant recouvrer, en plus de celle là par telle évidente, d’inédites vigueurs;

course ainsi reprise, de sentes en vallons, sources, torrents franchis, autres pentes abruptes où toujours cette vive petite, en plus mais de telles autres charmes, fait montre de toute son adresse; avant enfin de se laisser choir toute au coeur de neuve, fort agreste clairière;

aussitôt généreusement répandue; comme presque aussitôt rejointe par un défait puceau proche à rendre son âme, mais tout aussi vivement ragaillardi par ce qu’elle lui découvre, comme jamais encore… 

Désormais seuls et tranquilles; elle grisée là de se découvrir de par tels pouvoirs, sinon jusque emprises, à le voir mais ainsi remonter cette fois à hauteur de ses cuisses plus, en corps, partagées comme de façon là la moins équivoque;

robe légère, vaporeuse corolle ainsi que tous jupons troussé plus au-delà d’une taille, à la différence de tant de restes, découverte en effet des plus fine, ainsi que portée nue déjà sous les pans haut troussés de bien plus fine encore chemisette…

Teha:

Sohn:

D’Johns: Roman intitulé Jehane:

D’Johns :

Trio composé de D’Jihn, D’Jahne et D’Juhn, composant la garde prétorienne de Jehane, dans le roman de l’auteur, porant le même titre.

Constitué du fait, aux confins des limites extrêmes du Cercle, peuplées de dépendances du Château, où vivent les familles de manants, reîtres, soudards et autres gueux.

Familles très souvent trop nombreuses, dans lesquelles, pour survivre, on se débarrasse de fillettes en les abandonnant dans les vastes et denses forêts vierge des alentours… Seules les plus fortes d’entre elles réussissant à s’en sortir en vie, recueillies par les meutes de loups nombreuses dans ces parages. Bientôt, à leur exemple, de retour à l’état complètement sauvage…

Adolescentes n’hésitant pas à s’attaquer alors à tout être humain égaré en ces lieux; s’abattant sur eux, du haut des arbres où elles ont établi leur refuge.

D’Jihn accouplée de force à leur proie réduite sans défense, pour s’emparer de leur membre reproducteur; Ainsi maîtresse, elle, de la terre.

Devenue D’Jahne lorsqu’elle opte, selon son choix, à s’auto-féconder ; maîtresse alors, elle, des eaux.

Et enfin, muée en D’Juhn, lorsque elle décide d’enfanter, sans plus de sexe défini, en créature ainsi parfaite ; maîtresse, elle, des airs.

Jehane, pour les avoir l’une après l’autre vaincues en combat singulier; s’étant alors soumises à ses volontés; se les approprie en tant que garde prétorienne.

Plus tard, et dans le Cercle, cette fois, Thu, le chef incontesté des hôtes condamnés en ces lieux, intronisé Monarque, par un décret promulgué par ses soins, leur imposant cette identique tâche, mais alors à ses propres endroits.

D’Johns:  Garde Prétorienne:

D’Jyn:  Wohe:

D’Jahn :  Sahe:

D’Juhn:  Nohe:

 

 

 

 

 

 

 

Le Cercle: Roman de l’auteur:

Le Cercle:  Epilogue:

Heel s’était laissé choir, pratiquement tout comme on déposerait un bilan négatif, jambes résolument tronquées, et cela jusque à ras de jointures ; étale ainsi de tout son long ; yeux perdus, égarés vers ces voûtes à la fois embrumées et vibrantes sous la chaleur accumulée de ces lustres rivés à leurs complexes entrelacs ;

Aele pareillement échue à ses proches côtés; noyée dans les plis d’une robe tunique largement déployée autours d’elle ; ample, lâche et fêle corolle d’une fleur livrée toute à son seul abandon ; Aele est là… toute alors de silence ;

Heel, conscient de ses regards quoique se voulant évasifs, le parcourant entier ; tissant, tout comme l’araignée sa toile, une solide, inextricable trame l’emprisonnant entier, proie livrée, prise au piège de ses multiples rets;

plus qu’attentif au proche sablier égrainant, impassible, le chapelet du temps…

Et c’est à l’un ou d’autres de ces indéfinis instants que lui parvient sa voix mais tout comme filtrée, en tout juste filet, par la pierre massive de ces murs… encore les successives couches de non moins massives boiseries infiniment lustrées;

: – Parles-moi, Heel! Enfin ! raconte-moi quelque chose; n’importe quoi, comme tu sais pourtant quoique trop rarement, selon mes goûts, le faire!

Mais lui plus que toujours profondément plombé en son propre silence ; fermement décidé à ne point le briser, qui s’imprègne tout ainsi que se fond aux quelques rares pans de murs de cambuse éventrée, offerte toute et les livrant toux deux aux courants d’air d’une nuit dense, ainsi que d’encre d’insondables dehors…

: – Heel! Non mais dis, tu as vu!?

Issues de cieux croulant sur eux, toutes étoiles soufflées, ainsi que mince croissant de lune, de brumes et brouillards automnales, immuable décor vécus jusque ici, de fines et progressivement plus dense particules se mettent à très doucement choir…

: Oh dis-moi ! Qu’est ce que c’est?…

: – Mais tout simplement, amour, de la neige !

Qui se fait progressivement lourde et dense, pour lentement les recouvrir tous deux de son manteau. Tous deux, ne le réalisant encore, à la suite de par tels incessants efforts pour parvenir, mais toujours en vain le briser, passés par delà une infime faille de l’infrangible Cercle !

Loèche les bains : Stern, :

07 04 08 11h48

Gardiens du Cercle: Lharpenteur et Lhobereau: