Tous ceux n’ayant parcouru l’œuvre littéraire de l’auteur, en tout ou en partie vont très certainement se poser la question ;
: – Le Grelin?! De quoi donc s’agit-il ? Une plante ? Un animal ? Ou végétal ? Ou encore minéral ?
N’appartenant à aucune de ces catégories puisque, en fait, faisant partie des nombreux instruments de musique réalisé, quoique des plus inédit et ne figurant dans leur liste qu’à un seul et unique exemplaire ;
conçu de l’imagination délirante et tout hautant débridée de Leuhr, pasteur défroqué et alcoolique; encore musicien des plus particulier, passionné par l’œuvre de Jeesby, ( Jean-Sébastien Bach, pour les non initiés ) et créé avec l’intention d’interpréter l’ensemble de ses pièces de façon maximale ; avec bien entendu celui de ses propres œuvres et autres improvisations de son crus.
Un instrument pratiquement monstrueux, sinon jusque gidantesque ! Mélange d’orgues géantes et clavecin ne leur cédant, de par sa taille, en rien ; mélange indissociable auquel viennentt s’ajouter encore les instruments à cordes, vents, cuivres et bois ainsi que quadruple batteries .
Grelin ainsi nanti capable de venir à bout de n’importe quel tympan incapable de résister à l’ampleur de ses registres portés jusque aux plus extrêmes ultra-sons.. décibels assourdissants…
Leuhr déchaîné tout au larges comme longs des ses multiples pédaliers comme claviers superposés ; une fois lancé dans une ou d’autres de ses interprétations comme démentielles improvisations, qu’il est impossible d’interrompre…
Forme: L’auteur ayant opté pour ce mode de réalisations destinées à illustrer les différents ouvrages de son oeuvre littéraire, toutes photos y étant proscrites.
C’est à la suite de son accident de vélo, sa longue convalescence, contraint, à l’âge de septante ans de devoir réapprendre à marcher, qu’il découvrit, en plus de CG Jung dont la lecture devait l’éclairer enfin sur tout le contenu énigmatique jusque là de son KHA-KAH, un ouvrage sur les symbole, en faisant tout autant.
Bien avant ces révélations, instinctivement, au cours de ses quotidiennes pérégrinations sur ses terres, il avait attribué un arbre bien précis à chacun des vingt quatre personnages du Cercle; avec la ferme conviction que tout ce qui arrive à l’un d’entre eux atteint également son double végétal; et réciproquement.
Arbres ainsi dotés eux aussi d’une âme, et avec lesquels, durant ces mêmes pérégrinations, cet auteur dialogue…
Une conviction qui devait se manifester de façon concrète par la suite.
Conviction partagée, et ne faisant que renforcer d’autant la sienne, découverte dans cet ouvrage sur les symboles, par une tribu africaine très développée appelée Dogon!
Leurs membres consacrant des journées entières, par des cérémonies spécifiques, à implorer le pardon anticipé de l’âme d’un arbre qu’ils s’apprêtent à couper, très strictement pour leurs besoins.
Le tout avec, comme fond, un des montages sonores de l’auteur intitulé Cercle.
Quelques graphiques ont été extraits de vidéos issues de MT Films ; Marianne et Tristan Devanthéry ; Vidéo Création.
Quelques graphiques ont été extraits de vidéos issues de MT Films ; Marianne et Tristan Devanthéry ; Vidéo Création.
L’auteur se souvient de ce jour où l’on frappe à la porte de son atelier de musique, ouvert, à Sion, après la fermeture de l’Ecole Normale dans laquelle il enseignait jusque là ; jour mémorable oh de combien! Sur le pas de la porte qu’il va ouvrir se présente une fillette de neuf à dix ans, en petite jupette jaune canari, au sourire lumineux, accompagnée de sa maman et de sa plus jeune sœur.
Pour une première audition et éventuellement se voir inscrite parmi ses élèves.
Toujours avec le même sourire, la voila qui s’installe devant le clavier sur lequel ses petites mains se posent.. avant de s’élancer, doigts voletant de touches en touches…
Et la magie opère aussitôt ! Sous le coup, auteur qui ne peut s’empêcher de lui demander, son morceau terminé, non seulement de lui jouer un suivant, mais ensuite tout l’ensemble de son répertoire. Découvrant très brièvement la mine inquiète de sa mère qui doit sûrement penser que si ont lui fait une telle demande, c’est parce que son jeu n’est pas satisfaisant. Tandis qu’il réalise… Cette petite ne fait pas, comme tant d’autres, de la musique. Non seulement elle la vit mais elle est habitée par elle !
Quelques années passent, tout d’abord, durant lesquels l’auteur tente de lui apprendre, après les avoir mises en laisse, à maîtriser ces deux petites mains, semblables à deux petit chien fous, doigts lui échappant, emportés par leur virtuosité naturelle, tel le petit caniche de George Sand, ayant inspiré à Frédéric une de ses œuvres.
Années vite écoulées, étant donné la facilité avec laquelle tout ce qu’il lui demande est exécuté aussitôt, au bout desquelles l’auteur réalise qu’il n’a plus rien à lui apprendre.
Inscrite tout d’abord au conservatoire de Sion, puis à celui de Lausanne, où elle poursuit ses études jusque à l’obtention d’un masters de pédagogie puis de virtuosité.
Pour enseigner à son tour, maintenant de retour au conservatoire de Sion. Inscrite encore à l’université pour y étudier le droit.
Auteur qui invite ceux qui le veulent bien à partager son écoute, emportés tout comme lui, sûrement par cette même magie demeurée
L’auteur tenant, par ce nouvel article, à rendre, hommage à son épouse Anou, fidèle compagne de toute une vie, pourtant oh de combien mouvementée, toujours à ses côtés.
Les actrices :
Anou : Avait suivi les cours de diction au Conservatoire de Sion.
Elsa ; (Elisabeth) Suivait une formation à l’Ecole Dimitri de Verschio. (Tessin)
Résumé : Histoire de deux jeunes filles ayant raté de peu leur suicide, enfermées chacune dans son un poumon d’acier, tous deux voisins. Ensemble, tentant de refaire leur vie.
Historique : Les deux jeunes femmes avaient participé à plusieurs récitals poétiques au cours desquels se trouvait l’auteur, interprétant une partie de ses ouvrages. C’est à la suite de l’un d’entre eux qu’Elsa avoue à ce dernier qu’elle aimerait bien jouer avec Anou une pièce de théâtre écrite pour deux jeunes femmes exclusivement.
: – Quoique ayant réalisé plusieurs mises en scène de pièces théâtrales dont une des miennes, Matricule 36.82.917, je ne connais pas de manuscrits correspondant à tes désirs. Mais si tu le désires, tout comme Anou, vraiment, il n’y a pas de problème ; je peux vous en écrire une !
Avec leur accord, l’auteur se mit au travail, mais seulement après, à son invitation, rempli chacune un petit carnet bleu utilisé par lui pour ses écritures initiales.
: – Vous y notez, chacune pour soi, tout ce qui vous passe par la tête !
En compagnie de ces petits carnets, après les avoir étudié, l’auteur, réfugié dans son atelier du Rawyl rédige la toute première réplique de la future pièce Anou-Elsa. Tout simplement en découvrant, par la porte ouverte de cet atelier ; la toute première elle aussi neige d’un nouvel hivers…
Elsa : – La porte était ouverte sur la neige…
Rédaction de cet ouvrage qui l’occupa pendant une année.
Une autre année consacrée à la réalisation de sa mise en scène.
La suivante utilisée, l’auteur ne voulant s’impliquer dans la musique qu’il lui destinait, pour la composition de celle-ci, réalisée elle, sous ses indications sa supervision, en avait avait confié la composition à un ami de longue date, Jacky Lagger, compositeur et interprète de chansons pour enfants.
Enfin, la dernière pour le travail de mémorisation, assimilation de la mise en scène, répétitions dans sa nouvelle maison d’Aproz et au Petit Théâtre.
Un travail énorme, vous en conviendrez, quand vous saurez que cette pièce exige deux heures d’affilée de présence sur les planches, sans entre acte, pour ces deux actrices.
Auteur flatté de s’entendre dire, de la part d’un technicien de la TSR (Télévision Suisse Romande), à l’occasion, venue réaliser une émission consacrée au Petit Théâtre de Sion, ayant filmé, entre autres, un extrait de la pièce de théâtre Anou-Elsa ;
: – C’est pratiquement du travail de professionnel !
Auteur ayant encore en mémoire, à la sortie d’une de ces représentations, une jeune fille, ayant assisté à ce spectacle et qui l’aborde ;
: – C’est vous qui avez écrit cette pièce ?
: – Oui, mon enfant !
: – Je dois vous avouer que je n’y ai absolument rien compris ! Et pourtant, je suis bouleversée ! Pouvez-vous m’expliquer ?!
: – Si vous l’êtes, c’est alors que vous avez, bien au contraire, tout compris ! Pour aborder mon écriture, il ne faut pas chercher à comprendre. Mais simplement à prendre !
Pour celles et ceux que cela peut intéresser, l’auteur les avise que prochainement ils pourront opter pour la musique seule de cette pièce théâtrale, tout comme pour le texte.
Comme mentionné déjà, l’auteur se trouvant dans l’impossibilité de reproduire ce ballet enregistré par la TSR (Télévision Suisse Romande) vous propose, avec comme fond visuel, comme il se doit en signe de deuil, simplement son titre sur fond noir, la musique composée par l’auteur pour ce ballet.
Enregistrement sonore non extrait de ce film, mais d’après sa propre source, c’est à dire la bande originale ayant servi à sa réalisation, dans le cadre des spectacles de fin d’année des élèves des classes de danse de madame Derivaz, professeure de danse dans le Conservatoire de musique de Sion, à l’époque, dirigé par son fondateur Georges Haenni.
Le texte ayant été rédigé par le mari de Jacqueline Riesen, auteure de la chorégraphie de ce ballet.
Les instruments utilisés par l’auteur pour la confection de cet ouvrage sonore? Des jouets musicaux d’enfant ( petite flûte, sifflet, tambourin etc…) Piano utilisé sous diverses formes, cordes pincées, enregistrements accéléré ou ralenti comme encore inversé; autres objets comme papier froissé, peignes et criquet. Et enfin, une grande scie à quatre mains héritée de son grand père; une de ses deux poignées supprimée et la lame insérée dans une caisse de résonance, mise en vibration sonore à l’aide d’un archet; instrument se pratiquant comme une contrebasse.
Ouvrage réalisé sous la dictée de Jack, la chorégraphe, lui faisant part du nombre de mesures à deux, quatre ou huit temps correspondant à chaque séquence.
Ce montage ayant été réalisé pour servir de moyen de travail à l’intention de Jack, avec l’optique d’une nouvelle version de Circonvolutions, projet abandonné, vu le manque de ballerines qualifiées, explique les longues pauses entre chaque séquence, tout comme précédant le départ de la première.